| PRÉNOM • Hanabi
NOM • Yasu
SEXE • C'est une vrai dame.
ÂGE • Huit ans et demi faut pas oublier le demi, c’est le plus important.
GROUPE • Civil
RANG • Supporter
PROFESSION • École élémentaire. |
Deux dames d'un certain âge sont assises sur leurs chaises à bascules regardant les personnes passer devant chez elles. Il n'y a rien d'autre à faire c'est que le village est calme depuis qu'une certaine petite châtaigne est partie. La plus âgée des deux se tourne vers l'autre prenant pour la première fois la parole depuis plus d'une heure.
« Dis-tu te rappelle de la petite Hanabi ? Elle petite qui habitait avec ses parents dans la petite demeure à l'entrée du village. D'ailleurs son père y vie encore à ce qu'on m'a dit.
-Non j'en ai aucun souvenir, la vielle se gratte le menton, tu sais moi et ma mémoire. Elle ressemblait à quoi cette petite ?
-A une princesse. Une princesse qui était tout de même casse-cou. » La grand-mère lui décrit avec précision la jeune Hanabi.Cette petite était le portrait craché de son père la seule chose qu'elle tenait de l'autre côté, du côté de sa chère mère, était ses yeux si particulier, mais tout le reste faisait penser à son père.
La petite fille avait des cheveux courts, soyeux d'une couleur châtaigne ce qui lui donna son surnom dans le village, tout le monde l'appelait la châtaigne. Elle avait une petite mèche qui lui cachait une partie de son front, mais pas son œil droit. Elle avait aussi un petit épi qui donnait bien du mal à ses parents pour la coiffer. Il la coiffait toujours de la même façon. D'une petite couette sur le côté gauche qui malgré sa mèche ne lui cachait pas tout son visage.
Elle possédait aussi de grands yeux d'une couleur tout à fait peu ordinaire. Elle avait des yeux d'une couleur châtain comme ses cheveux, mais ceux-ci viraient à l'or quand elle se tenait au soleil. Le reste de son visage était rond comme celui d'un poupon. Elle n'avait pas encore perdu les rondeurs de son enfance et avait de petites joues rondes qui se coloraient facilement de rouge quand elle était énervée, ce qui était vraiment rare. Elle n'était pas du genre sanguin. Elle possédait un tout petit nez et une bouche où un sourire y était accroché. Ce sourire était la chose la plus précieuse aux yeux de ses parents. Ses oreilles étaient légèrement décollées ce qui faisait souvent rire les autres enfants du village ce qui ne blessait en rien la jeune fille, ça lui passait un peu en dessus.
Pour son âge elle n'avait rien de bien féminin. Elle n'avait pas de poitrine. Heureusement elle n'avait que sept ans quand elle avait quitté cette île. Elle était d'une petite taille. Elle ne mesurait seulement qu'un mètre 10, mais elle n'avait pas encore finis sa croissance. Elle faisait une telle taille grâce ou à cause de ses jambes commençant à ressembler à des jambes de gazelles ce qui voulait dire que lorsqu'elle sera plus âgée elle va être assez grande. Ses bras étaient comme ses jambes, fines. Ils se terminaient sur deux petites mains.
Question corpulence ce n'était pas comme son doux visage. Elle n'était pas ronde, elle était plutôt fine, plate comme une crêpe ou tout autre chose tout aussi plat.
Pour ce qui était de sa tenue, ses parents l'habillaient pratiquement toujours pareil. En été, c'était souvent un short en jean et d'un t-shirt de couleur très simple et à ses pieds une paire de sandale. Et en hiver c'était plus des pantalons ou salopette avec un t-shirt encore simple et son père avait l'habitude de lui faire porter un bonnet chat tout à fait mignon. La seule chose qu'Hanabi gardait à n'importe quelle saison était un bracelet fait de cordes jaunes en raccord avec sa ceinture. Ce bracelet était ceux de lorsqu'on l'attachait il fallait faire un vœu qui se réalisait quand celui-ci se cassait.
« Oui je me souviens maintenant. Elle était tout à fait adorable avec ses petites joues. J'avais toujours envie de les lui tirer. » La vielle dame rigole c'était il y a longtemps maintenant. Quelques mois c'est long pour deux vieilles damesDESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE
-Oui je m'en souviens. Elle avait un caractère assez...Comment dire fort pour une enfant de cet âge. » Un sourire s'installe sur ses lèvres. Ça lui faisait du bien de se rappeler ce doux passé.C'est vrai que la jeune fille avait un caractère assez spécial. Il était différent des autres enfants de ce village. Une certaine joie de vivre était peinte sur son visage et elle semblait profiter de chaque jour que la vie lui offrait. Malgré tous les tentatives de certaines personnes, jamais le sourire qui trônait sur ses lèvres ne disparu. Elle n'avait jamais pleuré en public et même chez elle, elle ne pleurait pas. La seule fois où elle ait pleuré était le jour de sa naissance. Mais cela ne voulait pas dire qu'Hanabi n'avait jamais perdu son sourire. Comme la fois où elle avait quitté ce village. Aucun sourire n'était accroché sur ses lèvres.
Derrière ce sourire se trouvait une enfant aussi casse-pied que... Non il n'y avait pas de comparatif. Cet enfant aimait bien énerver les autres, mais ce n'était pas son but initial. Ou peut-être que si elle aimait embêter ce qu'elle aimait bien. Elle était espiègle, mais les gens arrivaient à tous lui pardonner, rien qu'en voyant sa petite bouille toute ronde. Ce qui ne plaisait pas à certain était aussi le fait qu'elle disait tout ce qui lui passe par la tête que ça plaise ou non. Mais derrière ce caractère se cachait une petite fille sachant être mature quand il le faut, enfin être mature autant que pouvait l'être une gamine de son âge.
Hanabi était aussi très casse-cou. Elle courait de partout. Elle pouvait suivre un papillon sur des mètres. Lors de nombreuses chutes qu'elle avait faites elle se relevait toujours sans pleurer, ça la faisait même rire. Beaucoup disait qu'elle était solide.
Elle était énergique. Elle arrivait à courir toute la journée en se reposant de rares occasions, mais quand elle était fatiguée, elle tombait comme une masse. Ça lui arrivait de s'endormir en mangeant ou alors en plein milieu d'une phrase. Même une fois il lui était arrivé de s'endormir en pleine course. C'était pour une de ces raisons que son père était toujours à l'affut.
Elle était plutôt du genre rêveuse elle se voyait explorer le monde et ses mille merveilles. Elle se voyait comme une exploratrice intrépide et c'est ce qu'elle était. Sa curiosité lui faisait avoir des rencontres extraordinaires pour les yeux d'une enfant, mais elle n'avait peur de rien. Elle pouvait se trouver en face d'un énorme chat voulant protéger son territoire, Hanabi lui sautait tout de même dessus pour pouvoir le caresser.
Elle était aussi très impatiente. Quand vous lui promettiez quelques choses, vous la retrouviez le lendemain matin à l'aube devant chez vous pour attendre que vous vous lui donniez ce que vous lui avez promis Et si cela concernait la nourriture S'en était fini. Elle était très gourmande. Elle ait toujours faim et réclamait donc tout le temps à manger jusqu'à ce que vous cédiez et lui donnait ce qu'elle voulait. Tout lui allait. Elle pouvait manger n'importe quoi.
Elle n'était pas timide. Loin de là. Elle aimait faire le premier pas vers les autres. Et si les autres ne voulaient pas lui parler, elle continuait à aller vers eux jusqu'à ce qu'ils craquent. Oui elle était vraiment quelqu'un de sociable et d'aimant. Elle aimait aider les autres dans les tâches même les plus difficiles, ça l'amusait. Elle aimait aussi faire des cadeaux même si ce n'était pas grand-chose. Par exemple quand elle trouvait un coin remplis de fleurs elle faisait toujours un ou deux bouquets pour la vieille dame qui habitait en face de chez elle ou pour son père. Elle était très attentionnée. Son optimiste était légendaire dans tout le village même si du négatif arrivait elle voyait toujours le bon côté des choses. Ce qui laissait parfois, cois les villageois qui n'en revenaient qu'une petite fille pouvaient leur redonner courage avec de simples mots tellement logiques.
Il y avait une chose que certains villageois aimaient faire, c'était lui raconter des histoires. Histoires qu'elle croyait toujours même si elles étaient toutes plus invraisemblables les unes que les autres. Ils s'en amusaient.
Elle n'aimait pas se battre. Elle trouvait cela lamentable de se battre. Elle donnait des coups seulement pour s'amuser ou pour défendre son ami. Mais la deuxième option n'est jamais arrivée.
Le seul problème qu'on pouvait avoir avec elle c'était qu'elle parlait à la troisième personne. Tout le monde, lui répétaient d'utiliser le 'je'. Mais elle persistait à parler d'elle à la troisième personne. A bout d'un moment ils s'y sont tous habitués.
« Alala qu'est-ce que cette petite peut me manquer. » dit la vieille femme en revenant dans le monde des humains.
« Pourquoi la petite est partie ? »
-A ce qu'on m'a dit le juge à donner la garde à la mère au grand désespoir du père. Mais après ce qui s'est passé, c’est tout ce qu'il y a de plus normal.
L’autre pose un regard incrédule sur cette dernière.
« Laisse-moi t'expliquer. Tout remonte à l'époque de leur rencontre »Les parents d'Hanabi s'étaient rencontrés lors d'un anniversaire d'un ami commun et ce fut le coup de foudre. Après seulement quelques mois de vie commune ils avaient décidé, plus sur un coup de tête qu'autre chose, de se marier et fonder une belle et grande famille. Le mariage se déroula en petit comité avec seulement les amis proches et les parents du marié. Ceux de la mariée n'approuvaient pas le mariage et ils avaient entièrement raison, mais la jeune femme ne s'en était rendue compte que bien plus tard.
Seulement quelques mois après avoir prononcé leurs vœux, la jeune femme tombait enceinte. Pour le plus grand bonheur des deux jeunes gens. Mais ne voulant pas avoir un enfant dans le bruit et la pollution de Tokyo ils cherchaient une maison loin de toute cette agitation. Maison qu'il trouve rapidement dans un petit village vraiment éloigné de la capitale.
C'était une petite maison à rénover et à côté coulait une petite rivière. L'enfant aurait toute la place pour gambader et s'amuser. Mais pour que cette maison soit vraiment habitable il fallait que l'homme quitte son travail et mette tout son temps et son courage dans la rénovation. Après deux mois de dur labeur pour toute la petite famille, ils n'étaient encore que deux toutefois, pouvait enfin s'installer. La femme quitta aussi son travail pour s'occuper entièrement de sa grossesse ne voulant pas être victime d'une fausse couche ce qui était très courant dans sa famille. Elle passait donc le reste de sa grossesse à faire très attention, à ne pas se surmener.
Des tensions commençaient à naître dans le couple alors que la date fatidique se rapprochait de plus en plus. Elle était née pendant la fête nationale et plus précisément pendant qu'on tirait le feu d'artifice, d'où son nom. Elle avait deux mois d'avance.
Pas longtemps après avoir accouché sa mère trouvait un travail en tant que directrice d'une agence de mannequinat très connue au Japon et qui était à Tokyo. Elle devait donc faire les allers-retours toutes les semaines rentrant seulement le vendredi pour repartir le lundi matin tôt. Travail qu'elle faisait avant sa grossesse et que par miracle et avec de bonnes relations, elle a pu retrouver. Elle devait donc énormément travaillé pour montrer qu'elle était digne de ce poste. Hanabi était donc sous la surveillance de son père, qui était toujours au chômage, car il avait beaucoup de mal à trouver du travail malgré les nombreuses demandes. Il prenait donc soin de la prunelle de ses yeux et l'élevait quasiment seul, on pouvait même dire seul, mais ce n'était pas pour ça qu'elle n'était pas bien éduquée. Au contraire c'était un ange. Mais même sous cette allure peut se cacher un vrai petit démon.
Elle aimait jouer les quatre cents coups avec le petit garçon des voisins. Ils étaient tous les deux surnommés les petits diables du village, mais les villageois les laissaient continuer ce n'étaient pas de grosses bêtise seulement deux voire trois petites farces et puis cela animait le village. On y entendait des rires vite suivis de hurlements pousser plus pour la rigolade que pour le mécontentement.
Un jour, son père et la jeune demoiselle allaient faire une balade. Après un petit caprice de la petite brune son père accepta de la laisser jouer sur une balançoire. Son père, un peu tête en l'air, oublia un court instant de regarder sa puce qui était en pleine discussion avec un ancien bon ami. C'était le moment d'inattention de trop. La brune s'était mis en tête d'attraper un petit papillon, mais ne regardant pas où elle allait, elle se cassa la figure. Rien de bien grave heureusement, juste deux-trois points de suture, ça faisait même rire la jeune Hanabi.
Mais c'était la goutte d'eau qui fit déborder le vase pour la mère qui ne pouvait plus supporter son mari. Elle trouvait cette excuse idéale pour rompre avec lui et en même temps prendre sa fille avec elle. Elle faisait ainsi une pierre deux coups. Mais malheureusement pour elle, la jeune demoiselle ne voulait pas venir avec elle. Il était hors de question qu'elle quitte son père et son village. Après discussion avec son père qui la poussait à suivre sa mère car il ne pourrait pas subvenir à ses besoins et ceux de sa fille en étant au chômage, il lui fit donc la promesse de trouver un travail stable et bien payé et quand ce sera fait il viendrait la chercher et ils vivront heureux tous les deux dans leur petit village.
Hanabi lui promettait qu'elle allait vite apprendre à bien lire et écrire pour pouvoir lui écrire plein de lettres pour lui raconter tout ce qu'elle faisait.
C'est donc sur des adieux plus que douloureux pour les deux que la jeune Hanabi quittait le petit village pour la grande ville de Tokyo. Le village était devenu bien calme sans les bêtises devenues habituelles des deux jeunes gens.
La jeune femme et sa fille investissait alors dans une charmante petite maisonnette dans le quartier de Kanagawa.
« Et depuis je n'ai plus aucune nouvelle et je n'ai pas revu son père.
-Je me demande bien ce qu'elle peut devenir. »Ce que personne ne savait, c'était qu'une fois arrivé à la capitale la jeune mère ne pouvait pas laisser sa fille seule. Elle décidait donc d'engager une babysitter à laquelle la petite s'était énormément attachée d'ailleurs. Elle passait la majeure partie de sa journée, après ses cours bien sûr, chez elle sans que sa mère soit au courant. De toute façon elle n'était jamais là.
Un jour comme tous les autres, la jeune Takara, car oui, c'était elle qui était de garde, décida de l'emmener à un de ses matchs malgré la réticence de cette dernière qui préférait largement rester à la maison à regarder un Miyazaki, qui était son cinéaste préféré. Il n’y avait rien à dire, ses dessins sont magnifiques et ses histoires faisaient toujours voyager la petite vers des contrées plus belles les unes que les autres.
C'est donc à contrecœur qu'elle suivait sa babysitter. Mais une fois le match débuté, elle trouva ça génial et encourageait l'équipe de sa Nanny plus forte que n'importe quelle personne dans les gradins. C'est qu'elle avait de la voix cette petite. Depuis ce match elle suivait tous ceux de l'école de son quartier.
Qui sait peut-être que quand elle sera grande c'est elle qui sera sur le terrain et Takara dans les gradins à l'encourager.
| PSEUDO • DOUCHINETTE
SEXE • Toujours le même
ÂGE • 19 ans
DOUBLE-COMPTE • Plutôt un TC
ÊTES VOUS UN PRÉDÉFINI • NOOOOOOOOON !
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