AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Partagez
 

 Just like when we were children. [PV Momoi ♥]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
avatar
Invité
MessageSujet: Just like when we were children. [PV Momoi ♥]   Just like when we were children. [PV Momoi ♥] EmptyJeu 12 Fév - 5:04


Just like when we were children.

Feat Momoi & Lullaby


C'est avec une impatience inhabituelle que tu es sortie du lit ce matin, courant entre ta chambre, la salle de bains et la cuisine, rabâchant à toutes les oreilles que tu allais revoir ton amie d'enfance. Momoi Satsuki, un nom bien connu aux oreilles de tous ceux qui s'occupaient de l'immense maison de tes parents. Toutes les deux, vous vous connaissiez depuis des années et, même si vous vous êtes peu à peu éloignées l'une de l'autre à cause des entraînements, vous n'avez jamais totalement perdu contact. C'est lorsqu'elle t'a abordée un jour après t'avoir vue traîner avec Hiro que tu as découvert qu'elle habitait dans les parages, et qu'en plus, elle côtoyait toujours la Génération des Miracles. Du coup, ni une ni deux, vous aviez prévu qu'elle viendrait chez toi aujourd'hui. Tu sais parfaitement qu'elle va te harceler de questions à propos d'Hiro et toi, mais... tu ne lui diras rien, pour la faire languir comme il se doit !

En bref, tu es sur les chapeaux de roues depuis ton réveil. Déjà habillée, tu as rejoint la cuisine, et tu es assise sur une chaise, en train de grignoter un cookie alors que le cuisinier, issu de la restauration française, s'affaire dans la pièce. Tu le regardes faire, avec un calme imperturbable. Il est habitué à ce que tu l'observes, aussi, il ne s'en étonne plus. Et puis, il est tout concentré à sa tâche. Jusqu'à ce qu'il te voit te lever pour aller prendre un autre cookie.

    ▬ Vous ne devriez pas grignoter autant, Madem...
    ▬ Pas de Mademoiselle quand nous ne sommes qu'entre nous, Arthur, tu le sais bien pourtant.
    ▬ Je suis désolée. L'habitude, vous savez. Sinon, pour en revenir à ce que je disais, peut-être devriez-vous cesser de manger autant entre les repas ?
    ▬ Pas de risque, je fais tellement de sport à côté que je peux manger autant que j'en ai envie, ça ne se verra jamais !
    ▬ Vous en avez, de la chance. Gardez tout de même de la place pour le repas que je suis en train de concocter !
    ▬ Ne te fais pas de soucis, j'ai toujours de l'appétit pour tes bons plats !

Tu souris, et croques dans ton biscuit, avant de sortir tout en agitant la main à l'adresse du cuisiner. Tu t'aventures dans le jardin après avoir enfilé tes chaussures. Tu profites du beau temps pour aller t'installer au bord de la fontaine, située juste entre le portail et la porte d'entrée de la maison, sachant pertinemment que tes parents ne vont pas tarder à arriver. Ils ont juré d'être là pour voir, je cite « cette demoiselle Satsuki qui a du bien grandir, depuis le temps ». Ils n'ont pas hésité une seconde à accepter sa venue. Ils l'ont toujours adorée.

Le portail s'ouvre, et l'imposante voiture noire aux vitres teintées s'avance dans l'allée. Tu te lèves aussitôt, replaçant correctement le bas de ta jupe et le col de ta chemise, en retenant un soupir de lassitude. Toujours avoir fière allure, Lullaby, toujours, même si tu n'en as rien à faire et que tes parents se donnent juste des airs de nobles parce qu'ils sont fortunés alors que leur nom est et restera inconnu à tout jamais. La voiture s'arrête, le chauffeur descend, ouvre à ta mère. Une femme qui a bientôt la cinquantaine, ridée mais charmante. Accompagnée d'un homme à peine plus âgé, au visage sévère.

    ▬ Papa, maman, bonjour. Vous avez fait bonne route ?
    ▬ Oui, ma fille, merci de t'en soucier. C'était long, mais que ne donnerions-nous pas pour revoir cette chère Satsuki !
    ▬ Il ne fallait pas vous donner autant de mal. Comptez-vous rester jusqu'à son départ ?
    ▬ Malheureusement, nous repartons tôt demain matin, mais tu lui diras au revoir de notre part, au midi. N'est-ce pas ?
    ▬ Evidemment, père.

Tu affiches un léger sourire, et trottine tranquillement jusqu'à l'arrière de la voiture pour aider à décharger. Tu sens le regard de ton géniteur sur toi, qui se retient de te dire de laisser cette tâche aux domestiques. Il n'obtiendra jamais le dernier mot de ce côté-là, face à toi, et il le sait. Il n'accepte pas tant l'idée que, dans ton petit appartement du centre-ville, tu fasses tout toi-même. De la cuisine au ménage, en passant par payer le loyer. Ils t'ont bien proposé de l'aide, mais tu as refusé. Et puis, ton travail à l'animalerie ne te déplaît pas. En plus, les clients t'adorent. Tu es « la charmante jeune fille » que les parents viennent voir lorsqu'ils leur faut acheter un petit animal pour leur enfant. Tu es toujours ravie lorsque tu vois les yeux émerveillé du gamin en question qui te remercie en t'assurant que le chien que tu lui as montré est le meilleur du monde. Mais ça, jamais tes parents ne sauraient le comprendre. Alors, tu te tais, et tu esquives l'affrontement.

Une fois toutes les valises déchargées, tu te glisses à la fenêtre du chauffeur, avec un petit sourire, tenant un papier dans ta main. L'homme baisse la vitre, t'adresses un léger sourire. Ici, tout le monde mis à part tes parents savent qu'avec toi, ils peuvent être plus familiers qu'avec tes géniteurs.

    ▬ Vous désirez ?
    ▬ Akiro, te souviens-tu de l'adresse de Satsuki ?
    ▬ Evidemment.
    ▬ Pourrais-tu aller la chercher et la ramener ici ? Et lui remettre ce billet, s'il te plaît ?
    ▬ Sans aucun problème. Ce sera tout ?
    ▬ Demandez-lui juste de vérifier qu'elle a ses affaires pour la nuit et... un maillot de bain.

Il hausse un sourcil, tu souris, et il t'adresses un clin d’œil en attrapant le bout de papier que tu lui tends. Petit papier rose, sur lequel est écrit « Tu te souviens d'Akiro, notre chauffeur ? Monte, et surtout prépare-toi à l'après-midi ainsi que la nuit de folie que nous allons passer ! Crois-moi, nous ne dormirons pas beaucoup, j'espère que tes batteries sont pleines ! - Lullaby. » Tu regardes la voiture s'éloigner, et soupires. Environs deux heures à attendre. C'est peut-être bien le seul inconvénient que tu trouves au fait que tes parents n'habitent pas dans la même ville que là où se trouve ton lycée. Mais, quelque part, ça te permet de ne pas les avoir sur les dos. Tu ne craches donc pas dessus.

    ▬ Mademoiselle Lullaby, le déjeuner est servi !

Tu lances un dernier regard au portail qui se referme derrière la voiture aux vitres teintées, une espèces de limousine on ne peut plus confortable, puis tu te détournes pour rentrer, te réjouissant par avance à l'idée de goûter à un énième plat toujours aussi succulent d'Arthur. La cuisine française a du bon, décidément.
*****

Tu entends le portail s'ouvrir, et, aussitôt, tu sors de ta chambre, sans même prendre le temps de refermer ce livre que tu lisais. Il se retrouve abandonné sur ton lit, alors que tu descends les marches de marbre quatre à quatre. Tu manques bousculer Suzuki, la femme de chambre, qui te supplie de ne pas courir dans les escaliers, au risque de faire une mauvaise chute. Tu t'excuses en riant, et puis tu sors au grand jour. La voiture se gare au même moment, et tu te précipites sur ton amie aux cheveux roses, au moment même où elle en sort, pour te jeter à moitié à son cou, tout en essayant de ne pas vous entraîner toutes les deux dans une chute phénoménale.

    ▬ Satsu-chaaaaaan ! Ça fait longtemps que t'es pas venue ! J'suis trop contente, on va s'amuser de dingue !

Tu entends le toussotement sévère de ton père, derrière toi. Ah, oui, l'étiquette, la bienséance. A bas les bonnes manières et les phrases trop bien tournées pour toi, lorsque tu es avec tes amis. Ah, s'il connaissait ce langage coloré que tu aimes employer, s'il savait... Tout de même, dos à lui, tu lèves les yeux au ciel en imitant ses mimiques, comme tu le fais toujours lorsque Satsuki vient chez toi et que ton père te fait remarquer ta mauvaise conduite. Tu pouffes, et puis tu la prends par les épaules, bien décidée à ne pas laisser ton paternel te dicter ta façon d'être, aujourd'hui. Tes parents saluent poliment cette « demoiselle devenue si charmante », je cite ; et puis tu l'entraînes à ta suite dans ta chambre, l'aidant à porter ses affaires. Dans les escaliers, tu lui adresses un sourire complice avant de murmurer.

    ▬ Tu as bien pensé au maillot ?

Ça y est. Maintenant qu'elle est là, l'engrenage est lancé. Comme toutes les fois précédentes, vous ne tiendrez pas en place. Et tes parents ne se rendront jamais compte de rien, persuadée que leur fille est encore et toujours une digne héritière qui a juste quelques petites choses à apprendre pour devenir une parfaite gosse de riches. Ils peuvent toujours rêver.
© Imaginary pour Epicode
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité
MessageSujet: Re: Just like when we were children. [PV Momoi ♥]   Just like when we were children. [PV Momoi ♥] EmptyDim 15 Fév - 17:51



Just like when we were children.

Cf ; Lullaby Hitomi


Aujourd'hui, une nouvelle journée commençait pour Momoi et pour une fois, elle serait calme -cela dépend le sens de 'calme' bien sûr-. Pas d'entraînements de basketball, une petite pause dans son emploi du temps qui durerait quelques jours pendant lesquels elle s'amuserait sans limite ! Cela faisait une éternité que Satsuki n'était plus allée chez son amie ; depuis l'enfance pour être précise. Certes, elles se voyaient par moment à la sortie des cours mais c'était très bref et rare comme elles ne fréquentaient plus les mêmes établissements. Grâce au hasard, elles s'étaient reparlées et maintenant, elle allait pouvoir la rejoindre dans son habitat.

La demoiselle s'était vêtue d'un pull rose pâle à col roulé -roulant au passage son corps-, d'un slim noir qui mettait en valeur ses jambes. Des chaussures qu'on trouve partout,    un manteau beige descendant jusqu'à ses cuisses puis c'était tout. Féminine, sans aucun maquillage -vu comment elles allaient s'amuser, elle ne voulait pas avoir l'air d'un panda à la fin de leur weekend-. Accroché à son dos, un petit sac à dos aux motifs floraux. Dans sa main, elle tenait une petite valise qu'elle faisait traîner comme un poids mort, une moue au visage montrant bien son mécontentement. Faire toute la route à pieds ou en taxi car son paternel n'était pas présent et ne rentrerait pas avant un bon moment ! Cependant, à peine avait-elle fait cinq pas qu'elle voyait une immense voiture arriver dans la rue et s'arrêter presque devant elle. Momoi sourit, d'un air un peu bêta et surprise, cette voiture elle s'en souvenait mais ne s'attendait pas à la voir devant le seuil de sa porte.

Elle salue le chauffeur que bien sûr elle connaît malgré que l'âge le vieillissait un peu puis lit le bout de papier qu'il lui tend. Un léger rire lui échappe, finalement elle avait bien fait d'être prévenante et de prendre déjà son maillot de bain, pour ce qui était des batteries... elle verrait plus tard ! Il prend sa valise, elle le remercie et dépose son sac dans le coffre avant de s'asseoir à l'arrière. Toujours aussi grande, il serait possible de danser là-dedans..! Elle s'adosse sur la banquette et regarde par la fenêtre en attendant qu'ils n'arrivent le plus rapidement possible.

La porte s'ouvre, cette fois elle est arrivée. Satsuki n'a même pas le temps de dire quelque chose que quelqu'un lui saute dessus -pour une fois que ce n'est pas le contraire-. Elle gesticule pour garder équilibre et ne pas tomber, souriant gentiment tout en la serrant dans tes bras. Si Lullaby ne te repousse pas tu peux bien rester ainsi non ? D'habitude Momoi se fait repousser pour être trop collante, cette fois c'est elle qui la lâche en première pour l'écouter.

- J'ai tout prévu comme d'habitude et j'espère que tu auras des infos croustillantes à me donner !

Satsuki lui a murmuré la fin de sa phrase à l'oreille comme par peur que ses parents ne l’interprètent mal ou ne soient même pas au courant. Elle s'incline doucement en avant, leur dit bonjour pour ne pas paraître impolie même si actuellement elle veut profiter de ce séjour. Un rire léger passe ses lèvres face à son imitation mais il est tellement discret qu'il ne semble pas moqueur alors les adultes ne se doutent pas de leur petit jeu. Prenant ses affaires, remerciant le chauffeur elle s'empressa de rentrer dans la maison qui lui était bien familière, poussée par Lullaby qui semblait encore plus pressée qu'elle. Montant les marches doucement, elle relève sa tête pour afficher un clin d'oeil complice, seules, il ne reste plus que l'amusement et tout sera parfait ! Tout restera entre elles, personne n'en saura rien de toutes les gaffes qu'elles feront ensemble.

- Bien sûr, tu es tellement prévisible Lu-chan que c'était évident !

Momoi monte les dernières marches, pousse un petit soupir puis lui lance un regard plein de malices. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'avait pas mis les pieds dans son palais !




© Yamashita sur épicode

Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité
MessageSujet: Re: Just like when we were children. [PV Momoi ♥]   Just like when we were children. [PV Momoi ♥] EmptyLun 16 Fév - 21:31


Just like when we were children.

Feat Momoi & Lullaby


Le top départ pour ce séjour de folie, sans prises de tête aucune, et surtout sans limites préalables, a été lancé au moment même où ton amie d'enfance a posé un pied sur les pavés de l'allée, entre la fontaine et la bâtisse dans laquelle tu vis. Elle aussi semblait se souvenir de toutes ces après-midi, ces journées passées l'une avec l'autre au cours de votre enfance, avant que la vie ne choisisse de vous éloigner l'une de l'autre. Elle t'a manquée. Quand tout ton petit monde s'est écroulé après qu'un accident de voiture m'ai arrachée à ta vie, tu aurais eu besoin de son soutient. Mais elle n'était pas là. Personne n'était là, au fond. Tu t'es retrouvée seule face au deuil, seule face au vide, seule face à la solitude. Tu as dû faire face, mais tu n'y serais pas parvenue si tu avais continué à errer seule. Tu m'aurais rejointe, n'est-ce pas ? S'il n'était pas arrivé dans ta vie. Lui, Hiro. Et si elle n'était pas revenue, au détour d'une rue. Elle, Satsuki. Mais le fait est qu'elle est là à présent, et ton monde tourne un peu plus correctement, un peu plus comme avant. L'une des pièces perdues du puzzle a enfin était retrouvée, et tu savoures le goût du bonheur que tu sens sur ta langue. Sucré, fruité, léger. C'est sûrement pour ça qu'il te fallait vivre, encore.

Tu t'arrêtes sur le palier de l'étage et te tourne vers elle, un petit sourire amusé au visage. Elle te connait si bien, Ô toi la reine des idioties en tout genre, Ô toi princesse qui ne cesse de braver les interdits. Elle te connait, et c'est justement pour ça qu'elle se permet tout ça avec toi. Cette affaire d' « infos croustillantes », comme elle dit. Tu lèves les yeux au plafond, en songeant certainement qu'elle n'abandonnera jamais. Tu as trouvé aussi têtue que toi.

    ▬ Tu espère toujours me soutirer des informations ? Tu me sembles bien sûre de toi, Satsuki.

Tu la conduis jusque dans ta chambre, au bout du couloir, et lui ouvres la porte en l'invitant à entrer la première, comme toujours. A force, elle doit la connaître par cœur, même si, récemment, elle a subit quelques changements. Adieu les murs roses princesse avec des étoiles dessinée un peu partout, les guirlandes de papillons qui pendent aux murs et autres décorations enfantines. Ne restent plus qu'une moquette taupe toute douce et des murs d'un blanc immaculé, hormis celui sur lequel repose ta tête de lit. Lit à baldaquin deux places, aux draps assortis au reste du mobilier, composé d'une armoire immense, d'un bureau, d'une table de chevet, et d'un fauteuil dans un coin de la pièce, le tout dans un habile mélange de blanc et de gris. Le mur au fond de la pièce n'est rien d'autre qu'une baie vitrée qui donne sur un balcon au dessus de l'immense jardin qui s'étend derrière la demeure, avec vue sur la piscine. De ce fait, ta chambre est continuellement éclairée, de jour comme de nuit -car tu ne fermes jamais les volets, tu adores trop voir la lune dans le ciel lorsque tu es allongée sur ton lit.

Tu poses les affaires de ton amie devant ton lit, puis ouvres la baie pour laisser entrer l'air chaud de ce début d'après-midi. Tu prends une profonde inspiration, ravie, puis saute sur ton lit pour t'installer dessus, en tailleur, te fichant pas mal que ta robe crème remonte un peu trop sur tes cuisses. Au pire, Satsuki est une fille, elle aussi. Et puis, les notions de pudeur... Ça fait bien longtemps que tu les as bannies de ta conscience.

    ▬ J'espère que tu n'as rien contre le fait de dormir dans le même lit, comme avant. Nous n'sommes plus des gamines, je comprendrais que ça puisse te déranger, ma foi... La moquette m'a tout l'air d'être confortable, elle aussi, au pire.

Tu lui adresses un grand sourire innocent, avant de te laisser tomber à la renverse, observant le plafond entre les quatre barres du baldaquin de ton lit. Un petit cadre immaculé, comme le reste de ton plafond. Tu prévois déjà dans ta tête tout le programme de ce séjour qui s'avère on ne peut plus... délirant. Surtout que, dans cette maison, il y a sûrement bien plus à faire que dans ton appartement du centre-ville.

    ▬ Bon ! Tu veux faire quoi ? On peut aller mater un film, jouer aux jeux vidéos, si tu veux avec Suzuki on a installé un karaoké et un Dance Dance Revolution... Ou sinon on peut aller voir les chevaux ! Tu te souviens, c'est pas loin !

Tu n'attends même pas sa réponse pour l'entraîner hors de ta chambre. Tu la connais, et tu sais que son cœur penchera toujours pour un bon vieux film romantique qui fait pleurer les filles qui rêvent du prince charmant. Tu finiras bien par l'emmener voir les chevaux -même si tu en as peur-, mais pour le moment, autant rester plus ou moins sages à l'intérieur de la maison, n'est-ce pas ?

    ▬ Va dans la salle ciné', tu te souviens où c'est ? Je reviens ! Je te laisse choisir le film, je n'ai aucun doute que ce sera un bon vieux film à l'eau de rose !

Tu lui tires la langue, taquine, avant de filer vers la cuisine sans demander ton reste. Arthur t'adresse un grand sourire, et t'annonce une nouvelle qui te réjouit, alors que tu te saisis de canettes d'Ice Tea et de Fanta, ainsi que de paquets de biscuits et de barres chocolatées en tout genre. Le cuisinier te fait une remarque, à laquelle tu réponds à nouveau tout sourire : de toute façon, tu ne prendras jamais un gramme, et concernant Satsuki, tout va dans la poitrine ! Ton rire fuse alors que tu t'évades pour rejoindre ton amie dans la pénombre de la petite salle de cinéma, assez grande pour accueillir une quinzaine de personnes, non pas sur des sièges individuels, mais sur des canapés en tissus tout doux. Tu t'installes à côté de ta camarade, et déposes ta cagnotte entre vous deux, histoire que vous ayez toutes les deux accès à toutes les sucreries.

    ▬ Voilà ! Y'a de quoi faire. Et, euh, demain après-midi, vu que mes parents ne seront plus là, Arthur nous fera faire des crêpes avec lui, si t'es partante !

Tu te saisis d'une canette d'Ice Tea, l'ouvre en tentant de ne pas renverser le contenu sur le canapé -ce qui serait bien ton genre, ma foi- puis tu la lèves en l'air, tout sourire, alors que le film commence à l'écran.

    ▬ A nos retrouvailles, et à ce week end de folie qui nous attend, Satsuki-chan ! Et, au fait. N'attend rien de croustillant de ma part ! Tu ne sauras rien !
© Imaginary pour Epicode
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: Just like when we were children. [PV Momoi ♥]   Just like when we were children. [PV Momoi ♥] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Just like when we were children. [PV Momoi ♥]
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Momoi Satsuki ♥
» La rencontre / Avec Momoi ♥
» La geekerie est un art ! [Pv Momoi]
» ▬ Mi cinderella. | with Momoi Satsuki ♪
» Help Momoi-chan ! [ Pv Satsu ]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: HRP :: Corbeille :: RP-
Sauter vers: