 Invité |  Sujet: ~Yûko Iroha~ Sam 12 Avr - 14:55 | |
| ▬ YÛKO IROHA | PRÉNOM • Iroha (色葉)
NOM • Yûko (優虎)
SEXE • Femme
ÂGE • 16 ans
GROUPE • Kaijou !!
RANG • Élève
PROFESSION • Lycéenne / Petit job à temps partiel dans un fast food dans le plus grand secret. (chut~) |
5.00 heure, le réveil se met à sonner. Une main déjà énergique le fait taire immédiatement avant d'envoyer voler un peu plus loin la couverture qui protège sa propriétaire. Une silhouette menue sort du lit exécutant bientôt quelques exercices d'étirements pour bien commencer la matinée.
4 heures. C'est le temps qu'il faut à Iroha pour se préparer le matin. Le maquillage étant interdit au lycée, elle a réussit à réduire son temps de préparation d'une heure les jours d'école. Pour ce qui est de sa coiffure, c'est une tout autre histoire. Ses cheveux au réveil légèrement ondulés par un sommeil agité se transforment en quelques heures en élégantes boucles écarlates joliment dessinées, retenues tantôt en deux couettes, tantôt en couette latérale. Un peu de noir autour de ses yeux vermillons ainsi qu'un peu de rose sur ses fines lèvres seraient également appréciable, de même qu'elle aurait aimé pouvoir peindre ses ongles manucurés, mais il lui faudrait garder cela pour d'autres jours.
Elle enfile ensuite son uniforme qu'elle aurait volontiers tronqué contre quelque qu'autre attirail large et ample. Complexant sans se l'avouer sur sa petite poitrine, ce style de vêtement lui sert surtout d'excuse pour ne pas avoir de formes apparentes. Bien qu'elle aie de nombreux côtés féminins, la jeune fille n'a pas un goût très prononcé pour la mode et même si elle apprécie la sobriété, elle favorise les couleurs.
Une fois prête, Iroha se hâte de préparer le petit déjeuner et réveiller son frère de 12 ans son aîné. Bien heureusement pour ce dernier, la concoction d'un tel repas ne demande aucune qualité physique ni culinaire auquel cas il devrait s'en faire pour sa santé. Avec sa force de nouveau née, une viande trop dure aurait raison d'elle. Cependant, sa petite sœur arrive tout de même à accomplir quelques miracles comme cette fois où elle avait scindé une planche en deux sans parvenir à couper la viande qui reposait dessus. Ce après quoi, elle avait posé sa main derrière la nuque, le regard bas et se mordillant la lèvre inférieur, une habitude qu'elle avait depuis très jeune dès qu'elle se trouvait en tort et était embarrassée. Parmi tant d'autres de ces tics, on trouve aussi celui de jouer avec ses cheveux lorsqu'elle se met à mentir ou bien encore celui de regarder l'état de ses ongles lorsque son interlocuteur l'ennuie. Enfin, c'est encore une autre histoire...
Après avoir fait la vaisselle, vérifié une énième fois dans le miroir que tout était parfait, le sac sur ses épaules, Iroha récupère ses chaussures scolaires au milieu d'une dizaine de chaussures à talons avec pour regret celui de ne pas pouvoir porter ces dernières au lycée. Autour du mètre cinquante, la jeune adolescente est bien petite à côté des autres filles de sa classe. Elle espère toujours combler son apparence enfantine avec des ensembles et chaussures matures mais l'uniforme scolaire obligatoire la ramène toujours à cette inégalité. Finalement, il se trouve que ces jours sont ceux où elle se trouve être la moins attentive vis à vis de son apparence, où elle reste une simple lycéenne parmi tant d'autres. Si l'on prête malgré tout une véritable attention à cette élève banale, on peut remarquer son sourire doux lorsqu'elle heureuse, les rougissements sur son visage lorsqu'elle se met en colère, sa peau laiteuse signe de sa santé de fer, son étrange habitude de vouloir 'poker' les gens à qui elle veut s'adresser ou encore toute la palette de visages et expressions spontanés qui peuvent éclairer son visage. Si l'on y prête de l'attention seulement.
QU'EST-CE QU'UN GEMEAUX FEMELLE ?
Seuls les gémeaux peuvent reconnaître leurs semblables, par conséquent, pour un quelconque étudiant Iroha sera seulement une élève brillante et discrète, à la fois aimable et distante. Le terme « gémeaux » est tout un concept, un terme qui suffit à décrire toute une personnalité complexe. Je me propose de vous donner quelques clés pour les comprendre.
Tout d'abord, permettez moi d'éclairer un point essentiel : un gémeaux n'est pas schizophrène, il est gémeaux. À l'image de son signe astrologique, la personnalité de Iroha est remplie d'incohérences. Elle peut être à la fois nonchalante et enthousiaste, chaleureuse et désagréable. Elle a une capacité d'adaptation rude à toute épreuve, ce dont on aurait bien besoin ceux dérangés par son comportement légèrement instable et ambivalent. Plus qu'instable, disons simplement qu'il s'agit d'une fille très spontanée qui n'hésite pas à faire partager le fond de sa pensée, ceci résultant parfois en un réel manque de tact de sa part. Cependant, détrompez-vous, si vous voyez un gémeaux vous sourire ou vous prêtez de l'attention, c'est à ce moment que cela devient dangereux. Peu importe à quel point un gémeaux peut vous paraître doux et bienveillant, ce dernier cache toujours un côté qui vous sera inconnu, bien souvent diabolique qui pourrait bien rendre votre vie un Enfer. Véritable manipulateur, ils parviennent bien souvent si non toujours à obtenir ce qu'ils désirent. Par ailleurs, Iroha elle-même est très fière de sa condition de gémeaux, persuadée qu'un jour ces derniers domineront le monde.
Si l'on s'attarde un peu plus sur Yûko Iroha elle-même, il faut savoir qu'elle a tendance à oublier les personnes autour d'elle et se présenter une fois à elle sera bien loin d'être suffisant pour qu'elle retienne un nom. De même, elle a tendance à ignorer ceux et ce qui l'entoure quand elle n'est pas en train de s'imaginer quelques anecdotes sur ces dernières personnes, car oui les gémeaux ont une imagination débordante.
Paradoxalement, Iroha a une passion pour la photographie, n'hésitant pas à voler quelques clichés lorsque ce qui se présente face à elle la touche d'une manière ou d'une autre. Elle aime tout particulièrement les portraits, photos volées dans lesquelles elle veut faire ressortir les émotions de l'instant présent. Les sourires, les regards des uns et des autres... Malgré son apparente indifférence, l'adolescente reste très réceptive, souvent touchée par les sentiments de ceux qu'elle daigne observer. Souhaitant s'offrir un appareil photo professionnel, elle a récemment commencé à économiser un peu d'argent malgré ses problèmes financiers. Ainsi, la lycéenne ne mange pas beaucoup, se contentant bien souvent lors de la pause midi d'une brique tantôt de lait, tantôt de jus. Cependant, on la trouve souvent une sucrerie en bouche, un gâteau dans les mains, ou tout ce qui pourrait contenir du sucre près d'elle. Elle affectionne les salons de thé et cafés plus que tout pour leurs pâtisseries délicieuses malgré le trou financier que ces sorties représentent quand elle n'est pas invitée par des amis à aller au karaoke, réduisant toujours ses économies au néant.
Qu'en est-il du basket ? Un sport comme un autre, auquel elle ne s'est jamais particulièrement intéressée. Elle n'a jamais été quelqu'un de très sportive... En tant que membre du club de journalisme, la jeune fille se retrouve régulièrement confrontée aux différents clubs de sport de son lycée mais son intérêt ne porte pas plus loin. Toutefois, dernièrement, il lui est arrivé de se demander quelle genre de sensations pourrait-elle ressentir avec un ballon de basket dans les mains. Parviendrait-elle à dribbler, ou encore à mettre un panier ? Ce n'est pas comme si elle était faite pour ce genre de chose, sans doute serait-elle bien maladroite. Utiliser ses mains pour arranger les coiffures de son frère et ses amis était quelque chose qui lui correspondait bien mieux.
CHAQUE CLICHE PORTE AVEC LUI SOUVENIRS ET SENTIMENTS...
Les pages tournent et se ressemblent, toute vide de souvenirs... Une adolescente, affalée sur le canapé de son petit appartement, feuilletait l'album photo familial avec ennui. Des photos de personnes sans visage défilaient devant elle tandis que le poste de télévision retransmettait les nouvelles du jour. Elle pouvait tourner les pages autant de fois qu'elle le désirait, aucune photo de l'homme à qui elle devait son arrivée au monde n’apparaîtrait devant ses yeux. Ce père absent, l'avait-elle vu ne serait-ce qu'une fois ? Avait-il au moins été présent lorsqu'elle était née ? C'était un parfait inconnu dont elle ne connaissait ni même le nom... Son frère n'en avait pas fait mention une seule fois. Un tabou ? Peu probable. Simplement, pourquoi parler de quelqu'un qui n'avait jamais été là ? La télévision continuait de tourner sans fond, le visage d'une journaliste élégante venant bientôt occuper l'écran. Un documentaire exotique quelconque dont le sujet du jour était l'Europe.
« Oh, c'est maman qui passe à la télé. » prononça la jeune fille avec une voix assez forte pour qu'elle atteigne son frère occupé dans la cuisine.
Seul un grognement de mécontentement lui parvint en réponse. Yûko Iroha avait souvent été amenée à se demander qu'est-ce qui poussait des adultes à avoir des enfants... Et ce qui poussait ces mêmes parents à privilégier leur carrière quitte à abandonner leur progéniture. N'était-ce pas étrange de mettre au monde un enfant pour finalement le laisser seul ? Un coup de fil vint interrompre le cours de ses pensées, le portable de l'adolescente laissant apparaître la photo d'une vieille dame au regard sévère au dessous de laquelle un numéro avait été remplacé par le nom de « Grand Mère ». Après tout, peut-être était-ce différent... Dans son cas, Iroha n'avait jamais été abandonnée... Depuis le début elle n'était pas désirée. Elle devait sûrement faire partie de ces nombreux accidents. Son frère lui avait raconté que leur père avait quitté leur mère depuis plusieurs mois déjà quand cette dernière apprit qu'elle était enceinte. Elle avait pris la décision de ne pas garder l'enfant mais leur grand mère toujours fidèle aux valeurs traditionnelles lui interdit l'avortement. Ainsi, Yûko Iroha était née. Cependant, était-ce vraiment une bonne chose ? Elle était en vie, mais à quel prix ? Ces questions la hantèrent pendant tant d'années...
La lycéenne répondit au coup de fil quotidien de son aïeule. Malgré son hospitalisation récente, la vieille dame continuait de s'inquiéter pour ses petits enfants avant de ne se préoccuper pour sa propre santé qui continuait de se détériorer d'années en années. Après l'avoir rassurée quelques bonnes dix minutes et lui avoir souhaité un bon rétablissement, Iroha mit fin à l'appel, la photo de son interlocuteur remplacée par celle d'un jeune adulte. Elle ne put retenir un sourire à la vue des longs cheveux flamboyants coiffés comme une petite minette et le visage crispé par l'agacement de l'individu.
« Le repas est prêt. Viens mettre la table. »
L'objet de son amusement entra dans la pièce, une poêle encore chaude à la main. L'odeur du riz sauté se propageant dans la pièce, Iroha se hâta de tout préparer pour déguster le plat cuisiné par son frère adoré, ce frère qui avait tout abandonné pour s'occuper de sa petite sœur. Même aujourd'hui, il ne devait pas avoir oublié ce jour d'hiver que la jeune fille ne pouvait qu'imaginer en rêve. Sa mère n'avait jamais voulu d'elle. Elle avait accouché d'un second enfant par devoir et respect envers sa propre mère seulement. Alors pourquoi s'en encombrer ? Iroha ne pouvait qu'imaginer, tenter de retracer tout ce qui avait pu passer à l'esprit de sa génitrice avant qu'un soir, elle ne décide de laisser ses enfants chez leur grand-mère... sans jamais revenir. Était-elle simplement venue les déposer en faisant croire qu'elle viendrait les chercher ? Ou au contraire, une dispute avait-elle éclatée ? Son frère avait-il pleuré ? Avait-il détesté sa petite sœur pour avoir été abandonné par sa faute ? C'était la seule chose dont l'adolescente ne pouvait parler avec son frère. La seule chose, le seul instant qu'ils avaient décidés de tous enterrer dans leur mémoire. Iroha, bien trop jeune à l'époque, n'en gardait aucun souvenir, ni aucune rancune envers ses deux parents. Sans doute en était-il autrement pour son frère qui avait déjà douze ans à l'époque. Leur grand-mère avait abandonnée sa retraite et s'était pliée en quatre pour s'occuper de ses petits enfants et leur permettre d'aller à l'école. Dès qu'il fut diplômé à la sortie du lycée, son frère se mit à travailler. Pour ce faire, il déménagea à Tôkyô emmenant sa petite sœur avec lui quittant leur Kyôto traditionnel. Il chercha activement un travail dans le but de rembourser tous les frais que leur grand-mère avait eu à sa charge et lui permettre une bonne retraite. Toutefois, ce fut une vision bien naïve. Fallait-il encore payer les frais de scolarité de la jeune Iroha ainsi que ceux de la vie quotidienne tokyoïte...
Un grand lycée encadré par quatre doigts fins, le lycée où elle étudierait pour les trois années à venir... Une école connue pour son haut niveau sportif dont le nom 海常 était inscrit sur l'enseigne. Un choix qu'elle avait fait sur un coup de tête. Lorsqu'il vit ses excellents résultats scolaires, son frère voulut la renvoyer à Kyôto pour retrouver sa grand-mère où il souhaitait la voir rejoindre le lycée Rakuzan. Malgré l'occasion que lui octroyait les bourses qu'elle avait obtenues, Iroha rejeta le souhait de son frère préférant rester à ses côtés à Tôkyô. Ainsi, elle passa le concours sans difficulté et réussit à obtenir une bourse pour le lycée Kaijou. Une bonne école qui avait l'avantage de se situer non loin de chez elle.
Alors que la toute nouvelle étudiante cherchait le meilleur cadre pour prendre une photo en commémoration de son entrée au lycée, une amie vint lui donner une frappe dans le dos avec un sourire, l'entraînant bientôt dans l'enceinte de l'école. Quelques minutes avant la cérémonie d'ouverture seulement, Iroha pianota une adresse sur son clavier, une carte ne tardant pas à s'afficher sur l'écran du téléphone de la jeune adolescente sur laquelle s'imposait une icône M. Maji Burger. Une célèbre chaîne de fast-food dans laquelle elle était parvenue à trouver un emploi à temps partiel. Pensant que le lycée interdirait aux étudiants de travailler, elle avait choisi ce dernier en prenant soin de garder une certaine distance entre son lieu de travail et son lycée, ce jusqu'à ce qu'elle découvre qu'un mannequin se trouvait à Kaijou. Néanmoins, même lorsqu'elle l'apprit, elle préféra taire ses occupations extra-scolaires sous couverture de membre du club de journalisme.
Ses connaissances l'amenèrent un jour à observer un match amical de l'équipe de basket de son lycée. Iroha ne s'était jamais intéressée au sport, le basket ne faisant pas exception. Il y eut juste un jour particulier et hasardeux. Un jour où elle se sentait d'humeur curieuse, curieuse de savoir ce qui pouvait attirer tant de filles autour des gradins, curieuse de savoir pourquoi il y avait un tel engouement autour de ce sport, un jour où elle eut envie de faire plaisir à la camarade de classe qui la suivait depuis le début de l'année... Elle brava malgré elle la foule de filles émoustillées pour se hisser jusque devant la barrière des couloirs encombrés pour rejoindre les gradins. La première chose qu'elle vu fut un joueur aux cheveux hirsute mettre un dunk à pleine puissance, suivi d'une contre attaque immédiate de la part de ce qu'ils appelaient l'as de Kaijou. Elle resta silencieuse pendant toute la durée du match, les yeux grand ouverts. Malgré sa mémoire souvent défaillante, elle se souvient encore du nom de l'adversaire de ce jour là. Quelque chose comme Seijin... Seirin peut-être ? Comme un rêve éveillé, elle s'était retrouvée dans un état second si bien qu'elle posa instinctivement ses doigts sur l'appareil photo qu'elle portait sur elle et appuya machinalement sur la détente. Une photo qu'elle garda précieusement... Suite à ce match, Iroha s'intéressa d'un peu plus près à ce sport, elle assista même à certains des matchs de l'Inter High desquels ressortirent des photos très satisfaisantes selon elle. La jeune adolescente continua cependant à nier son intérêt pour le basket le considérant plutôt comme un divertissement passager.
| PSEUDO • Keppaku
SEXE • Femme
ÂGE • 19 ans
DOUBLE-COMPTE • Nope
ÊTES VOUS UN PRÉDÉFINI • Nop nop
VOTRE PRÉSENCE SUR LE FORUM • Euh... Régulière mais légèrement instable... ?
COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM • Par télépathie de gémeaux ^^ … Plus sérieusement, c'est une amie qui m'a filé le lien !
AUTRE • J'aime beaucoup le design du forum (l'ouverture/fermeture de la chatbox est tellement chou !! >w<). Par contre, par contre... Peut-être corriger Touhou en Touou ? ^^ Ah, aussi, préparez-vous à subir l'invasion des gémeaux mwahahaha ! /SBAFF
|
Dernière édition par Yûko Iroha le Dim 13 Avr - 19:33, édité 1 fois |
|
 Personne Mystère Messages : 656
Date d'inscription : 05/02/2014
| | Sujet: Re: ~Yûko Iroha~ Dim 13 Avr - 22:20 | |
| Welcooome :D
Comme dit sur skype, je laisse notre blondasse de Kaijou s'occuper de ta fiiiche :D
*court très vite* |
|
Invité | | Sujet: Re: ~Yûko Iroha~ Dim 13 Avr - 22:48 | |
| Validation
Hiii ! Bienvenue officiellement comme membre validé sur Kuroko No Basuke !
Comme tu peux le remarquer, ceci est un message bateau, mais c'est avant tout pour faire des petits rappels après validation, à savoir :
- Tu peux aller réserver ton avatar dans la partie appropriée (sauf si tu es un personnage du manga)
- Nous t'invitons à créer ta fiche de relation qui te servira aussi de répertoire RP !
- Ne soit pas timide pour les demandes de RP, fais-en une directement ou va chercher le joueur avec qui tu souhaites Rp par MP, personne ne mord ici !
- Passe nous voir dans le flood ou sur la CB si cela te tente, Kise aime trainer par là-bas régulièrement, y'a des chances que tu l'y chopes !
Et surtout, amuse toi bien ! 
:DDDDDD |
|
Accueil 
