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 De nobles retrouvailles [PV:Akashi Seijurou]

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MessageSujet: De nobles retrouvailles [PV:Akashi Seijurou]   De nobles retrouvailles [PV:Akashi Seijurou] EmptyJeu 13 Fév - 23:37

Nous y voila donc; cher cousin 8D
J'ai tapé ça, il est tard, j'ai pas bien foutue l'image et j'ai pas relu x.x Tu m'excuseras; j'éditerai demain pour corriger les fautes et ce qui va pas, en attendant; ENJOY !
-> J'écris en GoldenRod





Le réveil sonne huit heure et la journée commence. Malgré le fait que j'ai eu du mal à m'endormir hier soir sous le trop plein d'excitation qui me prenait, je ne me sens même pas fatigué, au contraire, j'ai l'impression d'avoir fait une grasse matinée et je suis fin prêt pour attaquer ma journée, LA journée. Ma rentrée des cours, ce n'est même pas quelque chose qui peut me démoraliser, à vrai dire j'l'ai attendu, ce jour.

Pied droit, pied gauche ou l'inverse, peu importe, je me tiens debout et j'avance fièrement jusqu'à mon armoire pour en tirer ce magnifique uniforme noir que je m'empresse d'enfiler non sans un sourire surement idiot sur les lèvres et là, je me regarde dans la glace de ma chambre. Le noir n'est pas la couleur qui me va le mieux, certes, mais après tout, le noir, c'est élégant et dans la famille, il faut être élégant, il faut être noble, il faut être fier... Je le suis.


Descendant à la cuisine un petit festin matinal m'attendais mais mon ventre ne me rappela même pas à l'ordre ce matin, aussi, je n'avala qu'une petite tasse de café avec deux trois tartines et j'étais déjà remonté pour finir de me préparer; j'aurai surement un peu d'avance mais je sais que ça me permettra de m’imprégner des lieux au calme. Je voyais déjà dans ma tête comme une sorte de compte à rebours et j'attendais qu'il affiche zéro; malheureusement j'allais encore devoir patienter quelques temps, on va dire que ça forgera mon caractère.


Je me retrouve alors à marcher dans la rue après avoir à peine salué mes parents, de toute façon ils ne me regardent que lorsque j'apporte de bons résultat alors à quoi bon perdre deux secondes à dire des mots dans le vent ? Ça n'a pas d'intérêt.

Les cheveux dans le vent de la brise matinale, je me demandais ce que j'allais pouvoir dire. Déjà on me regardait, surement à cause de mes yeux, mais je suis habitué à ces regards, je sens les émotions des gens se poser sur moi; ils sont curieux, surprit, apeurés... Ou tout à la fois. Qu'importe il faisait beau, et pour une fois, je trouvais que la chaleur du soleil sur ma peau était une sensation agréable; en cet instant, tout pour moi mais mon désir de le revoir, lui, brûlait en moi et je me faisais violence pour cacher ça. Je sentais que je pouvais sauter, danser, chantonner mais je ne peux pas me laisser aller à ça, ce n'est pas parce que j'aurai l'air idiot ou que ça ne me ressemble pas, c'est encore une fois une raison familiale qui m'oblige à marcher droit.

Comme prévu je suis en avance. Mes yeux se tournent et se retournent sur les moindres coins et recoins du lieu que j'analysais; je pensais être resté planté là quelques secondes mais visiblement ça faisait déjà quelques minutes et sans trop comprendre par quelle magie c'était possible, j'étais entouré de deux personnes pour m'escorter jusqu'au bureau du proviseur qui m'expliquait le règlement et le fonctionnement du lycée; je crois bien n'avoir pas écouté, pour une fois. De toute façon c'est partout pareil.

Une dizaine de minutes après la sonnerie qui indiquait le début du cours, on m'accompagna jusqu'à ma salle de classe. Politesse oblige, je devais me présenter. Que dire, ils me regardaient tous avec leurs petits yeux en leur lançant un "Bonjour, enchanté de vous connaître, je m'appelle Akashi Seitarou" avec un petit sourire et un air chaleureux, ils étaient déjà tous conquis. Qu'importe, ils allaient vite comprendre qu'ils ne m'intéressent pas et que me parler n'était pas la solution, et c'est après qu'on m'ait désigné ma place que je m'installa; ainsi commença la matinée.

J'écoutais sans trop écouter, encore une fois, sur le moment ça ne m'intéressait pas. Seijurou... C'est tout; tout ce à quoi je pensais, le seul nom, la seule chose qui était dans ma tête, avec quelques questions : "Est-il aussi "majestueux qu'on le décrit ?" "Est-il quelqu'un de simple ou bien était-il comme moi, un peu fou ?". J'allais bientôt trouver ces réponses à ma questions car la sonnerie retentit à nouveau; c'était la pause déjeuner.

En me levant, je crois bien avoir échapper une sorte de gloussement mais heureusement, ce dernier passa inaperçu pour la plupart des petites fourmis qui sortaient leurs boites pour se remplir la panse ne serrait-ce qu'un petit peu. Je n'ai même pas faim, j'attendais juste qu'on vienne à moi; qu'il vienne à moi, plus précisément. Il allait devoir se déplacer pour moi, pour venir à ma rencontre; c'est la seule chose que j'avais retenu de ce que le proviseur m'avait indiqué : Une visite du lycée par mon cousin.


Finalement, tous les autres élèves étaient sortis pour manger hors de la salle et moi j'étais là en train d'attendre, assis sur ma table avec un air fier sur la figure.
Heureusement pour moi, je n'eu pas à attendre trop de temps que je vis une chevelure flamboyante passer le cadre de la porte et des yeux similaires aux miens me fixer. Il y eu un blanc, finalement il s'approcha. Une démarche fière, des yeux vides qui inspiraient à la fois le mépris et le respect... C'est exactement ce que j'avais imaginé. C'était comme un rêve, ça ne l'était pas; c'était bel et bien la réalité...

<< ...Akashi Seijurou... >>

Lui lançais-je en lui rendant ce même regard avec ces mêmes yeux vairons. Il ne me restait plus qu'à entendre le son de sa voix pour craquer, je le sentais, mais devant lui je n'allais pas me laisser intimider, loin de là; c'était une espèce de bataille majestueuse qui allait se dérouler dans la pièce; gagnera celui qui est le plus noble des deux. Je ne compte pas perdre, lui non plus. 



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MessageSujet: Re: De nobles retrouvailles [PV:Akashi Seijurou]   De nobles retrouvailles [PV:Akashi Seijurou] EmptyDim 16 Fév - 17:38




Retrouvons-nous

La bête humaine. Roman écrit au XIXème siècle, une histoire sombre, le dix-septième volume des Rougon-Macquart. Elle raconte la vie d'un homme, s'appelant Jacques Lantier, un meurtrier esclave de ses pulsions et de ses désirs envers les femmes. Ceci est ce que nous savons, ce que nous percevons. Nous interprétons que ce personnage est mauvais en fonction de ses actes, pourtant, je pense que cela soit réellement le cas. Il a un double visage, un côté sauvage et prédateur qui s'est formé il y a bien des générations. Sa folie n'est que le résultat d'un atavisme, un lien héréditaire qui ne fait qu'empirer avec les années. La famille est fautive, mais les faits ne peuvent être contredits. Bien qu'un seul oeil ne soit coupable, un loup reste une bête qui se doit d'être éliminée... Cette histoire, je la trouve intéressante.

Je me retrouve quelque peu en ce Jacques Lantier. Je n'ai tué personne à vrai dire, mais ma famille a fait de moi ce que je suis. Un chemin préconçu qui n'a pu être évité, et je n'en avais de toute façon pas l'envie. J'ai appris ce que l'on m'a demandé d'apprendre, je me suis cultivé pour arriver à la hauteur de la réussite de mes aînés. Ils n'avaient pas prévu que je pratiquerai un sport, cela leur importait peu, si la route était tracée, elle est bien large. Naître dans ma famille n'était pas synonyme de prison, j'avais le droit de m'amuser et de m'éveiller en jouant avec les autres. Enfin, ceux-ci devaient venir du même niveau social que moi, je ne les choisissais pas réellement, mais cela me suffisait. Avec les années, je me suis fait à cette famille noble aux mille principes.

Je ne connaissais pas tous les membres qui la constituaient, les réunions étaient peu nombreuses et jamais nous n'étions au complet. Au final, nous connaissions la vie des autres par les rumeurs et le bouche-à-oreille, un Akashi étant bien obligé de faire parler de lui pour exister. Artiste, musicien, scientifique, sportif, chacun avait un talent qui lui était propre. J'étais fier de ma lignée et de ce que nous étions devenus, et pour ma part, cela n'était que le commencement. Je brillerai plus que n'importe qui, c'était l'évidence même. Cependant, il y avait un garçon, un cousin dont j'entendais de plus en plus parler. Il excellait dans tous les domaines intellectuels, on disait que c'était le dernier prodige de la famille. Plus le temps passait, et plus les comparaisons entre lui et moi se faisaient fréquentes. Cela m'insupportait. Comment un gamin pouvait déjà me faire de l'ombre ? Plus tard encore, j'appris qu'il venait d'être inscrit dans mon lycée, le nouvel as allait faire son entrée à Rakuzan.

Je ne m'énervais pas, cela était inutile. Après tout, pourquoi discuter des choix aussi insignifiants, j'allais au moins pouvoir le rencontrer. On ne m'avait pas donné de dates d'arrivée, et ce fut le directeur qui me convoqua pour m'offrir plus d'informations. Des murs sombres, une lumière blanche perçant les fenêtres ne faisant paraître que la silhouette de l'homme chauve. Tranquillement assis sur son siège, on sait qu'il aime sa place et qu'il l'a durement gagné, lui aussi est un homme de mérite. Il parle peu mais dit toujours le nécessaire, et je ne peux que rétorquer qu'un "Bien, monsieur.". Akashi Seitarou allait arriver le lendemain, ma mission était de lui faire visiter l'établissement. Je m'y attendais, on me rabaissait au rôle de guide pour cet enfant roi, mais cela n'était pas important : j'allais pouvoir lui faire face.

Deux heures du matin, et je ne trouvais toujours pas le sommeil. A quoi ressemblait-il ? Il ne m'avait pas été décrit, on m'avait seulement vanté ses connaissances. Etait-il grand, fort et robuste ou bien avait-il hérité des gênes raffinées de nos parents ? Il m'intriguait, et puis j'y pensais, plus lui parler devenait une chose obligatoire. L'heure approchait, mon poing se serrait d'excitation face à un nouveau rival. J'allais pouvoir le remettre à sa place, lui faire comprendre qu'il n'y a qu'un seul as dans la famille, et cela ne serait jamais lui. Le lendemain je le retrouverai à l'heure du déjeuner, et alors il se rendrait compte.

La matinée passa, plus lentement que d'habitude. Mon corps était en classe mais mes pensées ailleurs. Elles traversaient les murs pour se rendre dans le réfectoire pour rejoindre mon sang. Midi, la cloche retentit. Je marche doucement, bousculant ceux qui m'entourent. Je n'entends plus rien, je ne veux plus rien entendre. Il n'y a que lui, derrière cette porte, il est temps. J'ouvre la porte, je regarde à droite, puis à gauche. Au fond, il y a un jeune garçon aux cheveux blonds, il est assis seul au milieu d'une longue table. C'est lui, Akashi Seitarou, cousin et sujet de mon attention. Nos regards se croisent, ils sont les mêmes. J'avance doucement, sans rien exprimer, les yeux légèrement plissés, fixés sur le jeune garçon.

<< ...Akashi Seijurou... >>

Il vient de susurrer mon nom. Je ne lui réponds pas. Les présentations sont inutiles, nous nous connaissons. Sans attendre, je lui tends poliment la main afin de serrer la sienne et lui dis :

"Bien, comme me l'a demandé le directeur, je vais te faire visiter notre lycée. Pourquoi ne pas commencer par la bibliothèque ? Tu aimes lire à ce qu'on m'a raconté. Connais-tu "La Bête Humaine" d'Emile Zola ? J'aimerais connaître ton avis pendant que nous marchons."

Il n'y a rien d'autre à dire, un duel de connaissances commence, et je ne peux perdre.





HRP : J'espère que cela te satisfera, j'ai mis pas mal de temps à le faire... Désolé du manque d'idées D8
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MessageSujet: Re: De nobles retrouvailles [PV:Akashi Seijurou]   De nobles retrouvailles [PV:Akashi Seijurou] EmptyLun 17 Fév - 22:42





<< Bien, comme me l'a demandé le directeur, je vais te faire visiter notre lycée. Pourquoi ne pas commencer par la bibliothèque ? Tu aimes lire à ce qu'on m'a raconté. Connais-tu "La Bête Humaine" d'Emile Zola ? J'aimerais connaître ton avis pendant que nous marchons. >>

Cette voix... Quelle délicieuse mélodie qui résonne à mes oreilles. Pourtant je pouvais déjà entendre qu'elle sonnait quelques peu faux. Colère, incertitude, Méfiance ou tout simplement mépris... Qu'est-ce que mon cher cousin ressentait, exactement ? Quelle a été sa première impression en me voyant; il semblait être pressé de me voir, lui aussi. Pour être sévère, il savait l'être; il fait bien partit de la famille il n'y a aucun doute là dessus, aucun.

Me proposer de visiter la bibliothèque parce que j'aime lire, à ce qu'on lui a raconté. Alors lui aussi a vent des bouches à oreilles ? C'est quelque chose qui marche très bien dans la famille, visiblement. Ça réussit à nos parents de vanter nos mérites, ils ne se gêne vraiment pas ! C'est pourtant d'autant plus intéressant de savoir qu'il connait quelques choses à mon sujet mais moi j'en connais surement plus sur lui, j'ai volontairement espionné toutes les conversations de la famille le concernant. Pas une seule le rabaissait alors moi, je faisais de même pour que tout ce qui se dit sur moi soient des éloges.


C'est à peu près comme ça que j'avais imaginé Seijurou; quelqu'un de froid qui méprise tout le monde et qui se croit meilleur que les autres alors que pourtant il est loin d'être le plus grand des garçons; pas niveau taille mais rien que là, en étant assis tandis que lui se tient debout, je me sens un peu inférieur, aussi, je ne tarda pas à me lever pour me retrouver à sa hauteur. Enfin hauteur... Il est d'un an mon aîné et mesure donc quelques centimètres de plus mais rien que ça c'est frustrant en fait. Dans la famille, nous n'avons jamais été des géant, ça se saurait, sinon. On est destinés à diriger; à la politique, et non pas au basket. C'est en soit quelque chose d'un peu méprisant de sa part que de vouloir détourner les attentions familiales en jouant mais je crois bien que cette même famille n'a pas été déçue et justement, c'est une chose de plus pour laquelle il a su se faire une place. Il est vraiment très arrogant...


C'est donc lentement que j'attrapa sa main pour la serrer avec politesse en signe de salut et je l'écoutais avec attention, perdant mon regard dans le sien. C'est sûr qu'on pouvait nous comparer, la ressemblance entre nous est vraiment frappante; rien qu'en regardant nos yeux assez particuliers, on devine que nous avons un lien de parenté. Si j'avais eu les mêmes cheveux, on aurait pu nous prendre pour des jumeaux et je crois que je me serrait pas mal amusé de ça et je devine que lui, ça l'aurait agacé.

<< "La bête humaine"... Les Rougon-Macquart... Tu crois à la théorie sur l'hérédité et le milieu ? Dans les écrits de Zola, on voit pourtant qu'il y a une certaine limite à sa théorie. Même si, naître pauvre aura peu de chose de faire de quelqu'un un grand acteur connu. Mais remarque que, naître dans notre famille a toujours fait quelqu'un de noble, n'est-ce pas ? Et pour ce qui est du roman... Est-ce qu'on peut réellement considérer Lantier comme un fou ? Je ne pense pas... >>

Je ne pu détacher mon regard des yeux de mon cousin; ils sont tellement semblables aux miens, s'en était presque effrayant quoi que d'un côté, amusant; du moins pour moi. Lentement, je passa une main sur la jour de mon aîné tout en m'avançant d'un pas vers lui, approchant par la même occasion mon visage du sien pour observer avec attention ses iris.

<< C'est vraiment la même couleur... Tu ne trouve pas que c'est un signe, cher cousin ? >>

La peau douce et chaude, les yeux pétillants de mépris... Il y a de quoi en frissonner c'est sur, mais moi je veux surtout en rire.

Il a eu les cheveux rouges, je les ai eu jaunes, et la couleur de nos yeux est inversée. Ça fait de nous deux des personnes opposées mais en même temps complémentaires non ? Je ne compte pas être son inférieur, je compte être son rival; je veux qu'il me prouve qu'il m'arrive à la cheville ou qu'il me dépasse, auquel cas je redoublerai d'efforts pour le rattraper et peut-être finalement, le dépasser à mon tour. Je ne veux pas le laisser me devancer, je veux lui traîner dans les pattes le plus possible pour qu'il prenne bien conscience de ma présence; Seijurou ne pourra pas faire tout ce qu'il veut dans la famille, je suis là moi aussi; je suis là.

En ce moment je ne me posais qu'une seule question : Allais-t-il pendre peur ? Un Akashi, prendre peur ? C'est quelque chose d’impensable bien sûr, je le vois bien me repousser de manière terriblement froide et sévère; il l'est tellement, j'ai envie de détendre cette tension ou plutôt de le décoincer un peu c'est le mieux à faire. Je meurs d'envie de le taquiner le plus possible, c'est surement un autre de mes caprices que de désirer être collant avec lui, agir comme un petit frère qui se reposerait sur son grand frère. J'espère qu'il a bien profité de ses heures de gloire, cette année va être bien difficile pour lui, avec moi à ses côtés. Akashi est bien beau avec ses airs de noble mais il ne me connait pas. C'est fou comme je m'y plais déjà, à Rakuzan. 



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