lady makoto ♕

Yoshiteru Makoto

Physique

Lady Makoto, vous êtes si jolie ! Votre coiffure qui vous arrive jusqu’en bas de votre dos, votre visage, vos vêtements vous font ressembler à une poupée de porcelaine. Tout d’abord avec votre peau laiteuse attire le regard des curieux et qui fait ressortir vos longs cheveux semblable à de la lavande. Votre corps svelte mesure un bon mètre soixante-cinq pour cinquante et un kilogrammes. Makoto, vous êtes presque en sous poids, pourtant, vous vous nourrissez assez, la « graisse » se logeant dans votre poitrine que vous trouvez horriblement grosse. Vous souhaitez que votre corsage diminue au lieu de votre gramme lorsque vous faites votre jogging hebdomadaire. Parlons de votre visage. Vos yeux sont violacés, leur lueur inexistante n’apparait lorsqu’une émotion forte vient à vous. Votre nez est légèrement retroussé, un signe que vous gardez depuis votre enfance. Vos lèvres légèrement rosées naturellement s’étirent rarement en un sourire qui arrondit vos joues et vous donne un air encore enfantin. Vos bras sont longs et fins, ainsi que vos doigts – serait-ce à force de jouer du piano ? – vos jambes ne sont pas très longues, mais elles s’accordent bien avec le reste de votre corps.

Mademoiselle, votre style vestimentaire est assez simple. Vous portez souvent une robe blanche et bleue marine, qui tire vers le noir. De la dentelle recouvre chaque extrémité de votre vêtement. Le col monte jusqu’au milieu de votre cou, orné d’un ruban rappelant la couleur de vos cheveux – mais en un peu plus clair –, la partie bleue de votre robe recouvre vos épaules en passant en dessous de votre poitrine pour aller jusqu’au centre de votre vêtement. Chaque extrémité est aussi recouverte de dentelle blanche. Vos manches sont bouffantes vers vos mains, vous appréciez beaucoup cela ; vous détestez être serrée dans le vêtement que vous portez. Deux longues chaussettes blanches cachent vos jambes jusqu’à vos genoux. Ils sont également orné d’un petit nœud – de la même couleur que celui que vous avez sur votre col - sur chaque côté externe de vos chaussettes. Et pour finir, vos chaussures sont de simples ballerines de la même couleur que votre robe – la partie bleue marine – avec de léger talons.

Caractère

Ma chère Makoto, chaque personne qui ose poser leurs yeux sur votre personne pensent directement que vous êtes une personne calme, telle une oasis brillant sous le soleil. Cependant, sous ce masque sage se trouve une sournoiserie à en corrompre le plus pur des anges. Il faut que votre peuple sache que vous n’êtes perfide qu’envers vos adversaires. Makoto, vous êtes telle une rose, vos manigances sont vos épines. Malgré tout, une rose ne possède point que des ronces, au sommet se trouvent de magnifiques pétales aussi doux que vous lorsque vous êtes avec la valetaille que vous approuvez. Avec tout cela, très peu d’êtres savent que vous affectionnez plus que tout la littérature. Lady, vous adorez vous abandonner à un ouvrage digne de Shakespeare accompagné de ce merveilleux nectar qui n’est d’autre que le thé à la prune. Néanmoins, vous ne vous restaurez pas d’une quelconque sucrerie, votre délicat palais n’accepte point la raffinerie depuis que vos aïeuls aient abusé de votre naïveté d’antan. Vos ascendants flattaient vos papilles à chaque instant qu’ils le pouvaient. Désormais, la rose se fane. Votre visage comparable à celui d’une poupée de porcelaine possède de fines lèvres que vous n’étirez que très rarement. Vous n’en voyez aucun bénéfice. Mademoiselle, votre sourire est aussi rare qu’une oasis dans un désert. Attention, ne parlons pas de votre joie que vous adressez aux individus d’haut rang, celle-ci est totalement factice. Pourtant, il vous arrive de revenir à votre personnalité désormais révolue. Votre nature que vous possédiez lorsque vous étiez plus jeune, une intonation d’enfant, des onomatopées que vous utilisiez lorsque vous étiez innocente tel que « Mii~ » ou bien « Nipah~ ». Malgré cela, vous ne reprenez cette caractéristique pour déstabiliser vos adversaires ou bien pour faire une attrape aux personnes que vous appréciez. Mais, cela ne vous empêche point d’être une femme sérieuse et attentive. Makoto, vous utilisez vos derniers traits de caractère autant dans l’étude de vos cours, qu’envers vos amis.

Ma belle demoiselle, vous êtes une personne aussi croyante qu’un prêtre. Après tout, vous comptez devenez prêtresse du temple où vous avez vécu du temps de vos parents biologiques. Votre foi en Dieu est incroyablement forte. Ceci dit, depuis que vous vivez chez ascendants adoptifs, vous avez appris beaucoup de choses, notamment à jouer du piano. Il vous arrive parfois de faire quelques concerts sous la demande de vos apparentés. Ces derniers vous ont aussi conviés à apprendre ce magnifique instrument qu’est le violon. Bien évidemment, vous prenez un imposant plaisir à apprendre à jouer de merveilleuses mélodies. Avec tout cela, quiconque penserait que vous aimez la musique, ce qui n’est pas totalement faux, mais vous ne supportez absolument pas les musiques que les citoyens de votre âge écoutent. Vous êtes plus dans un style classique, ce qui correspond amplement à votre caractère actuel. Cependant, vos aïeuls souhaiteraient que vous soyez un peu plus expressive qu’en dehors de vos rares sourires. En effet, Makoto, vous êtes une personne apathique. Aucune émotion ne se pourrait se trouver sur votre visage. Malgré tout, cela ne vous empêche pas d’être une jeune femme autoritaire. Vous avez appris à donner des ordres et parler avec assurance. Pourtant, vous espérez que vos feu parents ne retournent pas dans leur sépulture en voyant votre changement de caractère suite à votre rééducation. Mais ce fait d’être stricte ne vous abstient pas d’être protectrice, avec une légère tendance à gâter les individus qui sont chers à votre cœur.

Il y a aussi une chose que les humains doivent savoir de vous. Makoto, vous ne supportez pas tout ce qui est électronique. Bien entendu, vous avez un téléphone portable. Néanmoins, vous ne supportez point être constamment pendue à cet appareil que ce soit pour les appels ou bien les messages. Pour vos écrits, vous privilégiez l’écriture manuscrite. Evidemment, lorsque vous devez avoir une réponse rapide, vous vous permettez d’envoyer un message à la personne concernée. Par ailleurs, parlons de votre cellulaire qui n’est pas à la pointe de la technologie. Pourquoi ? Tout simplement parce que vous ne supportez pas la richesse abusive de vos parents adoptifs – ce qui fait que vous évitez de vous en venter, comme la plupart des jeunes superficiels – et que vous ne voyez pas réellement une utilité propre à cet objet que vous utilisez rarement. Malgré tout, lorsque vous l’utilisez, cela ne vous empêche point d’être polie comme vous l’êtes à l’accoutumé, que ce soit à l’oral que par vos écrits.

Histoire

Ma chère Makoto, vous êtes née dans un jour où le soleil enveloppait votre village. Un quatorze avril pour être plus exact. Votre famille et les personnes peuplant votre village isolé du monde vous attendaient avec impatience. Vous êtes la huitième fille de cette grande famille. Avant vous, sept autres filles sont nées, chacune d’entre elles possédait le nom d’un « démon » et étaient considérée comme les sept péchés capitaux, cela est due à la croyance de votre contrée. La première fille se nommait Lucifer ; elle représentait l’orgueil. La seconde s’appelait Leviathan ; son pêché était celui de l’envie. La troisième était Satan ; celle-ci désignait la colère. La quatrième était appelée Be lphegor ; on l’associait à la paresse. La cinquième avait été nommée Mammon ; elle incarnait l’avarice. La sixième était surnommée Béelzébub ; la gourmandise était le pêché qu’elle représentait. Et votre septième sœur se nommait Asmodeus ; elle était la luxure.

Votre enfance s’est passée sans gros évènements, vous êtes allée dans la seule école de votre village, vous aviez des amies. Bref, vous étiez heureuse de votre vie. Puis, à l’âge de neuf ans, vos parents vous ont offert un journal ; étant prêtre et prêtresse, ils n’avaient pas réellement les moyens de vous payer les cadeaux les plus chers, mais, juste recevoir quelque chose vous avait fait plaisir. C’est le soir même que vous avez commencé à écrire dans votre petit journal. Vous aimiez beaucoup écrire dedans, et encore aujourd’hui.

« 14 Avril XXXX.

Cher journal,

Aujourd’hui, papa et maman t’ont offert à moi. Tu sais, j’ai neuf ans. Et j’aime beaucoup la vie que dieu m’a offerte. J’aimerais te parler de beaucoup de choses, mais cela viendra avec le temps, pour le moment, je vais simplement te parler de ma vie avant que l’on soit ensemble, d’accord ? Puis, je devrais te trouver un petit nom, parce que, je te considère déjà comme mon ami ! Je sais comment je vais t’appeler ! Sakutaro ! C’est joli, non ? Hihi, j’espère qu’il te plait. Hm, laisse-moi d’abord te parler de mes grandes sœurs ! Je les aime beaucoup même si elles aiment bien me taquiner… Je me suis toujours demandée pourquoi elles avaient des noms si peu communs alors que moi, j’ai un prénom tout à fait normal ! Maman m’a dit que c’est parce qu’une voyante qui est décédée lui avait prédit qu’elle aurait huit filles ! Normalement, elles ne devaient être qu’une seule personne, pourtant, elles ne sont pas nées en même temps, donc je ne comprends pas trop… Mais ce n’est pas grave, parce que mes sœurs, je les aime aussi fort que j’aime mes parents ! J’aimerais tellement te raconter d’autres choses, mais maman m’appelle pour passer à table, promis demain je reviens te parler ! A demain Sakutaro !

Makoto. »

Chaque jours vous écriviez à Sakutaro, c’était votre petit plaisir, vous en parliez à vos sœurs et à vos parents. Ils vous trouvaient adorable de considérer un simple journal intime comme un ami qui vous est proche. Cependant, vous ne les laissiez pas lire une seule ligne de ce que vous écriviez. Ce qui est normal, non ? Si quelqu’un lisait ce que vous écriviez, c’est comme si votre vie privée était violée. C’est pour cela que vous le cachiez toujours sous votre futon. Votre mère l’avait souvent trouvé, mais elle ne l’avait jamais ouvert, sûrement par respect de votre demande. Encore et toujours, votre écriture se trouvait dans ce cahier.

« 20 Août XXX.

Cher Sakutaro,

Comment vas-tu aujourd’hui ? Moi, ça ne va pas trop. Il y a quelques temps, un déluge est tombé sur le village qui a fini par être inondé. Papa, maman et mes sœurs ne sont toujours pas rentrés. Je m’inquiète beaucoup. Pourtant, un monsieur qui appartient à la police est venu me dire qu’ils sont décédés. Je ne veux pas y croire, je suis sûre qu’ils sont encore présents dans un endroit, il y a une grande forêt près du temple, je suis sûre qu’ils se sont juste perdus ! …Tu sais Sakurato, je me sens si seul. D’habitude, le temple est si bruyant et joyeux, maintenant, c’est vide et silencieux… Je me sens seule… J’espère qu’ils vont vite revenir. Je le sais qu’ils vont revenir, ce n’est pas bien de laisser une petite fille de onze ans toute seule à la maison, pas vrai ? Hm… Désolée, je dois aller préparer le dîner, j’espère qu’ils seront fiers de moi en rentrant.

Avec amour, Makoto. »

Le temps passait, encore et encore. Chaque jour, vous écriviez à Sakutaro que vous étiez persuadée que votre famille adorée allait revenir. Vous avez aussi commencé à parler à Furfur et Zepar, des amis imaginaires, elles étaient vraiment gentilles, elles vous réconfortaient lorsque vous alliez mal.

« 17 Septembre XXXX.

Cher Sakutaro,

Je crois que le monsieur de la police avait raison, ma famille ne reviendra jamais. Je pleure tout le temps. Je me sens si seule. Heureusement que Furfur, Zepar et toi sont à mes côtés. J’arrive à garder le sourire grâce à vous trois, je ne vous remercierais jamais assez ! Puis, tu sais, un couple est venu voir le temple aujourd’hui… Je les ai observés de loin. J’ai entendu dire qu’ils aimeraient avoir ce temple pour lui redonner vie… Ils reviendront demain, je te tiens au courant des événements.

Avec amour, Makoto. »

Ce que vous ne saviez pas, ma chère, c'est que l'homme qui vous avait annoncé la mort de votre famille vous surveillait, pour vous assurer que rien ne vous arrive, il avait même vu le couple était revenu au temple - il leur avait demandé de bien fouiller la maison près du temps, ce qu'ils avaient fait, ils vous avaient trouvée. Vous veniez d’avoir douze ans. Et ils vous ont adoptées. Votre nouvelle mère ne pouvait pas avoir d’enfants, vous avait-elle expliquée. Vous les aviez donc suivit, avec un pincement au cœur, après avoir pris affaires de ce temples où vous avez toujours vécu.

Vous avez grandis, maintenant, vous avez dix-huit ans, cela fait six ans que vous vivez au sein de la famille Yoshiteru. Beaucoup de choses ont changées. Votre éducation a été refaite, vos parents adoptifs tenant une grande entreprise veulent que vous la repreniez lorsque vous serez en âge de diriger des personnes. En ce moment, vous tenez Sakutaro entre vos mains, Furfur et Zepar sont toujours à vos côtés. Vos bras tremblent. Vous ouvrez ce cahier que vous aimez tant et le relisez. Les larmes vous montent aux yeux. Cela fait si longtemps que vous n’avez pas écrit à Sakutaro, il a du se sentir si seul, vous vous en voulez. Lentement, vous vous dirigez vers votre bureau et prenez un stylo. D’une main tremblante, vous écrivez.

« 15 Mai XXXX.

Cher Sakutaro,

Cela fait six ans que je ne t’ai pas écrit, j’en suis sincèrement désolée. Beaucoup de choses ont changées. Tu sais, j’ai dix-huit ans maintenant, je suis lycéenne à Kirisaki Daiichi. Tu te souviens des personnes qui sont venues visiter le temple ? Et bien, ils m’ont adoptée. Ils m’ont chouchoutée comme si j’étais leur propre enfant. Cependant, ils ont dû refaire mon éducation, parce qu’ils sont riches et assez connus. Cela fait bizarre. J’ai tellement de choses à te dire que je ne sais même plus quoi écrire. Furfur et Zepar sont encore à mes côtés. Chaque année, je vais me recueillir sur la tombe de père, de mère et de mes sept sœurs. J’espère qu’ils ne sont pas trop tristes que j’aie rejoint une nouvelle famille. Je pense qu’ils sont heureux, enfin… je ne sais pas. Mes nouveaux tuteurs veulent que je reprenne leur entreprise lorsque je serais plus âgée. Cependant, moi, je souhaiterais retourner au temple et faire revivre le village… Je l’aime réellement, comme je t’aime toi, Furfur, Zepar, père, mère et mes sœurs. Je… » Des perles salées tombent lentement sur le papier où votre écriture se trouve, vous pleurez. D’un revers de main, vous essuyez vos larmes. « …Ils me manquent profondément. J’aimerais que ce ne se soit pas passé comme cela, mais, ce doit être un test de dieu, non ? Voir comment je réagirais à la vie si quelque chose de tragique m’arrivait. Je dois l’accepter. Mais ils resteront tous au fond de mon cœur. Gravé comme dans de la roche. Jamais je ne les oublierais. Bon… Je dois te laisser Sakutaro, on m’appelle pour le souper.

Avec amour, Makoto. »

Vous reposez votre stylo, essuyez les dernières larmes de votre visage et descendez manger avec votre nouvelle famille ; vous avez accepté la mort de votre ancienne famille. Votre deuil s’est terminé au bout de sept longues années.

Presque validée !

T'as vu, je débarque en KiriDai Mode 8D. /PAN/ Bref.

Déjà. Sache que j'adore ton avatar. Il est terriblement adorable. Cette miss est tellement mignonne. Elle colle tellement au personnage. Bwef, j'adore l'avatar.

Ensuite. J'aime bien le style d'écriture, même si je t'avoue que la deuxième personne du pluriel me perturbe un peu, j'ai du mal à l'associer à une seule personne en fait. Mais ça, c'est peut-être parce que je suis quelqu'un qui a le vouvoiement difficile IRL, surtout envers des personnes aussi jeunes alors que je tutoie des adultes de vingt, vingt-cinq, trente piges. /PAN/

Bon, honnêtement, je ne vois pas ce qui pourrait m'empêcher de te valider, sinon peut-être un quelque chose qui m'a fait tiquer : je ne pense pas que des flics auraient laissé une gamine mineure seule dans un temple en sachant sa famille morte. Certes, à 10, 11, 12 ans, on peut être très débrouillards et tout, mais la logique voudrait qu'elle soit saisie et placée en orphelinat ou famille d'accueil.

Du coup, je suis chiante (j'assume /PAN/) mais je te demande de modifier ceci. J'ai regardé normalement tu ne devrais pas avoir à changer grand chose (tu peux dire que la fille est prise, mise en orphelinat, puisque le temple lui revient de droit il n'est pas vendu, à ses 12 ans les Yoshiteru l'adoptent et emménagent avec elle dans le temple, quelque chose comme ça, histoire que ce soit plus cohérent).

Une fois ceci fait, je passerai te valider, louloute.

Validée !

Nous avons trouvé un terrain d'entente, la modification qui a été faite, je l'ai acceptée, dooooonc désormais je ne vois plus rien qui m'empêche de te valider !

Du coup, tu le sais, mais fais un tour par ici pour toutes les formalités, notamment le recensement des avatars qu'il te faut compléter, comme d'hab ~ (limite, tu peux éditer toi-même ça nous fait du taff en moins /PAN/)

Allez, je te met ta couleur et ton rang, et je te souhaite un bon jeuuuu !