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 « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. »

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MessageSujet: « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. »   « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. » EmptyMer 19 Fév - 21:39

▬ MA PRESENTATION
C'était pas moi, d'abord j'étais pas là je m'étais faite kidnappée pas les Hiboux !"
« Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. » Pixgum10
PRÉNOM • Chie
NOM • Kazama
SEXE • ♀
ÂGE • 15 ans et demi.

GROUPE • Rakuzan
RANG • Arrière.
PROFESSION • Etudiante | vendeuse à temps partiel dans la boutique de kimonos de ses parents.
 
DESCRIPTION PHYSIQUE




Chieko, Chiemi, Chiaki …

« • Hé Chie ! En plus d'oublier une syllabe dans ton nom , tes parents t’ont oublié quinze centimètre ! Hé ! Chie ! »

Chie, elle s'en fiche, d'abord. Elle n'est pas si petite que ça. Perchée du haut de son mètre cinquante sept nombreux furent ceux qui on tenté de la détourner du basket. Il faut se rendre à l'évidence, elle est bien trop petite. Chie pourtant, elle n'as jamais raté un panier, vous savez ? Sa maman voulait qu'elle face de la danse traditionnelle, parce que Chie devrais être une parfaite petite femme japonaise. C'est ce qu'on à toujours attendu d'elle et elle à le physique pour. Petitesse, maigreur, apparente fragilité et teint clair, si clair ...elle avait même de superbes cheveux longs. Alors elle les à coupé, un jour. Toute seule en rentrant du collège. Ils sont pas mi-long, mais mi-court elle y tien. Un peu garçonne de cette façon. De toute façon elle à toujours détesté les chignons. Ça tire, ça fait mal et ça donne l'air vielle. Une moue enfantine et des robes à fleurs, des vêtements de toutes les couleurs, sac-à dos lapin en peluche.  Apparence de petite fille, encore.

Chie elle à teint ses cheveux en vert, un jour. Ils étaient blond avant. La faute à sa grand-mère maternelle qui est anglaise. En vert parce que c'est drôle, parce que c'est clair, parce que c'est vif. Comme l'herbe. Chie, boude comme une enfant et ses grand yeux bleus sont moins bridés que la moyenne, mais ça aussi Chie s'en moque. Chie à des mains minuscules et des pieds tout petits, comme une poupée. Une jolie poupée. Parce qu'elle n'est pas franchement belle, elle fait bien trop jeune, mais on lui accorde qu'elle est  jolie, mignonne tout plein et elle à sourire chaud comme le soleil. Autant de choses qui font la différence.  Chie elle vous dira que si elle à teint c'est jolis cheveux tout blond c'est pour équilibrer la balance. Parce qu'elle est tellement petite au milieux des autres qu'elle se devait de les surpasser de part son originalité.  Une démarche gracieuse, et droite. Très fluide dans sa façon d'être. Posture de base. Le port du kimono la toujours accompagnée ; Maman voulait qu'elle apprenne la cérémonie du thé, mais Chie était trop maladroite. Alors Chie à fait du koto et ses doigts se sont affinés, ils sont agiles. Chie s'est beaucoup entraînée. Quand maman à dit qu'elle devait apprendre à faire la cuisine, Chie à préféré l'Aikido. Alors son si petit corps s'est musclé. Elle est endurante. Elle est rapide aussi, surtout. Pour une si petite chose.

Chie elle à des mimiques d'enfant et un rire qui gazouille comme les oiseaux, une petite voix fluette. Mais Chie est souple et agile, dégourdie et son poids plume lui permet de filer comme une flèche sur le terrain. De se faufiler entre les autres. Chie à les ongles long, les ongles peints d'un millier de couleurs différentes. Des jambes toutes fines pour supporter ses quarante quatre kilos. Et puis un jour, Chie à grandi, quand elle à quitté le collège ; son corps à pris des formes. Pas opulente c'est vrais mais possède désormais une poitrine conséquente. Celle d'une adolescente une vraie. Chie, ça aussi elle s'en fiche, même si les garçons trouvent toujours le mot pour rire de ça. Chie saute haut, très haut pour une fille ; moins que certain garçon c'est vrai. Mais plus que la plupart des filles. Quand elle enlève ses baskets , Chie est maladroite. Chie tombe souvent, sur rien du tout, de préférence. Chie pétille et ça transpire par tout les pores de sa peau..




DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE


« • Kazama-san ! Vous êtes encore en retard ! Puisque vous traîniez dans les couloirs peut-être savez vous qui à bousculé Tok-.. »
« • C'est pas moi ! D'abord j'étais pas là, j'avais été enlevée par les Hiboux ! Mais vous en faites pas Senseï ! J'ai collé une raclée à leur chef ! »

L'air très sérieux, le regard franc. Absolument persuadée de la véracité de ses propres propos. Le professeur lui fit signe d'aller s'asseoir sans faire plus d'histoire et la fillette avait trottiné vers sa place en silence. Comme elle avait de bonnes notes, les professeurs passaient outre ces dix minutes quotidiennes d’absentéisme. À la vérité ils avaient essayé de la punir tout d'abord mais rien de ce qu'ils avaient pu faire ou dire n'avait changer quoique ce soit. Ça n'était même pas qu'elle le faisait exprès, Chie était d'un naturel distrait, couplé d'une imagination prolixe. Il n'était pas rare qu'elle se perde en chemin ou, pire : qu'elle oublie ce qu'elle avait l'intention de faire en chemin. Les professeurs comme les élèves avaient fini par s'y habituer et souvent lorsque quelqu'un la croisait errante dans un couloir il lui indiquait naturellement la direction de se salle de classe.

Et puis elle avait la volonté de bien faire et le sens des responsabilité ; elle n'avait jamais rechignée à être punie, sans doutes parce qu'elle savait d'une certaine façon qu'elle le méritait. Un peu capricieuse, mais cultivée. Faute de  vouloir apprendre la composition florale elle avait étudié la poésie et la littérature classique.  Un peu bruyante elle était un font sonore permanent, de minauderie, de bouderies et autre petits bruit qu'auraient pu faire des enfants. Elle avait un sourire grand comme le monde et pleurait aussi souvent qu'elle riait. Elle pleurait pour diverses raison que d'autres auraient trouvées stupides, parce qu'elle était heures, parce qu'elle était vexée, parce qu'elle était en colère ...Elle répondait à ceux-là que Kami-sama lui avait donné des glandes lacrymales et qu'elle avait bien le droit de s'en servir comme bon lui semblait. Ce qui , en toute objectivement n'était pas un tors. Un peu naïve au premier abord elle s'avérait , en réalité être parfaitement consciente du monde qui l'entourait. Elle avait juste choisis de le voir à sa façon à elle. Parce que c'était  quand même « vachement plus drôle ». Souvent à côté de la plaque, simplement parce qu'elle ne répondait qu'aux questions qui l'intéressaient.

Chie disait que l'habit faisait le moine. Elle ne plaisantait jamais lorsqu’il s'agissait de kimono ou de basket. Comme si le fait de revêtir son maillot ou d'attacher son Obi la faisait subitement mûrir. Un esprit relativement critique, analytique. Une capacité à calculer à toutes vitesses les possibilités et choisir sur le vif la meilleure solution. Chie pouvait être une parfaite demoiselle japonaise dans son kimono. Parce qu'elle pensait qu'on ne plaisantait pas avec la tradition et l'esprit des ancêtres.

Chie parfois, elle parlait d'elle à troisième personne. Parce que ça lui disait bien. Elle était bien inspirée de manger  du chocolat trempé dans de la sauce soja. Souvent elle croisait des tigre du Bengale en train de dévorer des baleines sur la plage, la où la plupart des gens ne voyaient qu'un chat tigré voler une sardine, la grande aventure quoi !  Chie aimait rire fort et parler en faisant des grand geste, traverser la route en jouant à l'avion. Comme une enfant. Mais tête de classe. Désintéressée et souvent bien intentionnée il lui arrivait de causer des catastrophes en cherchant à bien faire. Incapable de tenir en place, avec un fort esprit de contradiction. Chie était droite dans ses baskets et passionnée. Motivée , entêtée. Acharnée. Fidèles envers ses amis et absolument passive en ce qui concernaient les autres. C'était sans doutes pour ces raisons que le corps enseignant avait fini par laisser couler son attitude enfantine et son éternel retard.

« • Pour les Hiboux M'sieur, faudrait prendre des mesures, j'srais pas toujours là ! »
soupire.

« • Nous y penserons Kazama-san et maintenant, veuillez vous concentrer sur vos équations. »



VOTRE HISTOIRE



– 0 –

Il y à une logique imparable qui veux que chaque histoire ai son début et sa fin. Je ne vais raconter ni l'un ni l'autre , et certainement pas dans l'ordre. Parce que voyez-vous je ne crois pas que ça aie le moindre sens. Réfléchissez à votre propre histoire, votre propre vie ; quand on vous demande de l'évoquer ce sont quelques couleurs éparses qui vous viennent à l'esprit, des épisodes dans le désordre. Des choses qui vous ont marquées. Vous souriez en regardant les photos de vos albums mais votre cinquième anniversaire ne vous évoque absolument rien. Le sixième sûrement pas plus. Mais quelques images qui vous réchauffent le cœur vous laissent la sensation de savoir ; c'est faux, vous le savez. Votre esprit bouche les trous avec des images factices. C'est pour ça que les mémoires sont fausses, approximatives. Mais vibrantes de vérité, de sincérité. Ce sont des histoires fleur de peau, à cœur ouvert. Des films que l'ont joue sur le théâtre de vos têtes ouvertes pour l'occasion, des bandes usées d'avoir été trop de fois passées sur le rétroprojecteur de vos âmes enchevêtrées.

Quand j'étais petite ( que j'étais un bébé-narratrice), mon grand-père me prenait souvent sur ses genoux et il me racontait des histoires, de son temps, des choses bien plus vieilles que lui parfois. Il y mettait tout son cœur. Il m'est arrivé d'être dure avec lui, j'étais assoiffée de vérité, avec ma maladresse de petite fille, il m'est arrivée de découvrir que les dates ne correspondaient pas avec l'histoire officielle, que la citation qu'il avait donné à tel homme était sortie de la bouche de tel autre. Alors j'étais furieuse et je l'accusait de mentir. Il riait aux éclats, « Petite sotte, ce qui compte ce n'est pas tant la vérité et les dates mais les sentiments, l'ambiance. » Je ne comprenait pas et je boudais pendant des heures. C'était une réaction qu'il comprenait je crois, c'est pourquoi il n'a jamais rien dit. Il aurait pu pourtant se fâcher contre moi, ce que je pouvais être peau de vache à l'époque !

Aujourd'hui que le temps à passé, que j'ai grandis ( que je suis une narratrice endurcie) je commence à comprendre ce qu'il voulait dire à l'époque. Je crois , je suis persuadée du plus profond de mon cœur que les mémoires approximatives font les plus belles histoires. Elles ne sont pas les plus juste, pas les plus honnêtes, mais les plus vraies, les plus pures. Parce qu'elles témoignent de ce que sont les hommes. Les hommes mentent, parce qu'ils ont fragiles et orgueilleux, parce qu'ils n'ont rien à perdre. Parce qu'ils ne savent pas être objectifs. C'est pour cette raison que ces histoires là, nous touchent tant ; parce qu'elle sont marquées de passions humaines. Les mêmes depuis des siècles : la peur, la joie, l'amour, l'envie ...

Je ne vous raconterai pas tout. Simplement des brèches dans l'espace de son cœur, la vie d'une enfant comme les autres. Pas la plus subtile, pas la plus populaire, pas la plus drôle. Un reflet de vous sans doute. Un reflet de chacun de nous. Je veux conter une histoire comme il y en a temps d'autres. Des morceau de simplicité dans un monde ou tout est devenu si propre au clicher de l'originalité. Quelque chose du bout des lèvres. Comme un cœur ouvert, mis à nus. Une banalité triviale.

Et alors ?
Alors, pluie d'été.

– I –

Écartant les bras comme un avion de chasse, trottinant sur place, attendant que le feu passe au vert, Kazama Chie récitait mentalement sa leçon d'histoire. Le bonhomme passa au vert et elle sauta de bâton blanc en bâton blanc traversant la rue avec une concentration absolument inébranlable. Elle abandonna momentanément la vie passionnante de l'Empereur Meiji pour calculer sa trajectoire. Avec un dérapage contrôlée elle bifurqua sur le boulevard d'Asakusa pour se glisser dans la station de métro éponyme. La manœuvre relevait d'un calcul savamment étudié et parfaitement rodé. La moindre seconde de retard et s'était la catastrophe. Profitant de sa petitesse, la blondinette se faufilât entre les adultes son cartable-grenouille fixé sur le dos elle sauta dans le premier métro direction Shinjuku. Une dernière inspiration avant le rush Jinjuku. Elle se laissa bousculer sans broncher absorbée par ses calculs métaphysiques. Sept-heures trente-quatre minutes. Station Asagaya. La petite se rua hors train et remonta à la surface comptant mentalement le nombre de marches-chose qu'elle faisait absolument tous les matins par réflexe-elle ne fit pas attention au soleil éblouissant et chercha l'arrêt de bus.

« • Chie-chan ! Ici ! »

Elle pivota sur elle-même de trois quart à droite et fonça vers l'abri au moment ou le bus numéro 48 tournait à l'angle de la rue. Légèrement essoufflée elle s'accorda une pause avant de saluer son amie.

« • Y'a eu du retard à Shinjuku. Tu va bien Mariko-chan ? »

L'autre fille hochât la tête l'air compatissante et poussa la nouvelle arrivante vers la porte du bus qui venait de se garer. Elles grimpèrent et le chauffeur leur offrit un grand sourire. Grimpants sur leurs sièges habituels elles jetèrent un regard aux autres passagers. Tokyo était une très grande ville mais on y croisait souvent les même gens. Des gens qui comme elles deux avaient une montre réglée à l'heure des bus et des métro.

« • Je t'avais dit de prendre la ligne 2. ça va plus vite. »
« • j'ai pas le temps de changer à Nippori. Sinon je rate ce bus. »

L'autre ne répliqua pas et regarda la route défiler par la fenêtre avant de sursauter et de fouiller dans les tréfonds de son cartable pour en sortir un paquet rose et bleu tout enrubanné et le tendre à sa voisine aux yeux bleus. Cette dernière l'attrapa sans trop réfléchir mais ne l'ouvrit pas immédiatement.

« • C'est pourquoi ? »

Médusée Mariko soupira.

« • Chie-chan, on est le 7 septembre. C'est ton anniversaire. Tu te souviens ? On en à parlé hier et je t'avais dis que je te donnerais ton cadeau ce matin et que tu devais absolument être à l'heure. »

La blonde plaquât la paume de sa main contre son front l'air consterné de son oubli. Elle plissa le nez.

« • Je suis vraiment trop bête. »

Elle déchira le papier cadeau avec application et ouvrit la petite boîte en bois qu'il contenait. Ses yeux s'ouvrirent grand et elle sauta au coup de son amie l'air absolument ravie.

« • Des vraies lunettes d'aviateur trop-méga-cool ! »

Mariko éclata de rire et l'aida à régler la lanière pour qu'elles tiennent sur la tête de l'autre fille. Le bus s'arrêta et elles descendirent en riant trottinant vers l'école. Arrivées aux casiers elle changèrent rapidement leurs chaussures et Chie arrangea rapidement son nœud avant de suivre Mariko jusqu'à leur salle de classe où elles gagnèrent leurs places respectives saluant chaleureusement les élèves déjà présents.

« • Dis Mariko-chan c'est qui déjà ceux qui on des semelles rouges à leurs chaussures ? »
« • Pourquoi ? T'es encore rentrée dans un sixième année ? »

La petite secoua la tête et jura que non. Agée de huit ans elle était avec son amie en troisième année de primaire dans une école publique principalement axée sur la culture plutôt que le sport. Mariko et elle y étaient entrées en même temps à la maternelle et resteraient probablement ensemble jusqu'au collège. Elles avaient pour ambition d'intégrer le même, mais n'avaient pas encore arrêté leur choix sur un en particulier. D'autant que Chie refusait d'aller dans un collège pour fille. Elle aimait bien les écoles mixtes, c'était bien plus drôle. Une fille à tresses entra dans la salle et la blondinette se redressa de sa chaise brusquement , faisant sursauter Mariko passage.

« • Déléguée ! Déléguée ! »
« • Pour la vingtième fois, Kazama-san : j'ai un nom et d'abord la déléguée, c'est toi ! »

Elle se figea et baissa les yeux vers sa meilleure copine qui soupirait de lassitude. L'air outrée elle la pointa du doigt l'accusant de lui avoir caché une chose d'une importance aussi capitale et que d'abord elle avait trop de problème à gérer en cherchant à sauver la galaxie des envahisseurs pour s'occuper en plus de la classe et,...

« • d'abord, depuis quand c'est moi ? »
« • Tu te rends compte qu'on à cette conversation tous les matins ? »

Un immense sourire fleurit sur le visage de Chie.

« •Oui. »

répondit-elle.

– II –

Mariko poussa un cris de surprise en se faisant entraîner hors de sa trajectoire initale. Ses lunettes d'aviateur toujours vissées sur le crâne, Kazama Chie lui avait foncé dessus et avait saisit sa main pour la tirer à l'opposée de l'arrêt de bus. Elle ne posa pas plus de question que ça et se laissa traîner par son amie en direction des grilles de l'école. Elle était habituée à ce genre de comportement depuis la maternelle qu'elle avait eu le malheur de devenir son amie. Elles se retrouvèrent donc devant leur école primaire dans un silence quasi religieux, mais la première pouvait sentir dans le regard de la seconde une passion qu'elle ne connaissait que trop bien.

« • Chie-chan … ? »
« • Mariko-tan ! Jure fidélité à notre école toi aussi ! Promet de la protéger contre les extra-ter-... »
« • Chie-chan on va rater le bus. »

La blonde saisit une nouvelle fois sa main et l'entraîna à sa suite en direction de l'arrêt de bus qu'elles avaient quitté quelques deux minutes plus tôt. Elle arrivèrent naturellement trente secondes trop tard et purent voir le véhicule qui leur tournait le dos et qui filait déjà vers l'autre bout du quartier. Chie évita le regard meurtrier de sa camarade tout en glissant ses lunettes d'aviateur sur ses yeux.

« • D'après mes calculs et à conditions de courir très vite on peu arriver à l'arrêt de Kanze à temps pour le bus 52 et prendre le métro à la station de Mitaka ! »

Mariko lui mit un claque à l'arrière de la tête et les deux gamines se précipitèrent vers l'autre arrêt de bus pour attraper de justesse ce dernier. C'était quelque chose que tous les enfant tokyoïte de leur âge étaient capable de faire, mais Mariko était toujours surprise que Chie , elle, en soit capable. Elle qui était si distraite et maladroite. Mais elle ne s'était jamais trompée. Un jour elle avait découvert que son amie avait mémorisé les horaires et les arrêts de pas moins de trente lignes de bus et douze lignes de métro et qu'elle ne s'était jamais trompée dans ces derniers. Chie rigolait en disant qu'elle avait un plan de Tokyo gravé dans la tête et c'était sans doutes vrai. Mariko n'avait même pas envie de savoir comment la blonde avait pu retenir autant de choses.

« • C'est vrais que Daichi-kun de la classe trois à dit qu'il était amoureux de toi pendant le cours de sport ? »

Demanda Mariko alors qu'elles étaient assise dans le bus. Chie avait semblé pensive, comme si elle n'était pas sure de se souvenir de cet événement qui avait pourtant eu lieu moins de trois heures avant. Et ça n'aurait pas été impossible. Chie ne se souvenait que des choses qui l'intéressaient. Elle rangea soigneusement ses lunettes d'aviateur.

« • Oui il l'a fait. »
« • T'as répondu quoi ? »
« • Rien. Tu vois avec la guerre inter-galactique .. »
« • Chie-chan ! »
« • Tu à rempli ton formulaire pour le collège ? »

Mariko tiqua et hocha positivement la tête. Elle savait qu'avec les résultats qu'avaient son amie blonde, elles ne pourraient pas se trouver dans le même établissement pour l'enseignement secondaire. Un collège d'élite avait déjà pris contact avec la famille Kazama pour faire passer à Chie les examens d'entrée.

« • Je vais passer les tests pour Sakurasou, c'est maman qui à dit. Mais je vais passer aussi ceux de Ono no Komachi, avec toi. Et si je peu alors j'irais... »
« • Tu dois pas Chie-chan. Ta place est à Sakurasou. C'est mieux pour toi et je sais qu'ils ont une équipe de basket féminine tu sais ? Tu es plutôt douée pour ça, tu pourras échapper à la danse Shinto comme ça. »

Mariko avait raison et tout le monde le savait. Ça n'était pas tant le fait qu'elle était bonne en basket, elle l'était pour autant que leurs quelques heures de sport permettaient d'en juger. Mais qu'elle se serait clairement ennuyée dans un univers ou tout n'était que raffinement occidental.

La blonde secoua négativement la tête, caprice d'enfant. En arrivant chez elle ce soir là elle déclara qu'elle ne passerait pas le concours pour entrer à Sakurasou parce qu'elle irai à l'école pour fille avec Mariko-chan. Point. Sa mère refusa catégoriquement, Sakurasou prenait à sa charge une bonne partie de ses frais de scolarité, et c'était une école avec une très bonne réputation. Son père argumenta longuement. Elle s’ennuierait dans une école ou les autres filles n'aimaient ni le karaté , ni l'Aïkido, ni le basket. Chie, adorait l'Aïkido. C'était son papa qu'il l'avait inscrite lors de sa première année de primaire. Elle n'avait jamais arrêté depuis, elle en pratiquait même avec le club de l'école. Et puis Chie était une japonaise modèle disait papa. Les bonnes filles japonaises écoutaient leurs père. Après avoir déclaré déclaré qu'elle les détestait tout les deux la fillette s'était enfermée dans sa chambre.

– III –

Makishima Shotaro chercha son nom dans le classement général et eu l'amère surprise de se retrouver encore une fois deuxième. Il jeta un regard désabusé à la petite créature blonde qui sautillait pour voir son numéro sur la grille. comme si elle ne se doutait pas. Il avait été le premier de son école de la maternelle jusqu'à la fin du primaire , mais depuis les tests d'entrée à Sakurasou il était l'éternel second. La première Kazama Chie avait obtenu un score de quatre-vingt-dix-neuf pour-cents au concours d'admission. La meilleure note jamais obtenue depuis dix ans. Depuis ce jour, elle n'avait jamais perdu sa place de première de l'école. Dire que ça irritait Shotaro était un doux euphémisme par rapport à la colère intense qu'il ressentait en l'entendant rigoler avec ses amies dans les couloirs. Elle était franchement mauvaise en cuisine et en Art ménagers mais ses notes étaient pardonnées et presque effacée par ses prouesses dans le club de basket. Elle l'avait intégrée à son arrivée au collège soit un an plus tôt et elle avait été choisis comme titulaire deux mois seulement après. L'équipe courrait se nominait dans tous les tournois féminins de la ville.

Le pire était sans doutes de la voir arriver avec ses chaussettes dépareillées, ses cheveux en bazar, sa cravate pas nouée avec cinq minute de retard et déclarer au professeur qu'il lui était arrivé un truc ab-so-lu-ment incroyable. Les professeurs l'envoyaient s'asseoir sans même la réprimander et elle terminait de s'habiller à son bureau. Pendant les cours de littérature elle dormait presque tout le temps, la faute à sa sieste digestive ! Qu'elle disait tout le temps. Elle avait pourtant toujours eu la note maximales aux évaluations. Parce qu'elle avait beaucoup travaillé ça chez elle, dans sa famille, tout ça. Elle n'était pas très claire à ce sujet. Son cartable ours-en-peluche débordait toujours de choses inutiles et parfois elle peinait à trouver ses livres de cours. Pourtant elle semblait s'être attirée l'affection de tout le collège.

« • Makishima-kun ! Tu devrais te dérider un peu ! Tu va être tout fripé avant l'heure ! Dis ! Dis ! Tu veux venir avec nous après les cours ? Daichi-kun va nous ouvrir le toit avec sa super clef de délégué et .. »
« • Kazama-san, je ne suis pas ton ami et d'ailleurs, je te déteste alors : non je ne vais pas venir. »

Elle plissa le nez et secoua la tête tout en haussant les épaules avant de se tourner vers une jeune brune aux couettes parfaitement symétrique. Elle posa une main sur son épaule , compatissante lui murmurant que de toutes façon elle l'avait prévenu que c'était un cas désespéré et que ça ne servait à rien de perdre son temps avec. Elles étaient parties rejoindre le délégué sans ajouter un mot et , Shotaro en était sur : la jeune fille pleurait. Elle pleurait souvent il s'en était aperçu, mais jamais personne n'avait pleuré à cause de lui.

Le lendemain elle était revenu le voir avec un grand sourire, comme si la veille il n'avait pas été infect avec elle. Elle s'était assise en silence à coté de lui dans la salle de classe vide et avait sorti son cahier, ses stylos. Elle avait des tas de stylo avec des breloques digne d'un enfant de huit ans. Et , pour la première fois , il trouva que c'était mignon. Elle avait collé son bureau au sien et ils avaient fait leur devoirs en silence. Tout les deux. De temps à autre elle lui posait des question, sur la leçon, sur lui. Et il faisait pareil. C'était quelque chose d'étrange mais il se rendit rapidement compte que si lui appréciait ce moment , elle : elle avait fait tout son possible pour passer du temps avec lui, il l'avait toujours rejetée. Elle était douce et pleine de vie et rapidement il se rendit compte que son rire était quelque chose d'essentiel à son entourage.

Peu à peu. Comme une habitude, ils se retrouvaient dans un endroit calme pour travailler et discuter. Elle lui avait parler de sa meilleure amie, Mariko-chan qui était dans une école pour fille à Shinjuku. Elle était triste de ne plus la voir aussi souvent. Peu à peu elle l'avait ouvert aux autres et il s'était découvert des amis, une nouvelle capacité à gérer la pression. S'il ne la devança pas au classement générale sa moyenne générale augmenta et frôla la sienne. Il riait souvent.

« • C'est important de rire, tu sais. Moi je crois que si tu rit la vie va mieux. »
« • C'est objectivement totalement faut et carrément naïf. »

Elle avait fait la moue, comme une enfant.

« • Je sais. »

Il posa son menton dans sa paume et la regarda par dessus son gobelet de coca.

« • Mais depuis que je te connais et que je ris, je suis plus heureux. »


Des étoiles dans ses yeux si bleus.

« • C'est vrai ? »
« • Oui. »
« • Trop cool ! »

– IV –

« MEN ! »

Silence dans l'assemblée. Les deux kendoka s'inclinèrent profondément alors que l'arbitre annonçait le collège Sakurasou comme champion de la compétition inter-collège de Kendo. Le vainqueur ne s'attarda pas il retira son équipement en vitesse et le confiât aux membres de son équipe cependant que lui sautait dans son uniforme pour rejoindre. Bondissant comme un diable hors de sa boite il couru pour attraper le bus 56 et essoufflé s'appuya contre un siège bousculant une femme au passage. Il s'excusa trois fois avant de regarder sa montre. Quinze-heures quarante-huit. Il avait dix minutes de retard. Il se précipita vers le gymnase du collège pour fille Owada Masako et se faufila à travers les gradins pour rejoindre un groupe de trois filles et un garçon. Il s'affala contre un siège alors que Kana lui jetais un regard profondément compatissant.

« • J'ai raté beaucoup ? »

Elle secoua la tête.

« • Chie à raté un trois points. Et toi, le Kendo ? »
« • Elle à raté, Chie ? Oh, nous avons gagné. »
« • Chie va être ravie. »

Il se concentra alors sur le terrain et repéra la demoiselle aux cheveux vert. En fin de l'année précédente elle avait soudain coupé ses cheveux longs et les avait teint. Elle n'avait pas donné de raison. Les professeur avaient grincé des dents mais elle se fichait de leurs menaces et ils avaient abandonné. Il se fit la réflexion que le dernier mach de la saison devait représenter une certaine pression pour elle. Il ne l'avait jamais vu rater un panier. Certains disaient qu'une fille aussi petite ne pouvait pas jouer au Basket, mais elle leur avait prouvé que c'était faut. Elle était d'une précision effroyable et savait anticiper les décisions des autres avec une facilité rare. Elle avait conscience de ses atouts et n'hésitait pas à s'en servir. L'équipe adverse fit une faute. Lancé franc. Elle leva les yeux vers les gradin et capta le regard de Shotaro. Il lui fit le signe pour « ok » et elle sembla se détendre. La balle rebondis trois fois et lorsqu'elle la récupéra pour la lancer, d'une certaine façon, tout le public et tout les autres joueurs-observateur impuissants-surent qu'elle le rentrerai. Ce qui arriva.

L'équipe se ressouda et le jeu reprit, de plus belle.

Shotaro avait toujours été fasciné par l'assurance de Chie lorsqu'elle tirait. La confiance de ses camarades en ses tirs, Elles l'a regardaient se mettre en position de tir et adoptaient immédiatement une position défensive. Parce qu'il était évident que la balle rentrerai. Personne n'en doutait, et statistiquement les résultats leur donnaient raison.

« • Chie pourra jamais dunker c'est un fait mais elle est assez douée pour le reste alors ça équilibre bien. Ses passes sont bonnes, ses tirs ne manquent jamais...elle est un peu moyenne au rebond mais .. »

Shotaro regarda Daichi d'un œil presque désolé et ne lui demanda pas comment s'était soldé la rencontre avec les prodiges de Teiko, il savait d’expérience que ça n'était pas une conversation à avoir avec son ami. Bien lui en pris. Sakurasou n'avait marqué de huit points à Teiko contre cent pour la génération des miracle. Il étaient allé les voir une fois l'année précédente ou Sakurasou avait encore subit une défaite écrasante. En temps qu'amie Chie avait été outrée de la situation, mais en temps que basketteuse elle avait été absolument éblouie par le talent et le jeu de Teiko. Elle en avait parlé pendant des semaines. Shotaro savait qu'elle était allé les revoir jouer par la suite lorsqu'elle n'avait pas d'autres impératifs. Une fois même elle l'avait même emmené avec elle, parce qu'elle n'avait pas eu le cœur à annuler leur rendez-vous mais qu'il était hors de question qu'elle rate un match pareil. Il avait rit.

Le match se termina par une victoire de l'équipe féminine de Sakurasou et Chie rejoint ses amis dans les tribunes après les avoir tous salué elle avait saisit la main de son petit ami.

« •Sho, tu sais, j'ai ..j'ai passé le concours pour entrer à Rakuzan l'année prochaine. Les résultats ne sont pas encore tombés mais ... »
« • Mais nous savons tout les deux que tu l'auras haut la main. »

La coupât-il. Il n'avait même pas redouté cette conversation, parce qu'il avait toujours sus qu'elle arriverait un jour. Elle ne le dit pas clairement. Oui elle était amoureuse de lui, mais il allaient être séparés tout les deux. C'était ridicule de croire que la distance et les études ne les sépareraient pas. C'était pourquoi, à la fin des vacances lorsqu'ils entreraient au lycée ils ne seraient plus que des amis. De très bons amis. Il ne vit rien à redire à ça.

« • Je suis très heureux aujourd'hui et je sais que je le dois à notre rencontre. Ne change pas, s'il te plais. »
« • Je t'ai rendu un peu heureux, c'est vraiment vrai ? »

Il éclata de rire et posa ses lèvres sur les siennes.

« • Oui. »
« • Trop cool ! »

– V –

«  Mam'ly-chérie,
Je profite que papa et maman soient pas à la boutique et que je n'ai pas de client pour t'écrire comme je t'avais promit. Tu sais quand même, le téléphone c'est vachement plus fun, mais tu as toujours préféré lire. Je demanderai à mes amis martiens de te donner des yeux tout neuf à l'occasion. Il y à trois semaine j'ai intégré le Lycée Rakuzan. Personne n'as été surprit et j'ai trouvé ça presque vexant. Shotaro m'as dit de te passer le bonjour de sa part alors je le fait. Lui et moi on ne sort plus ensemble, j'ai même appris qu'il avait beaucoup de succès dans sa nouvelle école. En plus maintenant c'est lui le premier, je suis très contente pour lui.

A propos de Rakuzan j'ai obtenu un post dans l'équipe féminine. Je n'y croyais pas vraiment parce que le club de basket est vraiment très bon (pas pareil que Sakurasou) mais je me suis très bien adaptée au nouvel entraînement. Je trouve ça vraiment trop cool ! Je vais souvent courir le dimanche matin maintenant.

Je suis arrivée en retard en mathématique aujourd'hui, le professeur c'est un peu fâché. J'ai appris que Marik-chan avait été élue la fille la plus populaire de son école par ses camarades. Tu te rend compte ? Elle en à pas changé depuis le collège...bon c'est pas si étrange que ça parce que elle et moi on est copine depuis vachement plus longtemps.

J'ai appris un nouveau poème d'Ariwara no Narihira, un de ceux qui n'apparaissent pas dans les cent poèmes. Je te le réciterai la prochaine fois qu'on viendra à Nara.

J'espère que tout va bien et que l’Ernie de Papi ne le fait pas trop souffrir. Normalement on devrais passer d'ici deux semaine et j'emmènerai sûrement Mariko avec moi.
J'ai hâte d'être là.

Je vais te laisser parce que je dois faire mes devoirs d'anglais et de mathématique.

Chie.
 »



 
Moi tu vois, je fais des bulles, des bulles avec ma barbe à papa ♥
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Dernière édition par Kazama Chie le Ven 21 Fév - 19:12, édité 20 fois
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MessageSujet: Re: « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. »   « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. » EmptyMer 19 Fév - 23:40

Bienvenuuuuuuuuuuuue !!!

Alors, encore un membre à Rakuzan, c'est à croire que cette école rameute du monde D8
Je ne suis pas d'accord ! & Shutoku alors ? D8<
*couché Takao*

Par contre, avant que tu ne commences ta fiche, je vais déjà te botter les fesses ! *Takao aime botter les fesses, si, si c'est très crédible*

Juste, comme je vais faire la guerre à tout le monde pour ça *Surtout mon Shin-chan* pense au majuscule s'il te plait o/ Je suis très chiante avec ça mais...sans majuscule je trouve un texte tellement fade *oui, j'ai le cerveau bizarre*

Je te remercie, bon courage pour ta fiche :3
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MessageSujet: Re: « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. »   « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. » EmptyJeu 20 Fév - 8:46

Ahhhhh ~ Trop choupi ton avatar !! *gagatise*

Sinon, bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche !!
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MessageSujet: Re: « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. »   « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. » EmptyJeu 20 Fév - 9:27

Kuroko Tetsuya a écrit:
Ahhhhh ~ Trop choupi ton avatar !! *gagatise*

Kuro-chin m'a doublé, mais je n'en pense pas moins :05: 

Bienvenue et bon courage pour ta fiche !
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MessageSujet: Re: « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. »   « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. » EmptyJeu 20 Fév - 13:35

Merci à vous tous pour ces encouragements et cet accueil chaleureux ♥

Pour les majuscule je ne pense pas avoir l'habitude de les oublier déjà de façon manuscrite, mais en plus office (c'est magique) les mets automatiquement ! Est-ce que c'est pas forminial ? (oui, oui c'est une contraction de "formidable" et "génial" vous ne rêvez pas.)
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MessageSujet: Re: « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. »   « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. » EmptyJeu 20 Fév - 15:39

Bienvenue bienvenue jolie demoiselle ! :D
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MessageSujet: Re: « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. »   « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. » EmptyJeu 20 Fév - 15:39

Un grand merci à vous tous
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MessageSujet: Re: « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. »   « Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. » EmptyVen 21 Fév - 19:16

T'as survécu à mes foudres, et ta fiche, malgré les fautes d'orthographe, est très très sympa ! J'te l'ai déjà dit mais il faut toujours répéter les compliments !

J'te valide donc ! :D


Validation



Hiii ! Bienvenue officiellement comme membre validé sur Kuroko No Basuke !

Comme tu peux le remarquer, ceci est un message bateau, mais c'est avant tout pour faire des petits rappels après validation, à savoir :

- Tu peux aller réserver ton avatar dans la partie appropriée (sauf si tu es un personnage du manga)

- Nous t'invitons à créer ta fiche de relation qui te servira aussi de répertoire RP !

- Ne soit pas timide pour les demandes de RP, fais-en une directement ou va chercher le joueur avec qui tu souhaites Rp par MP, personne ne mord ici !

- Passe nous voir dans le flood ou sur la CB si cela te tente, Kise aime trainer par là-bas régulièrement, y'a des chances que tu l'y chopes !



Et surtout, amuse toi bien !
« Maman à dit '' Fait de la danse ma fille'' alors j'ai commencé le basket. » VlJLm8g




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