AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Dunk Low
64.99 € 129.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 WE ARE YOUNG. OH-OH || T.N

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
avatar
Invité
MessageSujet: WE ARE YOUNG. OH-OH || T.N   WE ARE YOUNG. OH-OH || T.N EmptyMar 4 Fév - 22:15

▬ MA PRESENTATION
FALL-ALL-ALL DOWN
WE ARE YOUNG. OH-OH || T.N 2dklqww
PRÉNOM • Tsuzune
NOM • Nandekara
SEXE • J'ai la vicieuse preuve que je suis une gonzesse tout les mois, connard
ÂGE • 17 ans; j'ai redoublée une année

GROUPE • KAIJO HIGH
RANG • Manager de l'équipe féminine
PROFESSION • Étudiante ?
 
DESCRIPTION PHYSIQUE


Est-il vraiment utile de décrire cette fragile unité de la tête au pied ? Sans doute pas. Mettons-nous à la place de son miroir plutôt, la besogne n’en sera que plus courte. Miroir, joli miroir, dis-moi… que vois-tu dans tes yeux réflecteurs ?

Elle est en train de pester devant moi. Elle se prépare pour sortir mais ne trouve rien de convenable à se mettre. Pourtant, elle est très jolie au naturel, Tsuzune. C’est au moins une chose que lui ont communément transmis ses deux parents. Ses courbes toutes en rondeurs et terminaisons bouclées sont l’alliage de traits fins asiatique et de détails qui font le charme espagnol. Sa chevelure est longue, elle lui descend jusque dans le bas du dos, même si en général, elle l’attache en queue de cheval avec un élastique ou un simple crayon. Niveau capillaire, mine de rien, elle sait y faire. Elle en a épais sur le crâne, mais ils restent fins malgré tout, ce qui prouve le bon mélange entre les patrimoines génétiques de ses géniteurs. L’avantage, c’est qu’au moins, quand il pleut, ils ne frisent pas, puisque trop raides. Ah oui, ça par contre, lorsqu’elle veut se coiffer en « hauteur », c’est une horreur, elle n’y arrive pas, même à grands renforts de laque. Inutile de vous dire qu’elle a abandonné l’idée il y a fort longtemps.

Elle jette sur son lit un T-shirt marqué d’un « If its ain’t Rock its nothing ». Elle croise les bras, elle est contrariée, ça se voit sur son visage, avec sa moue d’adolescente pas encore tout à fait sortie de l’enfance. Ses sourcils broussailleux mais finement dessinés rehausse la beauté de ce visage, qui pourrait l’être bien davantage si elle prenait le temps de le déridé un peu de sa colère quasi-permanente. En dessous se trouve une paire d’yeux clairs, dans les tons verts. Couleur banale, rien à signaler à leur propos. Un nez les séparent. Fin et aquilin, il tranche ces droites un peu trop plates, signe typique des ressortissants asiatiques, pour donner un peu de volume à l’ensemble. Et le résultat est plus que beau, c’est certain. On descend.

Elle se mords la lèvre inférieure, réfléchissant. Pauvre bouche qui en aura vu des vertes et des pas mûres. Entre les claques et les coups de dents, le moins que l’on puisse dire, c’est que l’abondance de cicatrices ici n’est plus à prouver. Heureusement que ça ne ruine en rien le travail de Mère Nature... Une chance.

Sa petite poitrine se retrouve compressée finalement dans un corset noir à fioritures rouges, histoire de ne pas passer pour une allumeuse… mais presque. Et puis comme ça au moins, elle sait qu’elle peut cacher le tatouage de cible qu’elle s’est faite faire il y a un an, juste en dessous du sein gauche. C’est là qu’elle doit injecter l’aiguille de ses seringues, au cas où. Comme ça, personne n’en saura rien ce soir.

Elle enfile un jean noir percé de part et d’autres. C’est la « mode » maintenant chez les jeunes d’avoir des vêtements troués, je présume. Et par-dessus le marché, une paire de chaussures à hautes talons vient compléter la panoplie de bitch please. Enfin, elle reprend un peu de confiance et s’autorise un sourire carnassier devant son miroir, comme si ça pouvait m’impressionner ne serait-ce qu’un peu. Va-t-elle ramener un garçon, ce soir, ou pas ? Une fille, peut-être ? Bwarf, il n’est pas encore temps de poser cette question, cela nous donnerait une migraine sans doute.

Son casque audio jaune vif sur les oreilles, elle enclenche la playlist d’Uppermost, un DJ français découvert il y a peu, n’oublie pas de prendre Mambo autour de son cou et sort de sa chambre, non sans avoir préalablement éteints la lumière et prit ses clefs. Se serait con de rester enfermée dehors tout de même.



DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE




Pour décrire Tsuzune, le mieux est encore de calquer son esprit sur les sept péchés capitaux, la besigne n'en sera que plus aisée.

L’Envie ;

La Nandekara n’est jamais satisfaite de ce qu’elle a. Elle en veut toujours plus, par simple caprice. Elle veut tout et son contraire, histoire d’être bien chiante. Et contradictoire avec ça, en plus, comme si le reste ne suffisait déjà pas ! Lundi matin elle voudra que tout le monde la regarde alors que lundi après-midi, si un pauvre hère pose un seul regard sur elle, il se bouffera sa semelle en pleine poire. Tsuzune, insupportable ? Ah ça, c’est fort possible…

La Luxure ;

Il n’est sans doute pas utile de se perdre en débat sur ce point-ci, non ? Je ne vous ferais pas l’affront d’entrer dans les détails de la perte de sa vertu pour les âmes les plus sensibles, mais sachez que ce ne fut guère par amour. Uniquement par déraison et alcool trop ingurgité. Magnifique tableau pour cette demoiselle, n’est-ce pas ? Et pourtant, c’est encore l’une des choses les moins graves qu’elle ait pu faire encore. Dommage qu’il lui soit apparemment nécessaire de se faire mal voir pour exister aux yeux des autres.

La Colère ;

Tout est dit, non ? Tsuzune, sans doute de par la moitié de sang chaud qui circule dans ses veines, est tout à fait en mesure de décrocher un uppercut bien senti à une personne lambda simplement parce qu’elle sera contrariée sur le moment ou que la tête de cette dernière ne lui revenait pas – charmant, n’est-il pas ? Le problème, par ce qu’il fallait forcément qu’il y en ait un, c’est que dès qu’elle s’énerve trop ou est sous le joug d’une très forte émotion, sa maladie – cf : la cardiopathie congénitale – revient à la charge. La pression dans ses canaux sanguins augmente, créant des points de pressions qui finissent souvent par exploser, le plus souvent, dans ses poumons – et oui, tout est lié dans le corps humain, n’est-ce pas sympathique ?. Aussi, la voir parfois s’écrouler de douleur au sol et cracher du sang fini par ne plus être une surprise pour vous, si vous la connaissez bien. Et puis elle a toujours ses foutues seringues sur elle, au cas où.

L’Avarice ;

Tsuzune, elle n’aime pas prêter. Ou plutôt, elle n’aime plus ça. Lorsqu’elle était enfant et connaissait une certaine stabilité, oui, pourquoi pas. Mais pas la Tsuzune de dix-sept ans. Celle-là, touchez à ce qu’elle estime comme sien, que ce soit des clefs de bagnoles – ironique, elle ne sait pas conduire... – ou une personne faite de chair et d’os et elle vous agrafe au mur le plus proche comme si vous veniez de la menacer de mort. Enfin, au moins, elle essaiera… Méfiez-vous donc de l’eau qui semble dormir.

La Fierté ;

Ça, c’est l’un de ses défauts les plus récurrents. L’hispano-japonaise ne connait aucune limite en matière de fierté mal placée. Il faut se lever de bonheur pour espérer la voir un jour venir s’excuser auprès de vous, quand bien même elle était tout à fait en tort ! Un caractère mal fichu, que voulez-vous. Il faut qu’elle se casse les dents, avec plus ou moins de violence, sur son allégation pour qu’enfin, elle essai de desserrer un peu le mur qui lui sert de dents grinçantes et qu’elle vous témoigne un semblant de sentiment ou d’excuses. Vous êtes prévenus !

La Paresse ;

Ah, là encore une chose qui la défini assez bien. Elle avait des projets, pourtant. A foison, même. Comme tout enfant normal qu’elle était autrefois. Et malgré tout, il lui fallut mal tourner. De facto, depuis qu’elle a délaissée les bancs de l’école pour connaître ceux de la drogue, Tsuzune est du genre « qui va piano va sanno ». Moins elle en fait, moins elle a envie d’en faire ! Ou alors il faut appartenir au cercle très fermé d’activités dont elle adore se rassasier ; comme le violon, par exemple. Car oui, par-delà le masque, la Nandekara est très douée avec un tel instrument en main. Qui l’aurait cru, pas vrai ?

La Gourmandise ;

Elle s’alimente mal, et surtout à toute heure ! Encore heureux que son corps ne retienne pas les sucres et les graisses – enfin, dans son cas est-ce vraiment un avantage… ? – car sinon bonjour les problèmes de santé derrière ! A ce niveau-là, son corps semble être assez résistant. Et heureusement, car manger une pizza froide avec supplément chocolat le matin au petit déjeuner, ça n’effraie pas cette sale gosse.

Oh, vous en voulez plus ? Ahah, petits curieux ! Venez donc la découvrir par vous-même ~




 
VOTRE HISTOIRE



Plutôt que de déborder dans les sempiternels écrits traitants de la rencontre entre un homme et une femme qui déboucha par la suite sur la naissance d’un enfant, mieux vaut, dans le cas de Tzusune, agir en gavant ce petit récit d’ellipses plus ou moins grandes.

Son suivi n’en sera que plus simple, vous verrez ;

Un an avant sa naissance ;


Akahito était subjugué par la beauté de cette européenne. Lui qui pourtant prétendait à qui voulait l’entendre que les femmes de son pays étaient les plus jolies, le voici bien démuni devant cette réalité qui ne lui laisse pas d’autres choix que d’admettre son erreur.

Dix mois avant sa naissance ;

Finalement, il avait été l’aborder, cette secrétaire du consulat ou il avait été envoyé, en tant que très jeune diplômé de la meilleure université de droit du pays du soleil levant. Et il n’avait guère été déçu. Son nom était Gabriela. Jeune mère célibataire de 18 ans avec un enfant de 4 ans à charge, il crut rapidement comprendre qu’elle manquait de stabilité dans sa vie, ce qui lui donnait un aspect plus que fragile. Il n’en fallut pas plus pour que le nippon n’en tombe éperdument amoureux et se convainque que ses sentiments étaient réciproques. Il l’emmena pour le Japon où il promit de se marier avec elle pour lui faire connaître la chaleur d’un foyer aimant. Non, il ne serait pas comme le précédent, il ne la laisserait pas sans rien. Il valait mieux que cela.

Neuf mois avant sa naissance ;

Le jour où il avait apprit que sa nouvelle femme – ils s’étaient mariés sitôt arrivés en territoire japonais – était enceinte, il faillit pleurer de joie. Il allait être père à seulement vingt-cinq ans, mais Dieu ce qu’il était heureux ! Des milliers de projets fourmillaient déjà dans sa tête pour le petit être à naître.

Quatre mois avant sa naissance ;

Il adorait toucher les rondeurs du ventre de Gabriela, ou même les effleurer simplement. Ça lui donnait l’impression de planer sur un nuage de bonheur infini. Tout se passait pour le mieux pour jeune couple malgré que tout se soit rapidement enchainé. Rien n'aurait pu troubler ce petit Paradis ambulant. Akahito prenait sur son temps pour apprendre quelques bases de son dialecte natal à sa compagne, qu’il souhaitait intégrer au plus vite à la société dans laquelle ils vivaient ensemble, maintenant.

Un mois avant sa naissance ;

Il trouvait sa femme étrange depuis quelques temps. Elle ne semblait plus vraiment emballée par la future naissance de la petite Tsuzune – il avait même dû choisir le prénom seul… Mais, préférant mettre ça sur le dos de la fatigue que devait ressentir la belle espagnole, il se contentait de chasser ce mauvais pressentiment en s’occupant un peu d’Alejandro, son « beau-fils » de cinq ans maintenant.

A sa naissance ;

Tout s’était bien passé. La petite était sortie sans problème du ventre de sa mère et cette dernière ne souffrait même pas d’un épuisement anormal. Le rêve ! A ceci près que l’on diagnostiqua une cardiopathie congénitale à l’enfant dont il était question. Une malformation au cœur qui nécessitait un suivi régulier, avait dit le médecin chef. Akahito était abattu et pour la première fois depuis longtemps, Gabriela semblait l’être également. Il suivit le processus d’examen de sa précieuse petite princesse derrière une vitre, tout du long. Et son rythme cardiaque manqua plus d’un battement lorsqu’il fallut réanimer le petit être, ayant fait soudain un arrêt du cœur. Heureusement, tout était rentré dans l’ordre peu après.

Six mois après sa naissance ;

Akihito avait momentanément quitté son travail pour s’occuper de sa petite fille. Il fallait lui faire des injections régulières d’un produit dont il n’avait pas retenu le nom mais qui se trouvait être vital pour sa survie. Alors, il s’y pliait, dormant et s’alimentant peu, inquiet pour Tsuzune, tandis que Gabriela, elle ne faisait que cajoler Alejandro. Ah oui, sa compagne était de nouveau enceinte, d’un petit garçon cette fois. Il priait pour que tout se passe bien.

Onze mois après sa naissance ;

La petite était très éveillée et réactive pour son âge, ce qui était une bonne chose d’après tous les médecins que le couple avait pu consulter. L’état de sa maladie était stabilisé et elle commençait doucement à marcher, curieuse de tout. Lorsqu’elle vit son petit frère, Hiroki, la toute première fois, elle tomba sur les fesses tant la surprise -de voir une petite chose comme ça ouvrir les yeux d’un coup- fut grande pour elle. L’enfant ne parlait pas encore, mais sa joie se lisait bien sur ses traits. Akihito reprenait confiance en la vie. Hiroki était en parfaite santé, lui.

Un an après sa naissance ;

La petite brunette jouait tranquillement dans le grand salon de l’appartement ou elle avait toujours vécu. Son petit frère, dans sa chaise haute à quelques pas de là, était tout aussi insouciant. Leur père ne voulait pas pleurer devant eux. Il s’isolait dans la cuisine et sanglotait aussi silencieusement que possible. Gabriela était partie. Elle avait emmené Alejandro. Akahito ne s’était douté de rien, encore une fois. Elle avait dit qu’elle partait faire un tour dans le quartier avec son fils afin de se dégourdir les jambes. Mais elle n’était pas revenue. Alors son mari s’était inquiété et avait appelé la police. En apprenant qu’elle avait embarqué quelques heures plus tôt dans un avion pour l’Espagne, alors il avait comprit. Et le revers de la lame fit mal, très mal. Elle les avait abandonné, ni plus ni moins. Qu’allait dire Tsuzune ? Qu’allait penser Hiroki un peu plus tard ? Il n’en savait rien mais le craignait déjà. Toute sa vie venait de voler en éclats. Il n’avait même pas trente ans alors.

Sept ans après sa naissance ;

Finalement, Gabriela demanda le divorce par correspondance et aussi surprenant que cela puisse paraitre, ce fut plus court que prévu. Elle retrouva son nom de jeune fille, prête à se retrouver un amant avec qui convoler jusqu’au prochain crash sentimental. Akahito s’était demandé si elle l’avait réellement aimé, elle. Parce que lui, il l’avait aimé du plus profond de son âme, c’était certain. Et il n’osait plus faire confiance aux femmes, maintenant. C’était justifié. Il ne voyait plus beaucoup ses enfants, les confiants à une nourrice en journée lorsqu’il était au travail. Ils grandissaient bien et Tsuzune ne paraissait pas souffrir de sa maladie, c’était très bien ainsi. Elle avait plein de copines à l’école et déjà un innocent amoureux, apparemment. Le Nandekara avait ri, c’était tellement candide. Son cadet aussi grandissait bien. C’était un petit fainéant qui adorait dormir, mais il n’en était pas moins adorable.

Neuf ans après sa naissance ;

Le soir ou Akahito présenta convenablement sa nouvelle compagne à ses enfants, il avait retenu son souffle. Et s’ils ne l’aimaient pas ? Qu’allait-il faire alors ? Pourtant, tout se passa pour le mieux. La jeune femme en question, de cinq ans sa cadette, était une nouvelle arrivante au sein de son bureau. Ils avaient sympathisé lorsqu’elle avait ramassé une photo de Tsuzune et d’Hiroki qu’il avait fait tombé par inadvertance. Très belle, elle portait le nom de Kirara Nanako. Elle adorait les enfants, et les petits parurent l’accepter immédiatement. Il était ravi.

Douze ans après sa naissance ;

Tout aurait dû continuer pour le mieux. Tsuzune avait tout pour être heureuse, c’était une enfant charmante. Du fait de son petit décalage avec son frère Hiroki, on les prenait souvent pour des faux jumeaux, ce qui ne faisait que la ravir davantage. Mais non, deux semaines après son anniversaire, elle pleurait. Sa mère biologique; c’était de sa faute. Cette femme qu’elle n’avait jamais vu voulait la récupérer soudainement, prétextant qu’une petite fille ne devait pas vivre sans présence maternelle régulière. Mensonge. Elle, c’était Kirara qu’elle considérait comme sa maman, un point c’est tout ! Elle ne voulait pas partir, quitter son pays pour aller là où elle ne connaissait rien. Certes, elle avait des bases d’espagnol, mais rien de très concret. Et sous un faux prétexte, par caprice, sa génitrice avait entamé des procédures pour la faire venir vivre avec elle. Le moins que l’on puisse dire, c’était que cette Diablesse n’avait guère froid aux yeux.

Douze ans et deux mois après sa naissance ;

Voici Tsuzune qui atterrit à l’Aéroport de Madrid. Son père a tout fait pour freiner les ardeurs des procédures de garde, mais rien n’y fit. Sous prétexte que sa mère voulait la voir, alors le père n’avait rien à dire, apparemment. Cette injustice dégoutait la métisse qui pourtant, se demandait bien à quoi pouvait ressemblé sa mère biologique. Akahito n’avait jamais insulté ou rabaissé Gabriela devant ses enfants, ne tenant pas à les influencer de son vécu. Alors, c’est neutre que la brunette était descendue de l’appareil, en compagnie de son tuteur de vol. N’empêche, elle aurait bien aimé voir le nouveau-né de Kirara, le deuxième qu’elle avait eu avec son paternel. Mais bon, elle aurait probablement l’occasion de retourner chez elle pendant les vacances, non ?

Treize ans après sa naissance ;

Finalement, Gabriela n’était pas venue la chercher à l’Aéroport. Elle l’avait « oublié ». Alors, son tuteur de vol, un très gentil monsieur, avait fait en sorte de savoir où résidait cette femme et l’y avait emmené par ses propres moyens. Il était reparti en offrant un pin’s à Tsuzune, celui de la compagnie aérienne pour qui il travaillait. Et elle ne l’avait plus jamais revu, depuis. Quant à sa mère ? Oh et bien, elle l’a cajolé pendant une petite semaine avant de se lasser, de nouveau. Mais, ne pouvant s’en délester comme un jouet cassé, elle se devait de la garder. De but en blanc, elle lui annonça qu’elle ne retournait jamais au Japon. L’enfant avait pleuré à table. Elle se mangea une mandale bien sentie. Quelle douceur…

Dix-sept ans après sa naissance ;

Tsuzune a mal tourné. Pour se démarquer de son hypothétique foyer, pour se forger une identité propre qui n’avait rien à voir avec celle de Gabriela, elle commença soft, en séchant les cours. Une gifle à chaque fois, et après ? Ça ne lui faisait plus rien, à force. Puis, c’est rapidement monté crescendo. Elle se mit a fréquenter les pires voyous de l’école, histoire d’avoir un point d’ancrage ou se rendre pour ne pas se sentir trop seule. C’était la seule solution qu’elle avait trouvé pour ne pas devenir folle et se sentir au moins un peu aimé puisque sa propre mère l’avait délaissé. Et elle fuyait Alejandro pour bien des raisons. Elle ne voulait pas qu’il l’a voit faible, mine de rien, c’était son grand frère. Elle se mit à boire, à fumer – et pas que des cigarettes- en saccageant les cages d’escaliers et en écoutant de la musique trop fort en pleine rue. A seize ans, elle lâcha les cours quand bien même elle aurait voulu devenir biologiste marine. Mais non, définitivement, rester le cul posé sur une chaise pendant huit heures chaque jour, ce n’était pas pour elle.

Et récemment;

Elle a bien changé depuis ses douze ans. Son père s'est démené pour la faire revenir au Japon, mais ce fut long, et il n’avait pas toujours le temps car son travail l’accapare beaucoup, lui aussi. Sa fratrie nippone lui manquait mais elle avait trop d’orgueil pour l'admettre. Alors, elle se contentait de ce qu’elle avait. Une mère absente, un frère à éviter, d'autres demi-frères/soeurs vu que la maternelle n'a pas cessé de pondre par la suite et … c’était à peu près tout. Ah non ! Il y a mambo, son serpent de compagnie, qu’elle a récupérer il y a près de six mois maintenant. Elle s’entend bien avec cette bestiole, même si ce n’est pas le cas de tout le monde. Heureusement, maintenant, elle pose de nouveau le pied en territoire japonais. Mais c'est désagréable, cette sensation d'être une étrangère sur ces terres qui l'ont vu naître.

Et toi, Invité ? Ton nom sera-t-il inscrit sur les pages du résumé de sa vie ? ~




 
WE DREAM AND WE FIGHT
WE ARE YOUNG. OH-OH || T.N 2dklqww
PSEUDO • Alaude
SEXE • Cf réponse de Tsuzune
ÂGE • 22

DOUBLE-COMPTE • Soon, soon, mon petit Yugi attends au chaud :>
VOTRE PRÉSENCE SUR LE FORUM • ASAP
COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM • Une armoire à glace

AUTRE • AUTRE.
 
©Dita | EPICODE °
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité
MessageSujet: Re: WE ARE YOUNG. OH-OH || T.N   WE ARE YOUNG. OH-OH || T.N EmptyMer 5 Fév - 11:33

HEY-HEY MES BITCHES ADORÉES.
J'ai fini! 8'D
Enjoy <3
Revenir en haut Aller en bas
N°2
N°2
Personne Mystère
Messages : 591
Date d'inscription : 27/01/2014
MessageSujet: Re: WE ARE YOUNG. OH-OH || T.N   WE ARE YOUNG. OH-OH || T.N EmptyMer 5 Fév - 15:49

Alors fait comme Kise, auto-valide toi xD
Validé m'selle 8D
Revenir en haut Aller en bas
https://kurokonobasuke.forums-actifs.com
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: WE ARE YOUNG. OH-OH || T.N   WE ARE YOUNG. OH-OH || T.N Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
WE ARE YOUNG. OH-OH || T.N
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» I used to be a good guy.. Really ♕ k. young
» Kevan A. Young
» Kevan Young - kYoung@mailit.jp
» Mais où sont passés mes fringues?? - feat Kevan Young

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: HRP :: Corbeille :: Administratif-
Sauter vers: