 Invité |  Sujet: MAHIRO — “ Keys To The Kingdom ” Ven 25 Juil - 13:49 | |
| ▬ MA PRESENTATION | PRÉNOM • Mahiro
NOM • Aoki
SEXE • masculin
ÂGE • 36 ans – et non, il n'est pas vieux merci maintenant casse-toi morveux !
GROUPE • Civil.
RANG • PDG - et protecteur officiel d'Akemi.
PROFESSION • PDG de la multi-nationale familiale.
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« Waouh, t'as vu le mec là-bas ? Il est sexy ! » — Oui, Mahiro l'est, assurément. Ce mec est ce qu'on appelle couramment un beau gosse, un tombeur, un Adonis … bref vous avez comprit. Mahiro fait tourner les têtes des jeunes demoiselles et le fait qu'il ait dépassé la trentaine n'enlève absolument rien à son charme dévastateur, au contraire.
Comment résister d'ailleurs, ça c'est un homme un vrai, pas un môme en couche-culotte qui n'a rien dans le pantalon et sans expérience. Non Mahiro lui, il est mâture, adulte et je peux vous assurer que sous la ceinture, il assure aussi – sa défunte femme serait là, elle confirmerait et plutôt deux fois qu'une d'ailleurs –, bref il a de quoi émoustiller toutes ces petites donzelles qui kyatisent sur son passage, admirant sa silhouette élancée à la souplesse presque féline et sa carrure de sportif aux muscles finement dessinés.
C'est qu'il est en grand en plus, il dépasse même facilement le mètre quatre-vingts - bon de quelques centimètres seulement, mais on s'en fout, il est grand pour un japonais - et même s'il a une silhouette relativement fine d'apparence, il serait malvenu de sous-estimer la force de ce sportif acharné qui maîtrise tout de même plusieurs arts du combat à mains nues – faut bien qu'il soit capable de défendre sa petite sœur chérie de tous les malotrus adolescents bourrés d'hormones qui tenteraient de l'approcher.
Suffit de regarder son torse imberbe pâle et aux abdominaux si tentants … ah ouais, mais personne ne peut voir ça aussi, ce n'est pas un exhibitionniste Mahiro, il cache son corps, lui ! Mais les jeunes demoiselles ne sont pas les seules à se retourner sur son chemin, Mahiro fait tourner toutes les têtes vers lui, dès qu'il entre dans une pièce on se tait et on admire. C'est qu'il a de la prestance en plus, l'héritier des Aoki.
« Oui, il est beau mais … il a pas l'air commode. » — Ah ça, c'est sûr. Aussi beau soit Mahiro, aussi impressionnant soit-il, il intimide un peu aussi. Mais c'est pas grave, le côté grand brun ténébreux, ça rajoute un grand plus à son charme !
Une peau plutôt pâle – ne rêvez pas trop les filles, ce mec ne bronze jamais de toutes manières c'est un acharné du travail, il a pas le temps d'aller se faire bronzer à la plage … sauf si Akemi y va, mais dans ce cas c'est uniquement pour s'assurer que personne ne touche à sa sœur – assortie à des traits de visage graciles et délicats, malgré des lèvres rêches la plupart du temps fermées dans une expression neutre un peu trop sérieuse.
Des cheveux noirs avec une mèche qui lui tombe toujours en travers du visage - parce que c'est plus classe comme ça voyez vous -, des yeux verts pâles très expressifs – sérieusement, si ce mec ne vous aime pas, vous le devinerez facilement car avec lui, l'expression « regarde de tueur » est parfaitement adaptée – et cachés derrière le verre de ses lunettes de lecture qu'il garde toujours à porté de main et a tendance à garder sur son nez même quand il n'en a pas vraiment besoin … ouais, Mahiro est un peu beaucoup sombre.
Surtout qu'il en rajoute en portant toujours un long imperméable noir par-dessus son costardcravate toujours tiré à quatre épingles. Oui Mahiro prend soin de sa tenue et de l'impression qu'il dégage, c'est normal après tout vu son poste important, il a une réputation à tenir après tout, le nom des Aoki en dépend. Le pire c'est que ça lui va juste à merveille et ça en rajoute à son côté ténébreux si désirable.
DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE
Mahiro, c'est … un ours en fait. Dans tous les sens du terme, car il peut aussi bien être le grizzly que vous n'avez pas - mais alors pas du tout hein - envie de croiser au détour d'un sentir parce que vous pouvez être certain de ne pas réchapper vivant de cette rencontre, tout comme il peut être le gentil nounours en peluche adorable. Mais pour voir ce côté-là de sa personnalité, à moins de vous appeler Aoki, ça va être compliqué car monsieur n'est pas mignon avec tout le monde, loin de là.
D'allure, il est menaçant. Son physique sombre et son air renfrogné toujours sérieux n'aide pas à convaincre les plus timides d'aller lui adresser la parole, surtout qu'il a parfois tendance à être un peu « sec » dans sa façon de parler et de donner des ordres. En fait même en utilisant les bonnes formules de politesse, Mahiro donne toujours l'impression que vous êtes une loque comparé à sa Seigneurie …. ce qui n'est pas vrai bien sûr, l'homme est bien loin d'avoir une si haute estime de lui et à beaucoup de respect pour autrui … simplement ça se voit pas trop, il n'est pas très doué que voulez-vous.
Exprimer ses sentiments est loin d'être le fort de l'ainé des Aoki, assurément. Surtout ses sentiments forts. Plus maladroit en amour que ce mec, sérieux vous trouverez pas, faut dire qu'il passe déjà pour un frigide ... Le voir avec sa petite sœur ou ses enfants est d'ailleurs limite traumatisant pour qui ne connait pas ce côté de sa personnalité et n'a jusqu'alors vu que le sérieux et droit PDG si talentueux et prometteur. Il tient même du génie, la vie est tellement injuste que voulez vous ce mec est beau, sportif, riche et intelligent. Bref c'est dégueulasse et il fait bien des envieux et des jaloux - qu'il ignore tout simplement la plupart du temps, quand il n'est pas même carrément inconscient des regards qu'on peut lui porter.
Pourtant, malgré cet air qu'il se donne sans même en être vraiment conscient, Mahiro est loin d'être un méchant. Au contraire, il est incroyablement souple et s'énerve rarement pour de vrai, ayant été élevé correctement après tout. A moins de tourner autour de sa sœur, il y a peu de risques qu'il ait une dent contre vous – par contre, le premier individu de sexe masculin qui ose s'approcher à moins de trois mètres de sa petite Akemi chérie … paix à son âme.
Toutefois, n'allez pas croire qu'il passera tout et n'importe quoi non plus, faut pas déconner. Mahiro est un patron après tout, un leader et s'il est conciliant à bien des égards, il n'empêche qu'il est capable de dire non. Et le jour où il le fera, mieux vaut ne pas être dans le secteur. Mahiro est gentil, mais ses colères sont aussi rares que terribles.
Mais il n'empêche, il est gentil. Et surprotecteur avec ses proches, c'est d'ailleurs pourquoi il veille au grain sur son adorable petite sœur, la prunelle de ses yeux au même titre que ses deux enfants. Si les sourires de Mahiro sont habituellement si rares que ça tient presque de la légende urbaine, la cadette des Aoki peut bien se vanter de réussir à étirer les lèvres de son frère dans des moues attendries, capable qu'elle est de ramollir son cœur qu'on croit de glace alors qu'il est juste un peu maladroit - a son âge quand même ça craint.
Bref en résumé, Mahiro c'est un ours ouais. Un gros bisounours même, seulement il a des griffes et il faut s'accrocher pour réussir à entrer dans le cercle très restreint des personnes qui ont de la valeur à ses yeux et avec qui le professionnel travailleur acharné qui est capable de se tuer à la tâche au boulot, se laisse finalement un peu aller et prend le temps de se relaxer et de sourire ... mais juste un peu alors.
Pour Mahiro, c'est pas bien compliqué. Sa vie se résume en deux parties ; avant Akemi et après Akemi. L'impact que cette petite sœur imprévue à eu sur lui est presque effrayant sérieux.
AVANT — Mahiro est le premier né de la famille Aoki, il a été de ce fait désigné dès sa naissance pour être le successeur de son père à la tête de l'entreprise familiale qui marchait tellement bien que jamais le gamin prodige ne manqua de rien. Élevé par son mère militaire et pilote d’hélicoptère dans l'armée et par son père qui était donc à la tête de la firme multi-nationale, Mahiro avait de ce fait deux modèles de personnalités fortes pour l'éduquer. Ses parents étaient des gagnants, des guerriers même qui lui ont transmit leurs valeurs et lui ont toujours dit qu'il ferait des choses extraordinaires dans sa vie, parce qu'il était un Aoki et que c'était évident.
Son cadet, né quatre années seulement après lui, fut traité de la même manière, excepté que n'étant pas l'aîné et donc l'héritier principal comme lui, il n'avait pas autant « d'attentes » qui reposaient sur ses épaules comme sur celle de Mahiro. Les deux gamins grandirent normalement. Mahiro et son frère étaient tous deux sportifs grâce à leur mère, excellents à l'école et avaient même du succès avec les filles, bien que dans le cas de l'aîné ce n'était pas vraiment ce qui l'intéressait à l'époque, étant déjà assez maladroit en sentiments amoureux pour réussir à avoir une petite amie. Pourtant, vu le lot de collégiennes puis ensuite de lycéennes qui lui tournaient autour, ça n'aurait pas été compliqué pour lui de choisir une prétendante. Mais le môme avait d'autres préoccupations, sérieux qu'il était. Au lycée il était même président du conseil des élèves et membre du club de basket alors donc forcément, entre ça et ses études, il n'avait absolument pas le temps d'aller conter fleurette.
Problème, son père s’inquiéta de voir son grand adolescent et principal héritier sans jeune fille à son bras alors que c'était des choses de son âge. Aussi, quand Mahiro entra à l'université après avoir obtenu son diplôme aisément, le paternel Aoki décida de s'occuper de cette affaire histoire d'être certain d'avoir sa descendance, et arrangea donc un mariage avec la fille d'un de ses collaborateurs, ce qui permettait en plus de renforcer la puissance de l'entreprise, donc d'une pierre deux coups, parfait. Mahiro, en jeune homme bien élevé et respectueux envers ses parents qui avaient fait beaucoup pour lui, ne protesta pas, se confortant au souhait de son père qui lui avait sorti la carte du « fais le pour la famille et l'entreprise ».
Elle s'appelait Natsuko. Enfant de l'été ; un nom parfait pour cette jeune fille qui était toujours si joyeuse et pimpante, chaleureuse comme un soleil – et même caniculaire par moment tant sa joie pouvait être épuisante. Étrange hasard, elle était à l'Université de Tokyo tout comme lui. Mahiro ne tomba jamais « amoureux » à proprement parlé de Natsuko ; cependant, il développa au fil du temps à son égard une affection toute particulière et tendre. La jeune femme ne lui demandait rien de plus, se contentant de cette relation amicale et l'épaulant toujours de son mieux comme une véritable épouse.
Et puis quand Mahiro eut vingt ans, Akemi naquit.
APRES — Akemi, sa petite, toute petite sœur. Mahiro n'en revenait pas que sa mère soit retombée enceinte, et il n'était pas le seul, personne ne s'attendait vraiment à ce que cette petite chose toute fragile pointe le bout de son nez. Mais elle était là et c'était tant mieux, d'autant que l'enfant dû se battre pour sa vie, des complications apparaissant et lui pourrissant l'existence. Mahiro faisait son possible pour passer le plus souvent voir sa sœur. La vie avait prit une nouvelle tournure, intéressante. Le jeune homme aima de suite cette sœur tombée du ciel, ce petit ange inattendu, tellement fort qu'il en était effrayé lui-même de ressentir cela.
Quelques temps plus tard ce fut au tour de Natsuko de tomber enceinte. La jeune femme donna naissance à deux enfants tour à tour, d'abord une petite fille puis trois ans plus tard un garçon. Les Aoki étaient comblés, ils avaient leur descendance. Mahiro acheva ses études tout en s'occupant de sa petite famille et en s'échappant régulièrement pour aller à l’hôpital rendre visite à sa sœur qu'il choyait tendrement tout en se disputant fréquemment avec les médecins qui semblaient incapable de faire grand-chose à part enfermer l'enfance dans une cage de verre pour la protéger. Mahiro tenta bien de menacer, d'ordonner et même de la ramener chez lui pour qu'au moins elle puisse être entourée et plus seule dans sa chambre d’hôpital – d'autant que Natsuko adorait sa belle-soeur aussi et aurait été ravie de pouvoir la pouponner – mais en vain, trop dangereux, trop risqué, trop incertain.
La vie continua donc de s'écouler, entre le travail à l'entreprise ou Mahiro était finalement devenue PDG, comme on n'attendait pas moins du prodige Aoki, sa vie de famille avec sa femme-amie qu'il aimait sincèrement même si ce n'était pas de l'amour comme on en trouve normalement entre un mari et son épouse, et leurs enfants ainsi que les visites à Akemi. Le brun s'estimait plutôt satisfait de sa vie … seulement tout n'était pas fait pour durer.
Un jour, il reçut un appel en pleine réunion, lui demandant de venir à l’hôpital de toute urgence. Mais pas pour Akemi, contrairement à ce qu'il crût au départ. Natsuko. Natsuko était morte. Accident de la route, bêtement. Il pleuvait ce jour là, il y avait un chien qui traversait … elle avait toujours été trop gentille, trop prévenante avec les autres et pas suffisamment avec elle … Natsuko, sa femme, morte. Il était veuf à trente-cinq ans et devait désormais annoncé à ses deux enfants que leur maman ne reviendrait jamais.
Mahiro eut beaucoup de mal à s'en remettre, le vide qu'avait laissé Natsuko derrière elle l'engloutissant. Il n'était peut-être pas amoureux de sa femme, mais les sentiments pour la mère de ses enfants n'en avaient pas été moins forts pour autant. Il s'enferma dans le travail pour tenter d'oublier sa peine, n'acceptait plus de voir personne et restait uniquement avec ses enfants. La seule autorisée à le voir fut Akemi qui avait finalement obtenu le doit de sortir de l’hôpital, non sans mille et une recommandations. Les rôles s'inversèrent et fut la petite demoiselle si fragile qui s'occupa de son grand frère pourtant d'ordinaire si fort. La présence d'Akemi à ses côtés était comme du baume sur le cœur malmené de Mahiro.
Les mois passèrent, lentement. Une amélioration se constatait, jour après jour. Aujourd'hui Mahiro se reconstruit un équilibre, axé autour de sa sœur et ses enfants, sur lesquels il veille jalousement, se promettant de ne jamais laissé la vie lui enlever de nouveau les personnes chères à son cœur.
Cela prit du temps, mais Mahiro finit par surmonter la mort de sa femme. Sa rencontre avec Stain, une jeune mère au caractère à fleur de peau et au franc-parler déroutant l'aida notamment beaucoup. Et lui qui croyait ne jamais aimer comme Natsuko, découvrit finalement ce qu'était que le véritable amour en tombant sous le charme de Stain... et tout les tracas avec. Elle le rend dingue, mais bien qu'il râle, Mahiro ne peut guère lui en vouloir longtemps, que voulez-vous, il est tombé pour la belle allemande.
| PSEUDO • blblblblblbl
SEXE • montre le tiens d'abord et j'te dis ensuite /OUT/
ÂGE • 19 ans toutes mes dents babe
DOUBLE-COMPTE • uhuhu ouais devine qui ?
ÊTES VOUS UN PRÉDÉFINI • yeep ♥
VOTRE PRÉSENCE SUR LE FORUM • j'ai élu domicile dans le placard, alors j'suis toujours là /PAN/
COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM • un miracle nan nan j'déconne pas en plus, j'vous aime ♥
AUTRE • touche à Akemi et je t'émascule, keunard.
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Dernière édition par Aoki Mahiro le Sam 31 Jan - 21:35, édité 5 fois |
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Invité | | Sujet: Re: MAHIRO — “ Keys To The Kingdom ” Ven 25 Juil - 22:11 | |
| AH MY GOD. Perfection, c'est tout ce que je trouve à dire là dessus. Tu respectes PARFAITEMENT les points que je m'imaginais de la part de Mahiro du couppppp...... JE TE BISOUTE TOUT PLEIN! ♥ Validation
Hiii ! Bienvenue officiellement comme membre validé sur Kuroko No Basuke !
Comme tu peux le remarquer, ceci est un message bateau, mais c'est avant tout pour faire des petits rappels après validation, à savoir :
- Tu peux aller réserver ton avatar dans la partie appropriée (sauf si tu es un personnage du manga)
- Nous t'invitons à créer ta fiche de relation qui te servira aussi de répertoire RP !
- Ne soit pas timide pour les demandes de RP, fais-en une directement ou va chercher le joueur avec qui tu souhaites Rp par MP, personne ne mord ici !
- Passe nous voir dans le flood ou sur la CB si cela te tente, Satsuki aime trainer par là-bas régulièrement, y'a des chances que tu l'y chopes !
Et surtout, amuse toi bien !  |
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