 Invité |  Sujet: I'm perfect...à ma manière ! || Kana presentation [FINITO] Mer 2 Juil - 11:06 | |
| ▬ MA PRESENTATION J'ai décidée d'être ce que je suis, pas ce que que tu voudrais que je sois. | PRÉNOM • Kana
NOM • Kawakashi
SEXE • Féminin sans aucun doute.
ÂGE • 16 ans.
GROUPE • Yosen
RANG • Supporter
PROFESSION • Étudiante à temps plein et musicien amateur. |
I am beautiful no matter what they say...
« Reste droite, fait preuve de grâce et de souplesse Kana ! »
Debout, devant le miroir se tint la jeune fille. Elle se tint droite, de manière fière comme sa mère lui répétait si souvent. De ses yeux grands ouverts elle regarda la tenue qu'elle portait, un rictus agacé venant prendre place sur ses lèvres rouges. Ses dents virent mordiller sa lèvre inférieure et d'un geste de la tête, elle annonça à la jeune femme à ses côtés qu'elle n'était pas convaincue. C'était toujours la même chose, on voulait toujours qu'elle change de style vestimentaire et de mentalité. Son regard vint se poser sur celui de la jeune femme qui, comprenant le message ne mit pas plus de deux minutes pour tourner les talons. La jeune fille soupira, fermant ses paupières et cachant ses prunelles bleues puis redonna toute son attention au miroir face à elle, se mettant à s'observer pour se juger du regard. Elle avait pas mal grandit depuis la dernière fois qu'elle était venue. Peut-être de 10 centimètres ? Elle devait faire à présent dans les 168 centimètres tout au plus. Puis soudainement, ses yeux croisèrent son regard dans la glace, rencontrant des pupilles d'un bleu pur. C'était sans doute la seule chose de délicat en elle. Ses yeux étaient comme ceux de sa mère, légèrement en amande, expressifs. Il était facile de voir ce qu'elle ressentait rien qu'en fixant ses deux prunelles bleues qui quelques fois au soleil prenaient des teintes presque violettes.
La seule chose délicate...
Son regard descendit plus bas, rencontrant un nez simple, petit et comme tous les nez, il prenait place au milieu de son visage, sans ni plus ni moins. Ses lèvres s'étirèrent en un mince sourire tandis qu'elle s'admirait. C'était dingue ce qu'elle avait pu changer en quelques années et pourtant elle restait la même. Ses dents virent à nouveau mordiller sa lèvre puis doucement elle vint caresser ses longs cheveux blonds déteints, relevant sa frange qui ne tarda pas à retomber sur son front et masquer le haut de ses yeux. Ses cheveux retombaient le long de son dos jusqu'à toucher ses fesses. Ils étaient pour la plupart libres comme l'air sauf deux grosses mèches qui pendaient le long de son visage en suivant la courbe de sa poitrine et en étant attachées et tressées par ses soins. Ce n'avait rien de glamour sans doute...
« Je vous en ai apporté un autre modèle. Celui-ci mettra en valeur votre poitrine et vos hanches. Ce sera très féminin. »
La jeune fille blonde laissa glisser ses yeux sur la robe bustière bouffante rose claire, fixant attentivement le dessous de la robe qui faisait un magnifique dégradé de plumes. Mettre en valeur sa poitrine ? Mais sa poitrine était d'une taille très respectable ! Ce n'était pas du luxe mais ce n'était pas petit non plus et puis, elle mettait déjà assez en valeur son corps. Bon certes, elle n'était pas extrêmement musclée, on voyait juste par la forme respectable de son corps qu'elle faisait du sport et donc qu'elle avait quelques muscles. Ses jambes n'étaient pas très grandes et pas très fortes non plus, c'était cela qui ne lui permettait pas de jouer aussi longtemps qu'elle voulait au basket et de courir toute la sainte journée. L'étudiante grimaça et fit une moue contrariée. Son corps de son point de vue était bien, elle n'était pas en obèse malgré toutes les cochonneries qu'elle mangeait et remerciait les cieux de lui avoir donnée cette pêche et cette envie de malgré tout faire un peu de sport. En revanche, son style plaisait beaucoup moins à sa mère. Il n'avait rien de gracieux, c'était un style libre, confortable et elle s'y plaisait dedans. Il fallait oublier les robes roses et féminines, son style était plutôt les jupes et un haut noir ou n'importe quel autre de couleur foncée. Pas de ballerines ni de chaussures à talons mais plutôt des baskets et des bottes sous lesquelles elle mettrait des chaussettes longues noires afin de donner du contraste entre sa tenue et sa peau extrêmement claire. Oublions aussi les magnifiques colliers en or, elle préférait les choses toutes simples comme des colliers rubans voir n'en porter aucun. Cette robe rose n'était tout simplement pas faite pour elle. Les gens de l'extérieur en la voyant habillée ainsi devaient sûrement se dire qu'elle était un peu gothique ou bien qu'elle ne savait pas s'habiller. Chose stupide, elle savait parfaitement quoi mettre. Cependant, il y a une différence entre savoir et vouloir
« Non, désole c'est vraiment pas mon style... je veux bien voir les autres que vous avez en revanche. »
Et c'était reparti pour un tour...
I'm wide awake...Yeah, I was in the dark
« Qu'importe ce que tu fais, fais-le bien puis ensuite ne regrette rien.»
Kana... Tu es sans doute une personne étrange. Une personne que l'on pourrait juger comme très différente. Un coup tu peux être très active, souriante, joyeuse et taquine. L'autre tu seras calme, sérieuse, compréhensive et franche. Il n'y a aucun moyen de savoir quand, aucun moyen de savoir pourquoi. Tu t'adaptes aux gens, avant même de leur parler un de ses deux côtés prendra le dessus. Tu ne le fais pas exprès non, ce n'est pas un rôle que tu joues. Tu as simplement deux "facettes", deux "facettes" que nous apprendrons à mieux connaître. Lunatique ? Un peu, peut-être...
RED
« Because I'm happy
Clap along if you feel like a room without a roof»
Parlons tout d'abord de ce côté chaleureux. Ce côté qui te fait sourire lorsque tu sors dans la rue et lorsque tu abordes une personne. Souvent tu as l'air dans la lune, bienheureuse, peut-être même trop. Les gens en te voyant peuvent même penser que tu es un peu niaise et pourtant il n'en est rien. Un sourire fait plaisir, un sourire rend heureux. Il apaise, réconforte et pour les plus radins d'entre nous, c'est tout simplement gratuit. C'est une des raisons pour laquelle tu ne vois pas pourquoi tu ne montrerais pas ta joie, c'est une raison pour laquelle tu auras souvent ce sourire jovial au visage.
Pour compléter cela, tu es une personne aimante et tactile. Tu aimes toucher les gens que tu apprécies, les serrer dans tes bras et montrer par des gestes tout simples qu'ils ont une place au sein de ton cœur. Tu préfères montrer plutôt que parler, agir plutôt que de te la raconter. C'est pourquoi la plupart de tes sentiments envers autrui se montreront particulièrement par des actions, parfois même involontaires car, comme l'on dit : nos paroles peuvent mentir pas notre corps. Comme dit ci-dessus, tu es une personne d'action. Tu as besoin de bouger, te défouler et extraire toute cette énergie qui peut quelquefois t'étouffer. Nous comprendrons donc bien vite que tu n'es pas quelqu'un qui reste vautrée sur son canapé toute la journée. Rares sont les fois où on te trouve chez toi, difficile de savoir comme tu fais pour trouver autant d'activités à faire mais, une chose est sûre, tout est mieux pour toi que de rester cloîtrée entre quatre murs.
« Candy, candy, candy, candy, candy »
Ta joie de vivre te fait souvent passer pour une enfant et comble de l'ironie tu es une très grande fan des sucreries et autres choses sucrées. Tu es le genre de personne à s'arrêter devant la vitrine d'une pâtisserie pendant plusieurs minutes rien que pour baver devant leurs différentes sortes de gâteaux et lorsque tu en as un en main c'est comme si on t'avait donné le ciel. C'est très facile de te faire plaisir. Pour compléter, lorsque tu es en colère contre quelqu'un ou bien frustrée, c'est la plupart du temps là-bas que tu iras pour évacuer ta frustration. Autant le dire, ce n'est pas si mauvais d'être en colère.
Ton côté spontané est très visible, des fois tu fais les choses sans vraiment réfléchir. Tu ne te soucies de rien, tu ne te casses pas la tête et tu vis ta vie comme elle est avec ses hauts et ses bas. Tu donnes un peu l'impression d'être bête mais pourtant, ce n'est pas exactement ça. Tu arrives juste à trouver des bons côtés dans un événement triste.
Parlons bien, parlons basket. Tu aimes vraiment.... beaucoup le basket. Tellement qu'il n'est vraiment pas rare de te voir assisse à chaque match de ton équipe préférée. Dans ces moments on ne voit que toi à agiter tes bras dans tous les sens et à crier des « Vas-y ! » et des « Mais il est aveugle l'arbitre ou quoi ? Même moi je l'ai vu ce contact ! » tu es telle une enfant, toujours émerveillée par ce sport qui est une vraie passion pour toi. Tu n'en fais peut-être pas mais, tu aides les joueurs comme tu peux avec ton soutien.
BLUE
« I'm friends with the monster, that's under my bed »
À présent, laissons ton côté chaleureux à l'écart et concentrons-nous sur l'autre côté de toi. Ce ne sont pas des choses distinctes, les deux "côtés" sont un ensemble. Il n'y a pas l'un sans l'autre, tu peux agir des deux manières, j'ai juste décidé d'aborder les deux chacun leur tour. En vérité, tu es plutôt quelqu'un de calme mais, tu détestes ce côté de toi qui te fais réfléchir des heures durant et ta curiosité malsaine qui te pousse à te poser dix mille questions. Tu détestes aussi ta franchise qui peut blesser autrui à cause de tes mots irréfléchis. Tu détestes tout simplement ce côté de toi et c'est pour cela que tu t'occupes autant, pour ne pas y penser. On pourrait dire que ton côté heureux est une façade mais, tu es aussi heureuse que calme, aussi insouciante qu'introspective, tout dépend du moment.
" Today I don't feel like doing anything "
Tu es aussi une personne qui a besoin de calme, d'être dans un environnement totalement détendu. De ce fait tu deviens aussi quelqu'un de calme, de réfléchi. Généralement, tu préfères éviter d'être dans un lieu sans agitation afin de ne pas toi-même devenir "apaisée" car dans ces moments-là tu es très introspective. Tu as besoin de sans cesse te poser des questions telles que pourquoi ceci ? Pourquoi cela ? Pourquoi est-ce que j'ai dit ça ? Pourquoi n'ai-je pas fait ça ? Dans ses moments-là tu perds la joie qui te caractérise si bien pour devenir quelqu'un de presque froid. Dans ces moments-là, plus question d'être intrépide tu préfères réfléchir à tes actions passées et souvent on vient te voir pour avoir un avis. Ta franchise est une arme, une arme redoutable dont tu sais t'en servir habilement. Quelquefois tu diras les choses calmement, cherchant bien les mots pour expliquer telle ou telle chose. D'autres tu iras plus franco, blessant même des fois la personne concernée. Tu détestes être comme cela autant que tu aimes l'être car, après tout sans ton calme naturel tu ne pourrais pas chanter et faire de la musique comme tu aimes et surtout l'apprécier à sa juste valeur. Tu ne pourrais pas profiter de tout cela et c'est la raison pour laquelle malgré le fait que tu maudisses d'être une personne réfléchie, tu remercies le ciel de l'être.
Plus qu'un conte, c'est mon histoire...
« Une étoile s'éteindra dans le ciel, puis une autre brillera de mille éclats »
Il était une fois... Une jeune femme comme une autre, souriante, gracieuse et très ambitieuse. Cette même femme que nous nommerons Madoka était une patineuse artistique de renom. Ses mouvements étaient gracieux et subtils, elle était comme ces gens le disent si bien " un génie" dans ce qu'elle faisait. Elle patinait comme elle respirait, c'était sa passion et ce pour quoi elle se battait et s'entraînait dur. Puis un jour, comme tout être humain elle tomba amoureuse, d'un beau jeune homme nommé Kenshi. Les débuts entre eux furent très difficiles mais, après de nombreux efforts ils furent enfin heureux ensemble. La jeune Madoka découvrit après plusieurs dizaines de mois de relation qu'elle était tombée enceinte et son monde bascula. Elle était trop jeune, trop talentueuse pour passer son temps à s'occuper d'un enfant. Elle craignait de ne pas pouvoir s'en occuper, de devoir abandonner tous ses efforts et ce fût à cause de cela qu'elle continua à s’entraîner malgré les recommandations de son entourage. Tout du moins, jusqu'au jour où à cause d'un mauvais mouvement elle eut une chute grave qui brisa sa carrière. Frustrée et dégoûtée de ne pas avoir pu faire ce don elle rêvait elle quitta le monde du patinage en tant que championne pour devenir enseignante dans celui-ci.
7 ans plus tard, la renaissance du cygne ?
Madoka accoucha peu de temps après son accident d'une petite fille, qu'elle nomma Kana. Cette enfant était la plus belle aux yeux de ses parents et la rage que sa mère porta contre elle s'évapora dès qu'elle posa ses yeux sur sa petite bouille innocente. Dès qu'elle fut en âge de marcher sa mère l'initia peu à peu à patiner sur la glace. Tout d'abord, de petits enseignements doux, afin qu'elle progresse tout en douceur et apprenne les bases. Kana était comme un deuxième espoir pour sa mère et ce fût donc pour cela qu'elle était si dure avec elle. La jeune fille dès son jeune âge fit de son mieux pour plaire à sa mère. Elle patinait comme elle pouvait, tombant plusieurs fois, se blessant tout autant et dû faire face à la dure vérité : les génies ne font pas toujours des génies et elle n'avait pas hérité du don de sa mère pour ce genre de sport. Au début elle bouda et fut déçue de par performances. À ces huit ans, il était important pour elle de faire de son mieux pour plaire à ses parents, surtout à sa mère. Pour l'aider à mieux se tenir, on lui fit passer des cours de bonne conduite, on lui apprit à se tenir droite, à bien manger, bien marcher. À être une jeune fille "élégante" comme disait si souvent sa mère. Son père quant à lui ne disait rien, il était du genre calme et détendu et laissait sa femme gérer les choses. Pourtant au fond ce qu'il désirait c'était son bonheur, il n'était pas rare de la voir s'amuser plus avec son père qu'avec sa mère. Il ne l'obligeait à rien et ce fut avec lui qu'elle prit goût à la musique. Ce fut ainsi jusqu'à ses dix ans.
10 ans, la douceur du lynx et une nouvelle passion ?
Kana continua à faire des efforts, se lassant de plus en plus de ces bonnes manières que lui imposait sa famille. Elle voulait seulement être libre de ses faits et gestes et pouvoir faire les choses comme toutes les autres filles de son âge, faire du sport autre que le patinage. Elle avait bien compris que ce n'était pas son point fort, elle avait bien compris qu'elle n'aimait en plus pas ça. Ce fût un jour de plus lorsqu'elle sortait de l'école qu'elle rencontra une grande masse d'enfants tous réunis autour d'un terrain de basket. Curieuse elle alla voir ce qui se passait et avant même de se rendre compte elle était totalement éblouie devant le match.
C'était désordonné et en même temps d'un ordre parfait. Il y avait de l'ambiance, des encouragements, de la liberté et des sourires vrais. Les jeunes de son âge bougeaient comme ils le voulaient, ils n'avaient pas de chorégraphie définie. C'était ce qu'elle voulait, c'était la liberté qu'elle recherchait. Le seul hic, elle ne voyait pas des filles jouer dans le terrain. Il n'y avait que des garçons et cela la fit se décourager un peu. Sa mère lui avait toujours dit que ce n'était pas quelque chose pour elle, que son avenir était déjà tout écrit. Ce jour-là elle repartit pensive jusque chez elle mais, avant même d'entrer elle trouva au loin une jeune fille, jouant elle aussi au basket avec le sourire, ses cheveux rouges étant aussi brûlants que le feu de sa passion. Les jours passaient et elle revus souvent la jeune fille sans jamais lui parler, admirant au secret sa détermination dans le jeu. Cette passion qui se lisait dans son regard attisa sa propre curiosité et après plusieurs jours, elle partit enfin demander à sa mère de quitter le patinage pour entrer dans le monde du basket.
Sa mère ne le prit pas bien, elle ne soutint pas sa fille autant que celle-ci l'aurait voulue. Elle était déçue et cela Kana le voyait mais, pour une fois elle n'essaya pas de lui faire plaisir. Son père contre toute attente décida de l'encourager dans ses efforts, surprenant tous les membres de la famille dont sa fille. Il se proposa pour l'inscrire au cours et à l'accompagner et cela rassura la jeune fille qui se sentit mieux dans sa peau puis finalement sa mère accepta qu'elle essaie à condition qu'elle poursuive ses entraînements.
13 ans, la larme blanche du loup solitaire.
Kana pratiquait avec une certaine fougue ses entraînements de basket, cachant aux yeux de tous la douleur qui prenait ses jambes en particulier son genou après et pendant les entraînements. Au début elle crut que c'était normal, les efforts physiques fatiguaient n'importe qui. Pourtant, ses douleurs étaient plus poussées et dévirent insupportables à fur et à mesure qu'elle s'entraînait. Après plusieurs jours elle en parla à ses parents et fit des examens dont les tests indiquèrent une faiblesse musculaire ce qui ne lui plut pas du tout. Ce jour-là elle partit de la salle en pleurant, courant comme elle pouvait dans les allées jusqu'à arriver dans la salle de sport. Elle fut prise d'une grande rage et sans écouter les conseils du médecin elle reprit son entraînement, refoulant sa rage et ses émotions, brisant le masque calme dont sa mère lui avait appris à enfiler pour monter ce qu'elle était vraiment : une battante. Ce jour-là elle pleura, ce jour-là elle repoussa ses limites, ce jour-là elle tomba et se blessa à nouveau mais, cette fois-ci plus moralement que physiquement.
14 ans, le grand galop du cheval.
Un an plus tard, elle ne semblait plus la même. Elle gardait le même visage, cette même passion pour ce sport qu'elle ne pourrait plus vraiment pratiquer mais, elle s'endurcit et pour devenir ce qu'elle voulait réellement. Fini de se cacher, fini de faire semblant d'être cet être calme et réfléchi. Elle pouvait être ce qu'elle voulait vraiment et exprimer sa joie. Sa personnalité changea et son style changea aussi. Elle adopta des vêtements moins contraignants mais, continua tout de même le chant qui était la seule chose qui mettait tout le monde d'accord dans sa famille. On la voyait sourire plus souvent, être plus détendue et malgré tout elle continua d'assister aux matchs de ses équipes préférées, montrant un tel entrain qu'on ne voyait qu'elle dans la foule. Elle changea d'école, ses parents déménageant et se retrouva dans une nouvelle école qui prisait beaucoup le basket et dont le talent de certains joueurs n'était plus à prouver.
16 ans, la suite du commencement et le rugissement du tigre.
Aujourd'hui elle reste cette fille toujours joyeuse et au style particulier qui malgré tous les efforts à quand même gardé le côté calme et sérieux que sa mère lui avait imposé. Toujours là pour soutenir son équipe, elle n'est peut-être pas membre mais, estime que les supporters et les joueurs sont comme une famille unie. Elle sera encore plus active maintenant que l'équipe féminine entre en jeu dans les écoles, reste à voir laquelle des deux équipes fera le plus battre son cœur.
| PSEUDO • Luunalux ou Lady Shiro
SEXE • Féminin pourquoi ? *O*
ÂGE • 16 ans même si on dirait que j'en ai deux des fois
DOUBLE-COMPTE • Aucun Sweety
ÊTES VOUS UN PRÉDÉFINI • Nop ~
VOTRE PRÉSENCE SUR LE FORUM • Vu que je compte squatter loooooongtemps je dirai... 8/10 ?
COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM • Grâce à la magnifique, la merveilleuse, la superbe Yuki d'amour <3
AUTRE • Je vous aime déjà, franchement ne changez rien （≧∇≦）
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Dernière édition par Kawakashi Kana le Ven 4 Juil - 17:00, édité 12 fois |
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