[Terminé] « Quelle noblesse d'avoir un ami, mais combien plus noble d'être un ami. » [Feat n'amour ♥]

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❝ Retour en enfance❞
Feat n'amour ♥

C'était bien la première fois qu'elle se retrouvait seule dans les jardins de l'établissement; elle n'avait pas besoin de chercher Daiki partout dans les couloirs, dans l'établissement puisque aujourd'hui, il n'y avait pas d'entraînement. Elle profita donc de ce moment pour se poser près de l'arbre timide qui se cachait derrière le gymnase. Sans prendre de gants, elle balança son sac de cours par terre pour s'adosser contre l'arbre. Elle pencha la tête en arrière et observa le ciel. Elle n'avait jamais remarqué la beauté du ciel en cette saison: elle ne sortait quasiment pas dehors à cause des entraînements de basket et de sa mauvaise manie d'aller voir les matchs amicaux pour récolter un maximum d'informations. Regardant le ciel, elle tomba sur le côté. Elle profita de cette position pour s'allonger par terre; comme la musique berce le bambin, la couleur du ciel plongea la manager dans un état « semi-absent » la plongeant dans ses souvenirs. Plus elle regardait le ciel, plus elle se disait que ce temps lui disait quelque chose.

La dernière fois qu'elle avait vu un ciel d'une beauté équivalente, ce fut quand elle était à l'école primaire. Ce jour-là, elle venait de se faire embêter par une camarade de classe. Satsuki avait voulu lui offrir un cookie, mais celle-ci l'avait mal pris. Elle refusa et balança son gâteau par terre. Pleurant à chaudes larmes, elle était partie rejoindre son meilleur ami qui était en train de regarder le ciel dans un coin tranquille, par flemme d'aller jouer avec les autres garçons de la classe. S'allongeant avec lui, elle avait passé le reste de cette après-midi là à regarder le ciel avec lui tout en s'endormant sur l'herbe en tenant sa main dans la sienne. Même à cette époque-là, sa présence la rassurait. Les deux amis n'avaient même pas besoin de parler pour se comprendre ou se remonter le moral. Un sentiment qui arrivait à faire sourire, la rendre heureuse à n'importe quel moment. Ce souvenir la fit s'endormir avec le sourire aux lèvres. Inconsciemment, elle sentait la chaleur de sa main dans la sienne. Dans cette position, elle ressemblait à la belle au bois dormant.

Sans s'en rendre compte, la petite Satsuki parlait dans son sommeil. Du moins, ce n'était pas vraiment des mots qu'elle prononçait, mais plutôt des bruits comme des grognements, des « mmmmmh » ou encore des « nyaaaaaa ». Lorsqu'elle dormait, elle ressemblait à une vraie enfant. Si quelqu'un la voyait dans cette situation, il serait amusé de la voir comme ça, surtout si cette personne était un membre de l'équipe de basket. Dormant toujours, elle sentit un léger courant d'air qui la fit sourire. Satsuki adorait la sensation, la caresse du vent sur son visage. Elle avait l'impression d'être en été. Alors qu'elle dormait paisiblement, elle entendit des murmures, près d'elle. Se réveillant doucement, elle entendit des pas sourds. Le soleil dans les yeux, elle n'eut pas la force d'ouvrir les yeux. Elle allait devoir utiliser ses autres sens pour deviner. Même les yeux fermés, elle devina facilement la personne qui était près d'elle: c'était Daiki Aomine. « Dai-chan? », demanda-t-elle alors qu'elle n'avait pas bougé d'un pouce. « Qu'est-ce que tu fais là? », continua-t-elle de demander quand elle commença à se frotter les yeux pour se réveiller. Le temps était quasi-parfait pour faire une mini-sieste. Elle voulait en profiter encore un peu.

27/01/2014

Satsuki Momoi
Hm *baille* ?

Il n'y avait pas d'entrainement aujourd'hui & c'était surement pour ça que Aomine avait décidé de choper un ballon pour aller faire quelque dunk dans le gymnase. Contrariant ? Si peu. Pas un chat, le pied total, il faisait cela juste pour le plaisir d'entendre crisper le plastique de ses chaussures sur le parquet ciré des lieux, avec pour seul adversaire, son imagination.

Il repensait au collège sans pour autant avoir de regret, cependant, c'était bien souvent ses souvenirs qui hantaient ses nuits ou juste ses pensées lorsqu'il ne pouvait pas détourner son attention sur autre chose la journée. Ne se fatiguant pas de trop, il lâcha alors vite l'affaire, laissant la balle rouler jusque ses comparses après un tir à trois points. Soupirant, il finit par faire craquer sa nuque & sortir de là, méprisant presque le soleil qui tapait dix fois trop fort à son goût cet après-midi. Il ne prit donc pas la peine de remettre sa chemise à manche courte de son uniforme, restant en débardeur noir, prenant la direction de cet arbre qui lui faisait de l'oeil.

& qui trouvait-il sous ce même arbre ? Satsuki. Sauf qu'elle n'était pas seule. Deux types souriaient entre eux, comme des imbéciles heureux d'avoir fait une merveilleuse trouvaille. S'avançant, il chopa une épaule de chacun des mecs pour les retourner vers lui, une aura menaçante se dessinant sur ses traits. Ils ne firent alors pas long feu, détalant en quatrième vitesse. S'il y avait bien une chose que les mecs de ce lycée n'avait pas encore tout à fait compris, c'était bien que Satsuki était sa protégée & que le premier qui poserait sa main dessus finirait à l’hôpital avec un bras en moins.

Regardant alors la concernée, un air de dépit pouvait se voit clairement sur son fasciés. Que lui dorme n'importe ou ok, mais pas elle, ou pas seule. Baissant les bras, oubliant l'idée de la sermonner ; tout du moins pour le moment ; il se posa alors à côté d'elle, ne répondant pas lorsqu'elle l'appela. Il se contenta de glisser un bras autour de ses épaules pour la blottir contre lui, finissant par regarder le ciel, les sourcils encore & toujours froncés sévèrement.

« Je peux savoir pourquoi tu es là toute seule, Satsuki ? »

En fait, ça n'avait pas pu lui échapper. Si il n'y avait pas eu ses deux là à lui tourner autour surement n'aurait-il rien dit, mais c'était un peu différent pour le coup. Pire encore en sachant que même les mecs les plus chétifs pouvaient avoir des idées malsaines avec une nana...Enfin, il prit tout de même la peine de lui répondre.

« Je voulais me poser & je t'ai trouvé. »

Retirant son bras de ses épaules, il fit glisser son corps plus encore pour être carrément allongé au sol, se mettant à bailler puis se tournant sur le coté. Il aurait bien lu l'un de ses magasines mais devant sa meilleure amie, ça le faisait pas vraiment...
Codes par Wild Hunger.

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❝ Parce qu'il en faut peu pour être heureux ❞
Feat n'amour ♥

L'herbe n'était pas aussi confortable que son lit ou le corps de Daiki, mais elle s'en contenta. Elle n'était pas très difficile non plus, surtout quand le temps s'y prêté, comme aujourd'hui. Elle était donc allongée dans l'herbe, près d'un arbre, quand elle entendit des murmures. Elle était tellement fatiguée qu'elle ne pouvait pas dire si elle connaissait ou non ces voix-là; elle était presque sûr qu'elle n'aurait pas pu reconnaître celle de ses propres parents. Dans ses songes, Satsuki se remémora ce souvenir. Si pour la plupart des gens, ce genre de souvenir était futile, pour elle, ce n'était pas le cas. C'était grâce à ce genre de souvenir qu'elle était quasiment toujours de bonne humeur. Comme le disait la chanson, « il en faut peu pour être heureux.». Lorsqu'elle demanda qui était là, par le fait si c'était bien Daiki, elle seule réponse qu'elle eut, ce fut une petite remarque digne de lui. Il lui demanda pourquoi est-ce qu'elle était là, toute seule. Elle se mit à sourire quand il la prit dans ses bras. Daiki était un peu le grand frère qu'elle n'avait jamais eu ou encore le petit ami idéal, le prince charmant dont rêvait toutes les filles. Même s'il le montrait jamais quand il y avait des témoins, il était un homme très protecteur et aimant. Le genre de mec qui pourrait presque être l'époux idéal, s'il n'était pas aussi flemmard et grincheux la plupart du temps.

Elle attendit sa réponse, comme quoi il voulait se poser et qu'il l'avait trouvé ici, pour répondre à sa question. Elle le regarda avec les yeux à moitié fermés. « Je voulais profiter de notre après-midi de libre pour me reposer sous cette arbre vu que je t'ai pas trouvé. Je pensais que tu étais rentré chez toi. Et ça fait tellement longtemps que je me suis pas prélassée au soleil comme ça que je me suis endormie... », répondit-elle. Elle lui prit la main pour la mettre dans la sienne. Elle adorait être dans ses bras: avec leur grande différence de taille, elle avait l'impression d'être dans un cocon. « … pourquoi? ». Demanda-t-elle avec une voix un peu plus réveillée. Le soleil et le doux vent voulaient la forcer à rester dans les bras de Morphée. Quand il lui lâcha les épaules pour s'allonger par terre, elle en fit de même: elle s'allongea sur lui, comme quand ils étaient plus jeune. Elle referma peu à peu ses yeux. Cette position avait pour effet de l'endormir. Inconsciemment, elle savait très bien qu'aucun perver ne viendrait reluquer ses fesses si elle était avec lui. À cause du basket et de son caractère de cochon, il avait une assez mauvaise réputation: celle d'une brute sans cervelle, alors qu'en réalité, c'était seulement un mec immature.

Elle était donc allongée sur lui, la tête posée sur son torse. Toujours les yeux mi-ouverts, elle se rendit compte qu'il portait le t-shirt de l'équipe de basket... pourquoi le portait-il alors qu'il n'y avant pas de match et d'entraînement? La réponse à cette question lui fit sourire: ce grand bêta était donc dans le gymnase, en train de s'entraîner seul. D'extérieur, elle avait l'air de sourire pour rien. Une chose qu'elle faisait souvent quand elle était avec lui d'ailleurs. Il avait tous les deux des tics quand ils étaient ensemble: il avait l'habitude de « surveiller sa croissance », tandis qu'elle, elle souriait pour rien. S'ils sortaient ensemble, ils feraient le couple le plus con de l'histoire de Touhou. « Dai-chan... pourquoi tu t'entraînes jamais avec l'équipe? », demanda-t-elle alors que ses yeux commencèrent à se refermer tout seul. Elle n'avait pas la force, ni l'envie de lutter contre le sommeil. Pour une fois, elle allait flâner avec lui et sur lui dans les jardins de l'établissement.

27/01/2014

Satsuki Momoi
Hm *baille* ?

Il ruminait alors, laissant Satsuki se blottir contre lui, finissant alors par la tenir fermement contre lui pour se mettre correctement sur le coté & l'avoir tout contre, dos contre torse, fesses contre ses hanches. A son « pourquoi » il ne prit même pas la peine de répondre, comme si il allait lui dire que des types étaient entrain de la reluquer...non, son rôle de grand frère l'en empêchait, la protégeant jusqu'au tréfonds de son âme : tout du moins, c'était ce qu'il se disait pour se donner des grands airs en sa compagnie.

Un bras contre son ventre pour la tenir, l'autre soutenant sa propre tête pour éviter de s'endormir, lorsqu'elle lui demanda pourquoi il ne s'entrainait pas avec l'équipe, il grogna, comme un chien montre son mécontentement. Il pensait que depuis le temps, Satsuki avait compris, mais il fallait croire que ce n'était pas encore tout à fait clair chez elle...

« Pourquoi je m'emmerderais à m'entrainer. J'en ai pas besoin. Là je pensais juste le temps. » & pour éviter de tourner trop longtemps autour du pot, qu'elle cherche à parler encore du ballon rond, il glissa ses doigts sous son tee-shirt, caressant sa peau douce, avant de répliquer, sur un ton joueur ceci dit, chose rare ses temps-ci. « Hm... t'aurais pas pris du poids par hasard, Satsu ? »

La délicatesse à l'état pur, mais cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas taquiner, pire encore sur un sujet qu'il savait délicat avec les femmes : mais bon, ce n'était pas comme s'il s'en souciait réellement au fond. La voir gonfler ses joues, râler un peu, il adorait ça, incapable de comprendre vraiment pourquoi, mais il trouvait ça adorable, elle était vraiment la seule fille avec qui il pouvait sourire ne serait-ce qu'un peu lors de ce genre de moment, devenu rare depuis plus d'un an à présent...
Codes par Wild Hunger.

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❝ Qui aime bien, châtie bien ❞
Feat n'amour ♥

Contrairement à ce qu'il laissait montrer, Daiki n'était pas le genre de mec « je m'en foutiste », surtout quand il s'agissait de ses deux demoiselles préférés: Satsuki, sa meilleure amie et sœur de cœur et d'Haru, sa cousine de sang et de cœur. Il avait beaucoup de travailles entre la jolie demoiselle aux cheveux roses qui attirait les regards lubriques et mal-saints des garçons et une jolie brune qui agissait comme un garçon manqué. Ce « grand frère » n'avait pas de chance de les avoir. D'ailleurs, on pouvait remarquer qu'il était un peu plus protecteur avec sa meilleure amie qu'avec sa cousine. Peut-être était-ce parce qu'il la voyait plus souvent que sa propre cousine? Après tout, Satsuki passait son temps à surveiller les faits et gestes de ce grand bêta. Un grand bêta qu'elle appréciait plus que tout au monde.

Quand elle s'allongea sur lui, elle ne broncha pas quand il changea de position. Du moment qu'elle était près de lui et qu'elle pouvait garder les yeux fermés, elle était contente. Lorsqu'elle lui demanda pourquoi, il ne se daigna pas à répondre. Elle fit la moue quelques secondes avant de se rendre compte de son tee-shirt. Une vision qui la fit sourire. Finalement, même s'il disait qu'il n'avait pas besoin de s'entraîner, il le faisait même s'il le faisait seul. Pour le taquiner un peu, elle lui demanda pourquoi il ne s'entraînait pas avec les autres. Comme elle s'en doutait, il grogna un peu avant de répondre. Elle sourit un peu plus à sa réponse. Le connaissant, elle savait très bien que si c'était juste pour passer le temps, il n'aurait pas mis son tee-shirt. Ce grand bêta arrivait à la faire sourire dans n'importe quelle situation. « Si c'est le cas, pour... », avant même qu'elle allait continuer à le taquiner, il toucha délicatement sa peau, son ventre pour lui demander si elle avait grossit. Comment osait-il lui dire qu'elle avait grossi alors qu'elle avait encore perdu du poids. Elle lui frappa gentiment sa main et fit la moue. « Pourquoi tu me dis ça? Tu trouves que j'ai grossi? », demanda-t-elle en se retournant. Elle voulait fixer ses yeux dans les siens, faisant toujours la moue.

Si quelqu'un les voyait dans cette position, il se poserait des questions. Ils avaient leur visage un peu trop près l'un de l'autre. La mais qui était sur son ventre se retrouva dans le bas de son dos. Contrairement à ce qu'elle aurait pu penser, cette position ne la dérangeait pas, bien au contraire. Après tout, elle était au soleil, dans les bras de celui qu'elle appréciait le plus. « C'est méchant de dire à une jeune femme qu'elle a grossi! Va falloir que je te donne des cours de délicatesse pour le jour où tu tomberas amoureux. », dit-elle en lui pinçant délicatement le nez. Elle savait très bien qu'elle était la seule qu'il autorisait à lui faire ça sans réellement s'énerver. Elle adorait ce genre de passe VIP. « Je suis sûr qu'Haru-chan sera d'accord pour te donner des cours avec moi! », ajouta-t-elle en prenant le portable de l'as. Elle cherchait le numéro de sa cousine. Satsuki savait très bien qu'il allait grogner. S'il voulait la taquiner avec son poids, alors qu'elle était fière d'avoir perdu du poids, elle allait le taquiner avec sa cousine.

Tout en gardant le portable ouvert sur le contact, elle reste dans cette position, dans ses bras. La grande différence de taille entre les deux amis faisaient qu'elle avait l'impression d'être une peluche, une chose fragile dans ses bras. Elle avait aussi l'impression d'être dans les bras d'un chevalier. Si elle devait avoir un petit copain, un jour, elle espérait qu'il lui ressemblerait, en moins chiant par contre. Elle ne voudrait pas se retrouver avec deux Daiki sur le dos.

27/01/2014

Satsuki Momoi
Hm *baille* ?

Dire a Satsu n'était pas une bonne idée, mais qui a dit que Daiki était une main de fer dans un gant de velours ? Non, c'était même carrément l'inverse, la main de fer DANS un bloc de béton pour être exact. Mais passons, Satsu avait l'habitude avec lui, il n'était pas son meilleur ami pour rien. Il rit d'ailleurs plus encore lorsque la demoiselle lui posa la question avec une sorte d'insistance : avait-elle réellement grossi ? Bien sur que non & même si ça avait été le cas, jamais il ne le lui aurait dit de la sorte.

« Neeeh, qu'est-ce-que Haru vient faire là-dedans ? Et je suis très délicat, tu oses en douter ? »

Venant lui prendre la main pour la retirer de son nez, il avait fini par lui embrasser le dos de cette dernière avant de la reposer le long de son corps. Et c'est à ce moment là que la sonnerie retentit. Déjà ? Même s'ils n'avaient pas court, c'était l'heure de rentrer chez soi à présent. Se relevant, il embarqua Momoi avec lui, la tenant bien contre lui, récupérant même son sac en bandoulière au passage. Puis, comme si de rien était, il commença son bout de chemin vers leur domicile respectif.

Satsu tenta de descendre de ses bras, mais notre bronzé refusa de s'y plier, juste pour continuer à l'embêter. Surtout après qu'elle ait parlé de le rendre plus délicat pour sa future amoureuse : comme s'il en voulait une, d'amoureuse. Après tout, il l'avait elle, ça lui suffisait amplement...

Hrp : Finiii. Rp clos rapidement, mais voila, comme ça, tu as ta fin pour faire l'autre xDD *tu peux me frapper*
Codes par Wild Hunger.

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❝ Qui aime bien, châtie bien ❞
Feat n'amour ♥

Contrairement à ce que les gens pouvaient penser – en voyant les deux amis dans cette position – il n'y avait rien entre eux deux. Ils étaient seulement amis. Une amitié spéciale, certes, mais Satsuki ne voyait pas Daiki comme l'homme qui serait le futur père de ses enfants et inversement, il n'avait aucune vue sur elle. Il la voyait comme ça petite sœur et rien de plus. Mais même s'ils étaient amis, il y avait des choses que les hommes ne pouvaient pas dire à une femme. Et comme à son habitude, Aomine l'avait fait: il avait demander à la demoiselle si elle n'avait pas grossi. Ô grand malheureux! Heureusement pour toi, Satsuki te connaissait bien et ne faisait que demander si c'était vrai. Si tu avais été une autre personne, elle aurait sans doute pleurer et mis une claque. Aucun garçon n'avait pas le droit de faire ce genre de remarque. Mais elle savait comment se moquer de lui aussi. Et ce fut ce qu'elle fit.

Pour se venger, elle prit le portable du garçon pour appeler sa cousine. Avec elle, elle allait donner des cours de délicatesse pour le jeune homme. Après tout, s'il devait avoir une petite amie, il devait devenir un gentleman. Elle, elle avait l'habitude et avait appris à apprécier ses petits piques taquins, mais elle savait que très peu de filles pouvaient apprécier ce genre de plaisanterie. Il avait vraiment de la chance de l'avoir, dans le fond. Toutefois, avant qu'elle eut le temps d'avoir une quelconque réponse, il lui enleva la main qui lui pinçait le nez et... lui baisa le dos de celle-ci. En guise de réponse, aucun mot ne sortit, mais elle se mit à légèrement rougir. Finalement, il pouvait l'être, délicat. Alors qu'elle allait le complimenter, le portable sonna. Il annonçait l'heure de partir. Elle fit une petite moue boudeuse. Elle voulait rester un peu plus longtemps dans ses bras.

Elle ne savait pas s'il l'avait entendu ou si les deux amis étaient vraiment sur la même longueur d'onde, mais elle fut prise de panique – pendant quelques secondes – quand le bleu décida de la porter pour rentrer chez eux. Elle gigota quelques secondes avant d'abandonner. Non pas qu'elle n'avait pas l'envie de marcher, mais elle savait très bien que – quand il avait décidé quelque chose – rien ne pouvait le faire changer d'avis. Heureusement pour elle, son meilleur ami n'était pas un pervers. Sinon elle aurait été dans une drôle de situation.

Ils partirent donc, tous les deux, chez eux, de cette façon.

HRP: Pas de soucis n'amour! Ah! et pas la peine d'en parler, je sais déjà quoi faire pour notre prochain rp ♥ Aomine va pouvoir profiter de Momoi #sors#

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