[Terminé] Un cupidon en action (feat Yugi et Daiki)

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❝ Un cupidon en action ❞
Feat Yu-chan et Dai-chan

Petite, Satsuki avait l'habitude de se promener au bord de la plage avec son cousin, Yugi, et leurs parents. Il était son cousin maternel. Même s'il n'était pas toujours tendre avec elle, elle savait très bien qu'elle était l'une des rares personnes et surtout l'une des rares filles qu'il appréciait. Entre lui et Aomine, elle avait le don de se faire aimer par les chieurs professionnels. Était-ce à cause de son physique angélique? De son caractère docile et protecteur ou peut-être le mélange des deux? Quelques fois, elle se posait la question, mais l'oubliait quasiment aussitôt. Après tout, elle se moquait bien de la raison de leur amitié, du moment que son amour pour eux était réciproque. De nature chiante et gamine, elle savait aussi se faire discrète quand la situation l'exigeait: elle savait facilement s'adapter à la situation et à la personne.

D'ailleurs, en pensant à ses journées à la plage, elle avait oublié que son cousin devait venir la chercher pour passer la journée à la plage. Parce que oui, de temps en temps – vu que ces sorties avaient disparu avec le temps – ils y allaient que tous les deux pour discuter de tout et de rien, admirer le ciel et aussi pour nager un peu. Alors qu'elle venait à peine de finir de préparer son sac et de se préparer elle-même, elle entendit quelqu'un entrer dans la maison. De ce qu'elle entendait, cela devait être son cousin: sa mère semblait toute heureuse aux sons aiguës qu'elle produisait. Pour une fois, elle était limite en retard. Descendant rapidement, elle sauta sur son cousin pour le saluer en prononçant son nom. Puis, elle partit avec lui.

Arrivée sur la plage, elle fut assez surprise: contrairement à ce qu'elle pensait, la comptait une quinzaine de personnes. Généralement, il n'y avait personne. Elle s'accrocha à son cousin par le bras. « Yu-chan... tu sais pourquoi ya autant de monde? », demanda-t-elle en observant le monde. « C'est bizarre qu'il y ait autant de monde au même endroit. Tu crois qu'ils sont venus pour toi? », dit-elle pour le taquiner. En effet, même s'il n'aimait pas beaucoup les gens, il était assez populaire grâce à son groupe, dont il était le chanteur. Il avait même beaucoup de fans. Elle lâcha son cousin pour aller voir ce qui se passait. Sa curiosité était bien trop grande. Malheureusement pour elle, sa maladresse prit le pas sur sa curiosité. Tandis qu'elle courait sur le sable, elle tomba la tête la première.

Pour cette journée, elle avait mis une chemise blanche avec un mini short en jean. Elle a mis un joli maillot de bain - deux pièce - de la même couleur que ses cheveux. Niveau chaussure elle avait pris des converses. Allongée par terre, elle vit des pieds s'approcher d'elle. Sans voir la personne en entière, elle pouvait reconnaître ces pieds: c'était ceux de Daiki. Qu'est-ce qu'il pouvait bien faire ici? Elle leva la tête tout en restant dans sa position. « Dai-chan? Qu'est-ce que tu fais ici? », demanda-t-elle en le regard avec un sourire aux lèvres. Il était devant elle avec une tenue non déplaisante pour les yeux d'une fille autre qu'elle: il était torse nu avec un maillot de bain. Non pas qu'elle le trouvait moche, mais elle le voyait plus comme un frère que comme un potentiel petit copain.

27/01/2014

Satsu & Yugi
Big...boobs.

Il y avait des jours avec & des jours sans. Aujourd'hui, Daiki n'était pas vraiment capable de dire s'il était bon ou mauvais, cependant, il appréciait qu'il faisait aussi bon & chaud pour aller trainer ses pattes jusque la plage. En temps normal il y serait allé avec Satsuki, c'est même elle qui l'y aurait trainé de force, mais il savait qu'elle allait passer sa journée avec son cousin machin, ce pourquoi il lui foutait la paix. Ce qu'il fou alors à la plage tout seul ? Sa mère, madame Aomine, ayant autant de caractère que son fils...

« Daiki chéri, tu devrais aller faire un tour à la plage, il fait si beau dehors ! »
« Nan... »
« Daiki. Moi, Ménage, Maison. Toi, dehors, ok ? »

Sauf que quand madame Aomine commence à parler comme une analphabète, c'est loin d'être bon signe. Ni une, ni deux, c'est enfilant un maillot qu'il se carapatait à la plage : parce que ouais, il n'y avait rien d'autre que sa mère pour le faire flipper comme un bébé devant un clown. Il avait bien évidemment pris avec lui un ballon de basket pour aller jouer sur le bitume de l'entrée de la plage, mais lorsqu'il y vit des cas soc' y avoir posé leur basket, ce n'était même pas la peine de faire un effort de sociabilité. Finissant sur le sable, déposant son sac de Touhou & sa serviette, il fila piquer une tête. Et lorsqu'il revint, c'est qui qu'il vit faire un plongeons directement dans le sable ?

« Dai-chan ? Qu'est-ce que tu fais ici ? »

Il se penche alors vers elle pour lui tendre la main & l'aider à se relever, avant de la garder contre lui un moment. Posant une main dans ses cheveux, il lui offrit un sourire qui était rare chez notre basketteur & que seul Satsu pouvait prétendre y avoir encore le droit.

« Ma mère fait le ménage. » Elle comprendrait. Jetant alors un regard derrière son amie, son sourire s'effaça aussitôt qu'il vit son cousin, Yugi. Il n'avait rien contre lui, mais ils s'entendaient bien autant qu'ils pouvaient se mettre sur la gueule...& ce depuis qu'ils étaient gamins. « Qu'est ce tu fous avec Satsu ? T'as envie de l'afficher à ton bras ? Tout le monde sait que t'es gay, pas la peine de faire semblant. »

Le ton était sérieux, l'air aussi, mais les deux savaient pertinemment que Daiki le disait surtout en rigolant, pour bien le faire chier. Sinon oui, bonjour, ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu, c'est toujours un non-plaisir de te revoir ! Lâchant Momoi, Daiki retourna près de sa serviette qui était non loin, laissant bien évidemment Satsuki se joindre à lui. L'habitude surement.

Codes par Wild Hunger.

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#1FA055

Feat # Satsuki & Testostérone-kun

Ah, la plage. Forcément, ça rimait avec soleil et sable fin, bruits des vagues qui se cassent sur le rivage et les oiseaux qui volètent gaiement au-dessus de l’étendue salée précédemment citée. Du moins, pour Yugi, c’est ce genre d’apparence calme que c’aurait dû avoir. Notez bien l’emploi du conditionnel dans cette phrase. Ça veut tout dire. TOUT. Enfin, pour les initiés, en tout cas. Car au final, au lieu d’un petit coin de paradis au soleil pour profiter de ces divins rayons – mais pas trop, sa peau doit être préservée quand même – il se retrouva devant une étendue sablonneuse ou pullulaient plusieurs personnes de basse extraction – comprendre par-là de « simple civils qui n’avaient pas le quart de sa classe naturelle ». De quoi l’agacer prodigieusement.

Heureusement, Satsuki, en venant s’accrocher à son bras, parvint sans le savoir à le calmer quelque peu. Oui, c’est vrai, il n’était pas tout seul torse nu et short de bain sur le corps. Sa chère et tendre cousine était avec lui. Ce qui signifiait la peine de mort par simple regard pour tous ceux – et potentielles « celles » qui oseraient l’approcher d’un peu trop près ; comprendre par-là à moins de vingt mètres minimum.

Ah, Yu-chan. Ça lui paraissait être une éternité depuis qu’elle ne l’avait pas appelé comme ça. Et si, plus jeune, ça l’avait passablement gavé, aujourd’hui, il s’en fichait un peu. Limite si ça ne prouvait pas leur lien assez fort, ce qui le ravissait plus qu’autre chose. Après tout, la famille – sauf le paternel- c’est sacrée de chez sacrée, pour Yugi. D’ailleurs, il se dit qu’il pourrait inviter Satsuki à prendre un encas chez lui après la plage, ça faisait longtemps que sa mère n’avait pas vu la petite rosette et avoir de ses nouvelles en direct lui ferait surement très plaisir. Idée, à méditer, donc.

« Non, j’espère pas. »

Effectivement, autant il adorait être admiré et tout le toutim, autant pour une fois qu’il en avait l’occasion, il aurait passablement apprécié de passer sa journée tranquille, sans paparazzis ni rien. Non pas qu’il avait quelque chose contre ses fans – même si certains étaient un poil extrême de temps à autre… - mais là… il ne voulait simplement personne dans ses pattes. Le pauvre, il n’était pas au bout de ses surprises.

En voyant sa cousine marcher vers la foule, il n’eut pas vraiment d’autres choix de la suivre. Eh oui, les pervers, ça rodaient partout et il était bien placé pour le savoir, en étant dans le show-business. Mais, avant même qu’il ne puisse finir sa pensée première, la rosette s’étala sur le sable, manquant de lui faire faire un facepalm tout seul tellement c’était improbable. Il n’y avait bien que Satsuki pour se casser la gueule ainsi. Mais bon, c’est ce qui faisait son charme. Ou pas. Enfin, pas sur de ça.

Bref.

Parvenu à son niveau, il vit qu’une main masculine lui prêtait assistance pour se relever. Wowowowowowo. On va s’calmer tout de suite, là. C’était qui le connard de petit merdeux qui…. Oh, Aomine Daiki, quelle surprise ! Au moins, il venait d’échapper à la tentative de meurtre pas coulage dans le sable chaud puisque Yugi le connaissait un peu. Depuis longtemps, en fait. Il avait beau avoir cinq ans de différence, c’était toujours pareil niveau relationnel. Preuve en est la façon ô combien sympathique que le bleu usa pour le saluer.

« Ahah, navré Aomine, mais tu sais très bien que même si c’était le cas, tu ne m’intéresse pas. Faudrait que t’arrêtes de me faire des avances tout le temps, ça devient gênant, à force. »

Bâtard qu’il était, il avait parlé suffisamment fort pour que les personnes alentours l’entendent. Bah oui, sinon où est l’intérêt d’un tel jeu ?

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❝ Un cupidon en action ❞
Feat Yu-chan et Dai-chan

La plage était un endroit qui lui rappelait beaucoup de souvenir, que ce soit avec Yugi ou avec Daiki. Combien, Ô combien de temps avait-elle passé sur cette plage avec l'un des deux garçons qui se trouvaient justes sous ses pieds. Combien de temps avait-elle passés dans l'eau qui se trouvait à quelques pas d'elle? Elle ne comptait plus le temps. Quelques fois, ils passaient du temps tous les trois sur cette plage. Même si les deux protecteurs ne se supportaient pas, ils se calmaient les nerfs – pour éviter la bagarre en sa présence – en se balançant de jolis mots d'amour. Il y avait bien trop d'heures, de journée et même d'année au compteur. Pour elle, cette plage était synonyme de souvenir heureux et cette journée allait marquer un tournant dans sa vie sentimentale.

Par terre, allongée sur le sable, elle était sur le point de rire comme une gamine de 5 ans quand elle sentit une grande main – douce et chaude – venir la prendre pour l'aider à se relever. Cette main, c'était celle de Daiki, Daiki Aomine, son meilleur ami. Sans comprendre ce qui se passait, elle passa du stade allonger à debout en quelques secondes. En ce même laps de temps, elle passa du sable doux au corps musclé de son ami. Elle ferma les yeux, quelques secondes, avant d'entendre la réponse. Avec les mots « mère » et « ménage » dans la même phrase, elle comprenait parfaitement bien. Après tout, elle la connaissait très bien et elle connaissait très bien sa force de persuasion. Elle s'amusait souvent à tourmenter Daiki avec elle. Elle sourit et rougit légèrement à ses caresses dans les cheveux. Ses caresses de salutation.

« Dai-chan... t'aurais dû m'envoyer un sms pour me le dire. On serait venu te chercher! N'est-ce pas Yu-chan? », dit-elle en restant dans ses bras, mais en faisant tomber sa tête en arrière pour regarder son cousin. Quand elle le voyait comme ça, à essayer de se contrôler, elle garda son sourire aux lèvres. « N'est-ce pas, hein? », insista-t-elle pour le forcer à dire oui. Malheureusement pour la jeune femme, l'étreinte de son meilleur ami ne dura pas aussi longtemps qu'elle l'aurait voulu et vu comment il parlait à son cousin, les hostilités amicales avaient déjà commencé entre les deux garçons. Elle n'avait jamais compris pourquoi est-ce qu'ils ne s'entendaient pas. Parce que dans le fond, ils se ressemblaient beaucoup. Ils étaient aussi protecteurs et butés l'un que l'autre. D'un autre côté, le fait de les voir tous les deux comme ça, ça la faisait rire.

Quand il la lâcha pour rejoindre sa serviette, elle prit Yugi par la main pour le forcer à venir avec elle près de lui. Elle s'assit près de lui et lui embrassa le front pour lui dire bonjour. C'était leur petit rituel et il avait oublié de lui en faire un. Malheureusement ou heureusement pour Yugi – ou pour Daiki, à cause de la suite des événements – cette position lui offrit une bonne vue sur sa poitrine. Si les deux garçons avaient – sans doute – remarqué ce détail, elle, elle n'avait pas fait attention. Cette demoiselle était trop pure et innocente pour les esprits pervers de ses deux gardes du corps. Elle grimpa sur lui pour récupérer son porte-monnaie avant de se relever, doucement. Le pauvre as, il allait devenir pauvre à cause d'elle. « Vu que tu m'as pas appelé pour qu'on vienne te chercher, tu vas payer la première tournée de glace! », dit-elle en fouillant dedans. Elle prit quelques billets et le reposa à côté de lui.

Elle savait déjà ce qu'elle allait prendre comme parfum: fraise. Elle avait un faible pour celui-ci, même si elle ne disait jamais non pour du chocolat. Ses yeux commencèrent à pétiller et sa bouche commença à saliver quand elle s'imagina avec cette glace. Puis, elle se baissa un peu. « Tu veux prendre quel parfum? », demanda-t-elle en affichant un tendre sourire. Elle se releva quand elle eut sa réponse pour poser la même question à Yugi. « Et toi, tu veux quel parfum? ». Elle mit les billets dans la poche de son jean. « Pendant que je vais chercher les glaces, je vous interdis de vous étriper! Sinon... je mange vos glaces. », dit-elle en essayant d'afficher un air méchant. Mais elle ressemblait plus à un hamster qu'à une personne menaçante. Elle essayait de ne pas sourire pour qu'ils la prennent au sérieux.

Elle les laissa donc tous les deux pendant qu'elle marchait rapidement vers le marchand de glaces. Malheureusement pour elle, il y avait foule devant elle. Elle espérait que les deux garçons n'allaient pas faire trop de bêtise durant son absence.

27/01/2014

Satsu & Yugi
Big...boobs.

★ Aomine n'avait pas vraiment fait attention à ce que Satsu lui avait dit, néanmoins, la réplique de Yugi le fit grimacer. Vous savez, cette moue si adorable que notre basketteur arborait régulièrement, le tout saupoudré d'un mouvement de sourcil vers le ciel : si cet enfoiré de chanteur à deux balles n'avait pas été son cousin, il aurait été clair qu'il aurait fini par bouffer les coquillages par tous les orifices indépendant à la bouche.

Se posant, laissant Satsu s'affairer autour de lui, il ne fit vraiment pas attention au décolleté de son amie, cherchant à lui embrasser également le front en retour, snobant complètement la présence de l'autre énergumène, posant ses mains sur ses hanches pour éviter qu'elle ne tombe en fouillant son sac. « Vu que tu m'as pas appelé pour qu'on vienne te chercher, tu vas payer la première tournée de glace! » Il grogna ; pour ne pas changer ; avant de lui dire qu'il désirait une glace à la menthe et d’acquiescer, bien que peu d'accord, qu'il ne tuerait pas son cher et tendre cousin pendant son absence. Chose faites, ils la virent partir, avant de se retrouver en tête à tête...

« Pour un mec avec du pognon, t'aurais pas pu trouver moins féminin que ce maillot de bain ? Sérieux ça craint, bizarre qu'un fan t'es pas encore sodomisé avec tes goûts à deux balles. » Bah ça...c'était fait, mais ce n'était pas comme si ce n'était pas comme ça à chaque fois qu'ils se voyaient. Au fond, ils s'aimaient bien, mais côté communication s'était plus que restreint. Se chamaillant donc comme à leur habitude, ce qui les stoppa tous les deux aussi net fut les...

« Ouah, t'as vu la bombasse au stand ! »
« Laquelle ? »
« Celle aux cheveux roses, le canon ! »
« Oh putain ouais ! Et les boobs qu'elle a ! »
« Viens, j'veux trop voir son cul de près ! »

Si Aomine n'avait pas tout à fait capté pour les boobs, il avait bien comprit qu'ils parlaient de Satsu ; après avoir regardé dans la direction du stand en question et ne voyant qu'une personne aux cheveux roses ; et là, ça allait clairement chier. Se levant en même temps que Yugi, leurs pulsions meurtrières furent bizarrement mis à profit envers d'autres personnes qu'eux-même. Faisant en prime une tête de plus que les deux autres énergumènes, en choper un pour lui faire manger le sable ne fut donc pas bien difficile...

« Tu reposes ne serait-ce qu'un oeil sur cette "bombasse" et c'est le bitume que tu vas bouffer. »
Codes par Wild Hunger.

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#1FA055

Feat # Satsuki & Testostérone-kun

Yugi aurait pu râler et protester juste histoire de foutre la mouise au sein du petit trio qu’il formait avec sa cousine et Aomine. Mais non. La raison est, de surcroît, simple comme bonjour. Il avait bien remarqué que Satsuki faisait tout ce qu’elle pouvait pour calmer le jeu. Hors, pourrir les efforts de la rosette n’était en rien dans ses occupations principales, ni même dans ses priorités. Puis le soleil cognait fort, aujourd’hui. Tout ça pour dire que bon, pour cette fois, il allait laisser couler. Et si l’autre nerveux essayait de lui redire un truc – oh, tient, surprise, c’est exactement ce qu’il venait de faire – et bien il le laisserait dire, un point c’est tout. Après tout, Yugi était un adulte de vingt et un ans, maintenant. Il se devait, comme le lui disait régulièrement sa mère, de faire la part des choses en face de jeunes adolescents de tout juste seize ans.

Et c’est parti pour e poser sur le sable dans se prendre la tête outre mesure. La journée de day-off n’avait pas été banalisée pour ça, il est vrai. Le problème – parce que oui, dans ce genre de contexte, il faut toujours qu’un petit problème vienne pourrir l’instant de détente des personnages principaux – ici Aomine et Wakaïdo – pour leur faire regretter d’être venus sur cette plage pullulant de bouseux – c’est qu’un groupe de gars, niveau dragueur de caniveau, passa juste devant eux. En soit, d’un point de vue extérieur, les deux n’en aurait, clairement, rien eut à foutre – autant parler franchement et s’éviter une langue de bois. Seulement le discours que ces petites racailles à la con tenait ne plut ni à l’un, ni à l’autre.

Voyons voir, on n’a même pas besoin de se regarder pour se comprendre d’un coup. C’était l’état d’esprit de Yugi à ce moment-là. Et très probablement celui d’Aomine également. Ahah, ces types-là allaient déguster, purement et simplement. Les deux compères oublièrent donc un instant leurs différents et ce levèrent comme un seul homme. La seule petite différence, c’était qu’à ce moment, toute diplomatie avait disparu mystérieusement de la tête de Yugi. Présentement, il voulait juste faire la peau à ces batards, laids comme des poux, qui pensaient avoir une seule chance avec sa cousine. Non mais ça allait pas bien dans leurs têtes ?! Ils avaient besoin d’une bonne correction et accessoirement d’une bonne douche froide. Ça tombait bien, l’eau à dix degrés un peu plus loin serait parfaite pour ça.

Du coin de l’œil, le Wakaïdo attrapa – après leurs avoir foutu des droites, sinon ce n’est point drôle – deux des loustiques par le col de leurs immondes T-shirts et alpagua verbalement Daiki.
« J’te laisse les autres ? J’vais envoyer ceux-là dire bonjour aux poissons, okay ? »
Le souci avec le blafard, c’était qu’il n’avait sans doute parfois pas conscience de la portée de ses mots. Ce qui voulait dire, clairement, qu’il allait noyer ces énergumènes très bientôt si on ne le stoppait pas sous peu.

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❝ Un cupidon en action ❞
Feat. Daiki et Yugi

Même si la demoiselle les avait menacé pour ne pas qu'ils s'étripent en son absence, elle leur faisait confiance. Ces deux grands bêtas étaient peut-être assez franc, mais elle savait qu'ils ne feraient rien si elle le leur demandait et surtout en sa présence. Sa confiance en eux faisait qu'elle partit vers le stand de glaces sans regarder en arrière. Elle se dépêcha quand même. Plus le temps passait, plus le monde commençait à arriver. Si elle mettait trop de temps, elle allait attendre super longtemps. Heureusement pour elle, elle était arrivée assez tôt. Il n'y avait qu'une petite dizaine de personnes devant elle. S'ils étaient ensemble, elle allait passer rapidement. Derrière elle, elle entendit des murmures. Elle entendait surtout deux demoiselles qui avaient l'air de reconnaître son cousin, au loin. Le pauvre. Lui qui voulait être tranquille, il allait être dans la merde. Elle préféra ne rien dire et les laisser dans leur supposition.

Cependant, elle fut surprise quand elles changèrent de discutions et surtout, de voir tout le monde se retourner. Quelques personnes se cachaient les yeux, tandis que d'autres étaient choqués et encore d'autres rigolèrent comme des cons. En les voyant ainsi, elle avait l'impression d'avoir fait un bon en arrière jusqu'au collège. La période où les gens sifflaient quand il y avait une bagarre. Elle soupira et se retourna. Imaginez un peu sa stupeur et surprise quand elle vit que les personnes qui se « battaient » - parce que le groupe de garçon n'avait vraiment aucune chance contre son meilleur ami et son cousin – étaient Daiki et Yugi contre une bande de quelques blaireaux. Sur le coup, elle hésita entre se cacher ou courir pour les arrêter. Mais quand elle vit son cousin partir avec deux des garçons vers la plage, elle n'eut pas le choix. Elle ne savait pas ce qu'ils leurs avaient fait, mais il fallait vraiment qu'elle arrête ce massacre. Elle rangea l'argent dans son haut de maillot de bain avant de courir vers eux, abandonnant sa place.

La priorité était Yugi: il était pire que Daiki quand il s'énervait. Il était capable de tout et surtout du pire. Courant donc vers lui en priorité, elle lui prit le bras pour le stopper. Est-ce que son geste allait faire effet? Surement, mais elle espérait qu'il fasse aussi effet sur l'as en même temps. Elle ne se voyait pas courir vers lui non plus, surtout qu'il devait se battre contre plusieurs garçons. « YUGI! QU'EST-CE QUE TU COMPTAIS FAIRE D'EUX? », dit-elle en l'engueulant. Elle ajouta une frappe à l'arrière de sa tête pour accentuer ses paroles. En général, elle ne frappait personne. Elle n'avait jamais frapper personne sauf quand elle était vraiment en colère ou blesser. Dans le cas présent, c'était la colère qui menait la danse. Attrapant son bras, elle le força à retourner auprès du bleu. Elle qui voulait passer une journée tranquille, celle-ci commençait bien.

Maintenant au niveau de M. grincheux, elle essaya de le stopper. Malheureusement pour elle, elle fut bousculée et tomba par terre à cause d'un des garçons qui voulait le frapper. Voyant la tête de son cousin, elle se releva comme si de rien n'était. Une petite chute de rien du tout allait remettre de l'huile dans le feu. L'altercation entre les garçons ne s'éternisa pas longtemps. La différence de taille leur fit comprendre qu'ils n'avaient aucune chance, même en 1 contre 3. Quand ils partirent, elle soupira. Qu'allait-elle faire maintenant? L'engueuler aussi? Vu qu'elle s'était calmée à cause de la chute, elle ne l'engueula pas, mais lui donna une frapper derrière la tête. Ces deux idiots étaient pire que des gosses. Grâce à eux, tout le monde les regardait. « Vous êtes calmés, c'est bon? Maintenant expliquez-moi ce qui vous a pris de les frapper? Qu'est-ce qui s'est passé? », demanda-t-elle un peu inquiète. Elle essaya de ne pas trop le montrer pour qu'ils puissent se sentir honteux, mais ils pouvaient lire en elle comme dans un livre ouvert. Elle les connaissait bien et elle savait très bien qu'ils ne les auraient pas frappé sans aucune raison. Et cette dernière était la seule chose qu'elle ne connaissait pas de l'histoire.

27/01/2014

Satsu & Yugi
Big...boobs.

★
Au fond, Aomine et Yugi devaient être deux amateurs de boxe dans une vie antérieure : y'avait pas photo. Ils ne frappaient pas comme les racailles dans les banlieues, ils n'étaient pas du genre à chercher la merde pour un rien, mais ils adoraient taper dans le tas quand on les faisaient clairement chier. Satsu était un sujet sensible avec nos deux compères, il était donc tout à fait naturel que les protagonistes en chaleur sur Momoi allaient bouffer les pissenlits par la racine.

Laissant Yugi choper les deux autres et les emmener vers l'eau, Daiki ne s'y interposa pas. Rien à foutre, ils n'avaient que ce qu'ils méritaient. De son coté, notre métisse ne s'était pas fait prier pour faire avaler du sable à l'autre, semant un peu la panique du coté des gens alentours. Allant pour appuyer son pied sur la tête du mec, l'intervention de Satsu auprès de Yugi l'arrêta net. Ca ne sentait clairement pas bon pour leur matricule. Cessant donc ses "activités", il se contenta de lui arracher un regard significatif qu'il avait intérêt à savoir courir et vite, s'il ne voulait pas se faire choper en dehors de la plage.

Les voyant détaler, la tape de Satsu sur le haut de son crâne lui fit tirer une grimace, faisant une moue boudeuse, mais surtout honte sur son visage.

« Vous êtes calmés, c'est bon? Maintenant expliquez-moi ce qui vous a pris de les frapper? Qu'est-ce qui s'est passé? »

Jetant un coup d'oeil à Yugi, il se mit alors à ronchonner. Il prenait conscience de la situation dans un sens divers à sa première impression. Oui, pour la première fois, Aomine tiltait qu'il avait été possessif. Si avant il aurait protégé Satsu avec un rôle de grand frère, là, il sentait bien que quelque chose clochait. Il n'avait pas détesté ses mecs pour les propos tenus envers Satsu, mais bien parce qu'ils comptaient en faire leur "proie". Laissant alors le cousin répondre à la question, notre basketteur lui s'était tourné vers les gens qui les observaient encore, commençant à grogner.

« J'peux savoir ce que vous regardez !? »

Il avait monté le ton, mais pas en hurlant, juste de quoi les faire détourner les regards ailleurs et empêcher ce centre d'attraction sur leurs gueules. Regardant alors le cousin et la cousine, Daiki se contenta de croiser les bras, n'osant même plus regarder Satsu...«Oh putain ouais ! Et les boobs qu'elle a !»

*Satsu, des boobs ? Ça se saurait...* Ose alors regarder pendant que Yugi lui expliquait la situation et redevient rouge *Non, ce n'est pas possible...je m'en serais aperçu plus tôt...* Refixe *Je...j'ai...Depuis quand elle a une paire de nichon pareil ?*

Réflexion intérieure bonjouuur...
Codes par Wild Hunger.

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#1FA055

Feat # Satsuki & Testostérone-kun

Bon, alors, comment éviter l’incident diplomatique et être privé pendant une durée indéterminée de la sympathie des câlins de sa cousine ? Réflexion très profonde à laquelle était en train de s’adonner Yugi. Pourquoi donc ? Oh, pour trois fois rien. C’est vrai qu’elle l’avait juste arrêté avant qu’il n’aille noyer deux types ayant osé mal parler d’elle. Quo ide plus normal ? Enfin, apparemment, ce qui était basique pour le chanteur ne l’était pas forcément pour la rosette. Du tout, même. Pourtant, lui, ça lui semblait normal de défendre ainsi les intérêts de ses proches. Enfin bon, polémiquer intérieurement n’allait pas le sortir des emmerdes et quelque chose lui disait que s’il lui annonçait de but en blanc qu’il allait « corriger ces garnements car ils avaient utilisé un langage déplacé envers elle », ça n’aurait pas bien fonctionné. Voir même, il se demandait si ça n’aurait pas empirer son cas, finalement. Grrrr. Bon, pour cette fois, il ne dirait rien et se contenterait et relâcher le duo de connards qui encombrait ses bras si majestueux. Et dire que certaines (ou certains) pourraient tuer pour être à leurs places ; quel gâchis, vraiment.

« Dégagez loin et ne revenez jamais. »

Il leur avait asséné cette phrase plus qu’assassine avec le même regard que Scar dans le dessin animé Disney « Le Roi Lion », c’est dire dans quelle humeur il pouvait se mettre lorsqu’il s’agissait de sa chère et tendre cousine. Puis, une fois les deux lascars barrés, il jeta un regard vers Aomine. Apparemment, il bénéficiait d’un petit sursis avant de se faire exécuter froidement –enfin, façon de parler car il craignait un peu les colères de Satsuki, il fallait le dire… - puisqu’elle semblait un poil occupée à faire la morale à Daiki. Cependant, la foule qui s’amassait de plus en plus commençait à l’insupporter grandement, en plus des gens qui prenait des photos de lui juste histoire de dire le lendemain sur leurs blogs pathétiques « T’as vuuuuu ? J’ai vu ce gars à la plaaaaaaage ! ». Tch, blasant.

Mais contrairement à ce qu’il pensait, il n’eut rien à faire puisque le bleue poussa une gueulante qui dispersa les curieux rapidement. Bon, il fallait le reconnaitre, il y avait un avantage à avoir une armoire à glace e plus dans ses relations. Au moins, même s’il le charriait, il n’avait pas à se salir les mains et donc sa réputation était sauve. CQFD, pour une fois il allait rendre la pareille à Daiki. Il fallait qu’il le sorte de la situation dans laquelle il s’était embarqué tout seul vis à vis de Satsuki. Heureusement, Yugi savait bien jouer des mots pour s’en sortir.

Ainsi, passant une main dans ses cheveux, à l’endroit où sa cousine avait frappé –heureusement que ça n’avait pas fait mal du tout – il commença à argumenter.

« Nan mais Satsuuuuu tu comprends paaaas ! »

Il fit un glissement vers Aomine et passa un bras autour du cou du concerné.

« On était juste en train de skerjtlrt :jdr :ty,.. »

Je vous entends demander « de what ? » alors je vais vous répondre. Le fait est que l’argumentation ne dura pas car avant même d’avoir pu finir sa phrase, le Wakaïdo s’était magistralement casser la gueule en glissant dans du sable trop meuble – oui, c’est possible – entrainant ainsi Daiki dans sa chute. Sauf que. Si le blafard termina la tronche dans le sable, il ne vit pas tout de suite que le visage d’Aomine était parti s’enfouir dans la poitrine de Satsuki…. Grâce à lui.

Damned !

HRP. CUPIDON MODE IN ACTION ♥

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Un cupidon en action!

La naissance d'un sentiment nouveau pour la personne la plus chère à son cœur.

Son amour pour les deux garçons allait leur sauver la vie. Elle était en colère pour ce moment, mais elle ne l'était pas assez pour leur en vouloir totalement et surtout, indéfiniment. Elle connaissait très bien ces deux grands bêtas et de ce fait, s'ils s'étaient énervés contre eux, il y avait une bonne raison. Et elle comptait bien la connaître. Elle se demandait bien pour quelle raison – valable ou non – ils s'en étaient pris à eux. La petite tape faite derrière leur tête la fit se calmer totalement. Oui, la manager exprimait sa colère de cette façon. Même dans cet état, elle ne pouvait pas vraiment faire preuve de violence. Une qualité que beaucoup de mondes appréciait.

Toutefois, même si – sur le coup – elle était énervée, elle regretta un peu son geste quand elle le vit faire une mine boudeuse et honteuse. Elle se secoua intérieurement la tête. Elle ne devait pas leur montrer qu'elle regrettait son geste. Elle se devait être ferme avec eux. Les deux garçons partis et la question posée, ne s'occupa plus de Daiki, mais resta concentrer sur Yugi. Elle savait très bien que son meilleur ami n'allait rien dire. Vu la tête qu'il faisait, il n'était pas prêt de lui donner des explications. Elle comptait donc sur son cousin. Malheureusement pour elle, la seule réponse qu'elle eut de lui, ce n'était qu'un « Nan mais Satsuuuuu tu comprends paaaas ! ». En effet, si personne ne prenait la peine de lui expliquer, elle n'était pas prête de comprendre.

« C'est sûr que, si aucun de vous deux ne m'explique, je ne suis pas prête de comprendre! Qu'est-ce qu'ils vous ont dit pour que vous soyez dans cet état-là? », demanda-t-elle un peu inquiète. « Yu-chan... tu peux me le dire, non? »

Puis, il s'accrocha au métisse avant de commencer de lui répondre et... de tomber par terre. Au moins, en voyant les deux, on comprenait pourquoi il était cousin/cousine: les deux enfants étaient aussi doués – l'un que l'autre – avec leurs pieds. Cependant, si Satsuki était tombée seule, aux pieds de Daiki, lui, il le fit tombé avec lui. Par chance, l'As tomba sur Satsuki, l'emportant avec lui dans sa chute. La manager était par terre, ou sur le sable – si on veut jouer sur les mots –, avec... Daiki sur elle. En plus d'avoir une position assez délicate, il avait sa tête dans sa poitrine. À ce moment-là, elle ne savait plus quoi faire. Comment devait-elle réagir? Leur position la fit devenir rouge comme une tomate. Elle le laissa donc, de cette façon. Dans cette fraction de seconde, elle repensa à sa soirée avec Kise. Cette fameuse soirée où elle comprit qu'elle l'aimait un peu plus comme un ami. Elle comprit aussi pourquoi ses gestes, ses paroles étaient plus importants que ceux des autres.

« D... Dai... Dai-chan! Qu'est-ce que tu fais!? Tu n'as pas honte!? », demanda-t-elle en devenant de plus en plus rouge. « Et toi, Yu-chan! Tu devrais avoir honte aussi! »

Dans cette situation, elle n'avait qu'une seule envie: celle de repartir chez elle – en courant – dans son lit pour se cacher dans son lit. Elle se dégagea et se releva avant de remettre sa veste en place, de remettre l'argent dans la poche de son jean et de fermer sa veste jusqu'en haut. Alors comme ça, maintenant, son cousin aussi essayait de les mettre en couple. Après mère-Haru, on avait droit à Père-Yugi. Elle profita de ce moment, où les deux garçons étaient à terre pour partir chercher les glaces. Elle allait les abandonner – encore une fois – quelques secondes, voire quelques minutes pour chercher de quoi les refroidir.

« Je... je vais aller chercher les glaces. Pendant ce temps-là, vous avez intérêt à vous calmer et surtout, j'compte bien avoir une réponse sur votre comportement. », dit-elle en soupirant tout en partant en direction du stand de glace.

HRP:

27/01/2014

Satsu & Yugi
Big...boobs.

★
Le plus dur dans toute cette histoire, s'était bien la révélation que se faisait Aomine à lui-même. Depuis quand Satsuki avait une paire de nibard pareille ? Oui, vous en conviendrez, il est relativement difficile de passer à coté d'argument tel qu'un splendide bonnet D, mais contrairement aux idées reçues, Aomine n'est pas si pervers que ça : preuve en est, il n'a jamais été capable d'ouvrir les yeux sur ce qui prenait la moitié du buste de sa meilleure amie. Il ne s'est même, d'ailleurs, jamais posé de question sur la sexualité de cette dernière, ni même qu'un jour, elle pourrait avoir potentiellement quelqu'un d'autre dans sa vie que lui-même. De ce fait, dans l'immédiat, tout s’affichait clairement dans sa tête ; bien que cela ressemblait à un capharnaüm ; et le mettait plus que mal à l'aise.

Tellement dans ses pensées, il ne remarquait alors même pas le cirque que faisait Yugi à ses cotés. Le laissant le prendre par les épaules, cela ne le réveilla pas pour autant de sa torpeur & des multiples questions qui lui prenaient la tête par vagues, dignes de tsunami. Cependant, la chute que venait de faire le cousin de Satsu', l'entrainant avec, fut le déclencheur du bouton D'ALERTE MAXIMALE entre ses petits neurones. Ses jambes se dérobant, tombant en avant, c'est bien tête la première qu'il termina au sol, le nez entre les boobs de sa meilleure amie...

« D... Dai... Dai-chan! Qu'est-ce que tu fais!? Tu n'as pas honte!? »

HONTE ? Mais honte de quoi exactement ? Il ne l'avait pas fait exprès, il ne savait même pas comment il avait vraiment fini là d'ailleurs. Il n'était même pas capable d'aligner une phrase, ni même un seul mot, tellement il était devenu aussi rouge que Momoi, tellement il nous faisait un Black Out total. La laissant se relever & partir chercher à nouveau des glaces, c'est le nez dans le sable cette fois-ci, main sur le visage, que ses yeux guettaient la mer au loin...

« Yu...Yugi... »

Bawai, j'vous laisse imaginer quand même, il n'en avait jamais vu d'aussi près. Et puis il s'agissait un peu d'une paire qu'il avait toujours eu sous le nez sans même sans rendre compte. Bon, certes, il avait confirmation que cela lui plaisait, mais...c'était perturbant. Se tournant alors vers le cousin perturbateur, il ne pu retirer sa main de son visage, beaucoup, dix fois trop gêné de ce qu'il venait de se passer.

« Tu...je...ne...On oublie ça ok ? Il ne s'est rien passé... »

Il était mitigé entre l'étrangler sur place, ou de lui rouler une pelle. Sauf que là, il y avait d'autre priorité qui le rongeait. C'était SA Satsu quoi...

« Tu lui diras que...je...je la verrais plus tard ! »

Ouais, hors de question de rester ici plus longtemps. Il ne pourrait clairement pas. Reprenant ses affaires à la vitesse de la lumière, il se maudit intérieurement avant de rentrer chez lui &...de s'enfermer dans sa chambre. Sa mère n'osa même rien lui dire malgré qu'elle l'ait de base, foutue dehors, voyant bien que quelque chose clochait chez son fils...

Hrp :: Désolé je vous lâche, mais comme Yugi doit se delete, autant que cette situation ne s'éternise pas ! Je clos notre autre rp aussi Satsu & on pourra enchainer sur un nouveau plus...croustillant 8D
Codes par Wild Hunger.

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» I F E E L I T I N M Y B O N E S - Yugi
» Ne crachez pas sur vos péchés, ilsauront été ce qu'il y avait de mieux! || Yugi's relations