S'il y a bien une chose qui me plaise tout autant que le basket, je pense que je pourrais dire qu'il s'agit du violon. J'aime beaucoup le son que cela fait, je trouve cela déstressant. J'aurais adorée pouvoir en faire, mais je n'avais pas le temps, n'y les moyen de me faire plaisir sur les deux fronts. Alors j'ai choisi celui qui était arriver le premier, le ballon orange. Je ne regrette rien vu comment j'étais douer en flute en cours, je me dit que j'ai rater l'occasion de tuer les tympans des personne qui m'entoure.
Je dois cependant avouer qu'il m'arrive de me posté devant l'école de musique pour écouté, les élèves jouer de la musique... Enfin surtout quand il s'agit de violon. La première fois, je passais juste devant comme ça, je ne pensais même pas que je me serais arrêtée pour écouter, mais le son du violon m’arrêta net dans mon avancer. La personne qui jouait se jour là était vraiment douer. Et moi je restais la contre le mur à l'écouter jouer sans savoir qui il était ou bien elle. D'ailleurs je préféré ne pas savoir qui sais, des que j’entends la musique s’arrêter je pars tout simplement. Je ne tiens pas à me trouver face à lui, c'est gênant de voir la personne qu'on écoute depuis un long moment. Je ne serais même pas quoi dire, n'y même trouver une excuse potable pour la raison de me trouver ici. Rien que dit penser cela me perturbe déjà alors que j'ai personne en face de moi.
Pourquoi je pense à cela maintenant moi? Heureusement que je ne prend pas de couleurs rapidement, car les gens me trouverais étrange c'est sur. Enfin bon je ferais mieux d'oublier cela et de me concentrer sur ou je vais, sinon je risque de rentrer dans quelqu'un vue le monde qui y ici. Pour ne pas arranger les chose je suis partis de chez moi sans prendre mes béquilles tout ça a cause de la pharmacie qui m'appelle au dernier moment pour me dire que les médicaments que j'ai commander était arriver. Un long soupire m'échappa quand je me suis mis à penser que je devrais faire attention à ne pas forcé sinon je risquerais de mourir se soir à cause de se foutu genoux.
Bon il me restait quoi à faire se matin? Je suis déjà passer prendre les médicaments , il me reste allez faire quelques courses car si j'ai plus de café je vais avoir du mal à me réveiller, d’ailleurs c'est le seul truc qui me réveille bien.
Alors que je marchais tranquillement, j'ai l'esprit dans mes pensées futile, je m'appersois que je suis proche de l'école de musique. Tien pourquoi je ne ferais pas une pause pour écouté.... le néant? Tant pis s'il n'était pas là, je ne vois pas se que je ferais dans le coin. Comme à cette instant je ne regardais pas devant moi, je me suis pris une personne, sa m'apprendra à ne pas regarder ou je vais. Je me suis excusez rapidement.
They say we are what we are, but we don't have to be. I'm bad behavior but I do it in the best way. I'll be the watcher of the eternal flame. I'll be the guard dog of all your fever dreams. I am the sand in the bottom half of the hourglass. I try to picture me without you but I can't. Because we could be immortals just not for long. Sometimes the only pay-off for having any faith is when it's tested again and again everyday. I'm still comparing your past to my future. It might be your wound but they're my sutures.
Je ne sais pas si vous connaissez les joies de la musique. Les notes dansent ensemble dans une harmonie qui me rappelle les lois de la nature se manifestant sous toutes les formes les plus divines. Je marche dans la rue en trainassant. Ce que le monde est ennuyant. Tous ces petits qui grattent les cordes de leur violon croient certainement que le conservatoire est la seule chose que les dieux de ce monde enfantin aient mise sur leur chemin.
Les gens oublient cependant que plus de la moitié de ces apprentis virtuoses revendront leur instrument pour payer des études supérieures qui leur offriront un salaire stable. Plus personne ne croit vraiment en son talent. Je trouve cela regrettable. Je plaisante. Cela me fait tellement rire de voir des enfants sortir en larmes ou dire que leurs rêves ne pourraient jamais aboutir.
Personne ne pourra faire en sorte que leurs utopies ne se concrétisent. La science nous le confirme. Nous sommes seuls avec nos doutes et nos démons. Une chance que je les ai acceptés. Nous formons maintenant une seule et même personne.
On me dit souvent que je marche en courbant le dos. Il faut avouer que je ne porte pas vraiment attention à ma posture. Le monde est bien trop banal pour que je ne puisse me dresser devant lui dans toute ma prestance. Les autres autour de moi ne sont que des ordures méritant de se retrouver dans le dépotoir. Cela est leur véritable place. Un regard à ma montre me confirme que je peux passer au supermarché avant que le jour ne tombe. Je me dirige dans le magasin. Mon panier est rempli de bonnes choses pour la santé. Essayez de sortir avec une idole qui dirige une équipe de cheerleaders. Impossible de conserver ne serait-ce que le plus pitoyable paquet de croustilles dans une armoire. Je me paye toutefois une tablette de chocolat avant de sortir du magasin. Les articles dans mon sac à dos et ma friandise dans ma main, je sors de cet endroit frais pour retrouver le froid de la nature.
Je marche en direction de la douce école de violon où les rêves se cassent comme les os des gens que je percute sur le terrain. Je me demande quelles funérailles nous célébrerons cette année. Peu importe. Je rirai en maintenant le cercueil. Vous me direz que cela est inhumain de trouver attrait à la souffrance. Je ne peux pas me retenir. Cela est si jouissif. 206 os dans le corps humains. 206 possibilités de concert.
Une jeune femme me percute de plein fouet. Elle est assez petite et ses yeux sont vairons. Un est bleu alors que le second est vert. « Fais attention où tu marches. Sinon tu expérimenteras de nouveau la troisième loi de Newton. Et je ne suis pas partant pour te refaire ce genre de démonstration. » Je la détaillais de haut en bas avant de rire niaisement. Si un corps A exerce une force sur un corps B, alors le corps B exerce une force sur le corps A. Nous sommes tous les deux fautifs. « Je plaisante. » Bien évidemment. Tout ce que je dis est une plaisanterie. Me moquer des gens est un plaisir quotidien. Je toise de nouveau la demoiselle avant de regarder son genou. Pas besoin de quotient intellectuel hors-limite pour voir que la jeune fille avait une blessure. La situation devenait intéressante. « Fais attention à ton genou. Ce serait dommage si quelque chose devait lui arriver. » Je pris une bonne respiration avant de regarder la demoiselle innocemment. « Voudriez-vous que je vous accompagne ? Il ne faudrait pas trop forcer votre genou. Ce dont vous avez besoin en ce moment est de quelqu'un sur lequel vous appuyez, n'est-ce pas ? » Quelle demande suspecte formulé sur un ton des plus doucereux.
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