PRÉNOM • Gaïa NOM • Stones SEXE • feminin ÂGE • 16 ans GROUPE • Manager de l'équipe de SHUTOKU ORIENTATION SEXUELLE • Hétérosexuelle
RANG • Manager depuis peu. PROFESSION •élève
Capacités & faiblesses
Sa faiblesse la plus grande, sa Némésis, son entrave détestable et préjudiciable, c'est bien sa taille minime. Il n'y a rien de plus difficile à supporter pour une joueuse de basket que de se voir supplanter par d'autres joueuses bien plus grande et cela Gaïa a dû douloureusement l'admettre. Elle savait qu'elle ne parviendrait jamais à se hisser à un niveau acceptable, voir merveilleusement bon avec son mètre cinquante-huit . Du moins, si elle ne trouvait pas une parade pour contrebalancer cette faiblesse. Alors, elle se spécialisa dans les réceptions et les rebonds afin d'être une meneuse talentueuse sur qui le jeu de son équipe pouvait se reposer. Néanmoins, bien que sont talent fut reconnu à sa juste valeur par son père pour qui elle voulait tant briller, ainsi que ses coéquipières en qui Gaïa plaçait toute sa confiance. L'adolescente réalisa finalement que jouer au basket n'était pas ce qu'elle préférait. Non, ce qui la faisait vibrer et qui l'enthousiasmait véritablement fut de manager et c'est pour cela qu'elle rangea sont maillot de joueuse pour revêtir l'apparat de Manager de l'équipe masculine de Shutoku.
Physique
Fraîche comme une brise d'Eté, Gaïa Stones est une jeune fille à la physionomie agréable. Du haut de ses seize pétales fanés, la manager de Shutoku est une véritable bouffée d'air frais. Si bien qu'il n'ait pas inhabituel de constater des regards appréciateur et des têtes qui se tournent sur son passage. Son physique attrayant et sa démarche décidée sont les premières choses qui intriguent dans sa personne et que lui jalouse la gente féminine.
Une beauté simple, voilà le terme exact et adapté pour définir la jeune métisse. En effet, son visage ovale et pâle s'avère être en parfaite harmonie avec ses traits délicats. Indéniablement la Stones a gagné à la loterie de la génétique. À la naissance. Gaïa a été munie de longs cils qui encadrent ses ravissantes prunelles. De plus, les grands yeux bruns de la Stones semblent emplis d'une douceur chaleureuse et réconfortante, mais surtout d'une lucidité certaine qui semble porter un regard différent sur le monde, franc et honnête qui nous met face à nos propre démons intérieur. Tel un miroir reflétant nos propres maux et le cristal de nos âmes ainsi que le sien. Ce sont bien ces deux billes transparentes faces à la réalité du monde qui servent d'iris à la jeune lycéenne. Ce regard est d'ailleurs accentué par de fins sourcils parfaitement entretenus.
Passons maintenant à l'abondante chevelure de la jeune femme, D'un châtain très clair, presque blond sur les pointes, Gaïa en prend énormément soin et n'a jamais pu se résoudre à les couper, enfin mis à par les pointes, chose qui s'avère nécessaire et qui lui font tout de même grincer des dents. Du coup, fatalement, la manager n'apprécie que très moyennement les paires de ciseaux. Enfin, sa hantise à leur encontre s'estompe du moment qu'elles ne sont pas à proximité de son crâne.
La peau de la métisse est laiteuse et lumineuse, ce résultat est sans doute dû aux soins et aux bons traitements qu'elle lui accorde. En effet, Gaïa n'est pas une jeune fille superficielle qui n'est attirée que par les fanfreluches et profite abusivement de la fortune de ses parents pour la dépenser dans des produits excessifs et multiples. Toutefois, elle n'en reste pas moins une adolescente qui prend soin d'elle. Gaïa n'a pas besoin de recouvrir son visage de maquillage extravagant pour se donner de l'allure, elle en a déjà naturellement. Son visage est éclatant de santé. Oui, Il est indéniable qu'elle a bonne mine.
Aussi surprenant que cela puisse être, la manager à un nez banal, commun. Un nez simple court et droit. Un nez pas très passionnant à détailler je vous l'accorde mais, qui trône en maître sur ce radieux visage. Les lèvres de la jeune lycéenne en revanche sont plus intéressantes. Oui ! Bien rose et charnue. C'est très mignon quand la manager est boudeuse, car sa lèvre inférieure s'avance un peu et cela donne bien envie de lui voler un baiser. Mais, personne ne serait assez fou pour le tenter. Quoique, à vos risques et périls...
Autre particularité propre à Gaïa sa taille. De son mètre cinquante-huit elle n'intimide pas vraiment c'est une certitude. Toutefois, cela la rend encore plus adorable. Gaïa est mince et c'est certain qu'elle n'a aucune difficulté pour se vêtir. Elle pourrait porter n'importe quoi, tous lui iraient. Le plus agaçant, c'est qu'elle n'a pas véritablement conscience de ses attraits. Elle est même parfois complexée par sa poitrine qu'elle trouve trop voyante, mais bien heureusement la jeune princesse commence à s'y accommoder.
Ses couleurs favorites sont les couleurs claires comme le brun, le beige et le blanc qu'elle trouve appréciable et aime porter des vêtements de ces teintes.
Caractère
« Se méfier de l'eau qui dort… » C'est un proverbe applicable face à la personnalité de Gaïa. Il est vrai que de prime abord, la jeune fille peut paraitre d'une relative gentillesse et d'une naïveté alarmante. Cependant, il n'en fut jamais rien. Gentille certes, mais loin d'être stupide, ni malléable en gré des envies d'autrui. L'impétueuse Stones est une jeune demoiselle d'un caractère affirmé qui sait parfaitement ce qu'elle veut et là où elle va. Elle ne se laisse pas piétiner par les ambitions des autres et sait faire entendre sa voix quand cela lui parait nécessaire. Néanmoins, ce n'est pas une hystérique qui s'emporte à la moindre contrariété. Non loin de là, Gaïa est même tout l'inverse. Elle prend énormément sur elle. Surtout quand elle se sent bafouée dans son orgueil, se refusant à laisser quiconque se réjouir de ses peines et de ses blessures profondes. La métisse dissimule sa sensibilité derrière de larges sourires ou encore des regards incendiés lourds de sens, dépendamment de la situation. Gaïa a dû grandir trop vite, se forger pour être forte. Ayant une mère trop absente, elle a dû endosser cette charge, se montrant tantôt mère, tantôt fille. En préparant les repas par exemple ou en rappelant à son père étourdit de régler hebdomadairement ses factures, à l'époque où elle vivait encore avec lui aux Etats-Unis.
Aujourd'hui, d'une certaine manière, Gaïa est reconnaissante envers à ses parents de l'avoir laissée seule face à elle-même, car cela lui a permit de devenir une personne pragmatique et organisée, des compétences qui lui sont indispensables en tant que Manager de Shutoku. Gaïa n'en reste pas moins une jeune fille patiente et à l'écoute qui aime aider ses amis et les taquiner. À l’inverse, elle se montre souvent ironique envers les gens qui ont su s'attirer ses foudres et peut se montrer très protectrice et possessive envers ce qu'elle considère lui revenir de droit et ses biens. C'est-à-dire des objets ou plus simplement, les personnes qu'elle aime.
Gaïa Stones une jeune fille aux multiples facettes. En plus d'être une fan incontestable de ce noble sport qu'est le basket, c'est aussi une artiste à part entière qui adore la beauté sous toutes ses formes, et qui s'applique à la représenter sous formes de dessins ou de toiles qu'elle réalise durant quelques rares moment de répits. C'est surement cette inclination pour le beau qui la pousse à apprécier les gens différents, qui ne se cantonnent pas aux idées conformiste et qui la stimule intellectuellement ou qui lui apporte juste ce petit plus qui la tient en haleine.
L’élève de Shutoku manque parfois de confiance en elle. Surtout quand elle se retrouve confrontée à ses échecs ou à des déceptions. Du coup, à force d'intérioriser tout ce qu'elle ressent, Gaïa s'avère proche de l'implosion et durant ces situations critiques il lui arrive de se montrer très dure. Dans ses moment de colère elle peut agir de façon totalement imprévisible et déconcertante, car oui, la douce princesse peut se métamorphoser en dragon impitoyable, crachant des flammes ardentes qui ravagent tout ce qui lui fait obstacle. Pour autant, Gaïa aime les gens, sinon jamais elle ne se serait proposée pour être manager de Shutoku, elle aime le basket et les joueurs qui sont à sa charge. Elle sait aussi trouver les mots justes pour rassurer son entourage. Bien qu'elle soit tout bonnement dénuée de tact et de subtilité. Enfin, c'est bien son caractère bien trempé qui la rend si singulière non?
Histoire
« Mon père m’a dit un jour de faire en sorte que mon bonheur ne dépende de personne d’autre que de moi-même. Que c’était la clef qui me rendrait heureuse et me permettrait de m’épanouir pleinement. Toutefois, mon bonheur repose sur un objectif parfaitement défini et concret. Faire de l’équipe de Shutoku une équipe d’envergure, estimée au-delà du continent. »
Un sourire fleurit les lèvres rosées de la jeune manager alors qu'elle laissait son regard limpide accrocher chacun des joueurs de l'équipe, cherchant ainsi à leur transmettre la force de sa détermination. Il était indispensable pour elle d'établir avec eux une relation de confiance pour la suite. La jeune Stones s'était donnée beaucoup de mal pour parvenir à ce poste. Elle était aussi passée par quelques épreuves significatives qui l'avaient endurcit et l'enseignement de Thomas Stones, son père, son modèle, y était pour beaucoup dans le changement qui s'était produit en elle. Gaïa n'était plus l'enfant d'autrefois, elle avait dû encaisser des événements assez déroutants ces derniers temps. Comme le mariage de son père avec une certaine Sabine qu'elle n'appréciait que très cordialement. C'était une annonce que la jeune lycéenne avait eu beaucoup de mal à avaler, en sachant qu'il ne s'était jamais uni de la sorte à sa propre mère. Cependant, pouvait-elle vraiment lui en vouloir ? Sa mère Hinari Takada était une femme qui se livrait corps et âme à la prospérité de son magazine de mode. Elle- était même allée jusqu'à sacrifier son bonheur de femme en refusant de lever le pied afin de se consacrer un peu à sa relation avec Thomas Stones. Gaïa savait que ses parents s'étaient rencontrés à la faculté de Brown à l'âge de dix-neuf ans. Thomas était parvenu à avoir son ticket d'entrée grâce à ses aptitudes sportives impressionnantes, quant à Hinari, ce fut un stage exceptionnel au sein de l'université qui lui permit de croiser le chemin de celui qui fut par la suite le père de son unique progéniture. Toutefois, quand elle tomba enceinte un an après cette rencontre foudroyante, Hinari refusa la proposition de son compagnon américain de rester vivre aux Etats-Unis avec lui. Jeune et ambitieuse, elle retourna dans son pays pour monter son magazine qui finit par devenir une référence au Japon. Hinari était beaucoup trop accaparée par son travail pour s'occuper pleinement d'un nourrisson, ce fut pour cela que Thomas réclama la garde de la petite Gaïa et la journaliste ne s'y opposa pas. Elle les laissa donc quitter le Japon sans faire d'histoires. Bien que la jeune mère se savait égoïste et injuste envers eux en les privant d'une vie simple, elle ne chercha pas non plus à changer les choses. Ne voulant tout bonnement pas admettre que ses priorités dans la vie n'étaient pas des plus honorables. Enfin, Hinari s'aveuglait en s'accrochant à une promesse passée que les deux amants s'étaient fait à la naissance de leur fille. En effet, tout deux s'étaient promis de réaliser leurs rêves et de se retrouver une fois la chose accomplie. C'était presque chose faite pour Hinari et Thomas était en plein dedans. Oui, il était parvenu à intégrer une équipe de Basket Ball réputée et pas n'importe laquelle, la meilleure d'entre toutes, la N.B.A.
De nombreuses années de gloires s'ensuivirent pour le Stones et entre deux matchs il trouvait tout de même le temps de se rappeler qu'il avait une fille et qu'il se devait d'envoyer des nouvelles régulières à Hinari sur son évolution. Il immortalisait toujours avec son appareil photo les moments fatidiques de l'existence de sa petite princesse sauvage tels que : ses premiers pas, ses premiers mots, ses premiers dribbles, ses premiers paniers, ses premières victoires, ses premières défaites. Oui, Gaia grandissait et n'était plus une enfant. La jeune fleure avait été elle aussi contaminer par la fièvre brulante que produisait la jouissance du Basket. Cela réjouissait sa mère et gonflait de fierté son père. Cela incita l'héritière Stones à s'inscrire dans l'équipe de son collège. Au début Gaïa se débrouillait plutôt bien. Elle avait du potentiel ce fut irréfutable. Pourtant, la jeune métisse fut vite rattrapée par un obstacle de taille –au sens propre comme figuré- elle était beaucoup trop petite par rapport aux joueuses américaines. Du coup, vint pour elle une période de déprime et de dévalorisation permanente. Gaïa se sentait faible, inutile, médiocre. Si elle ne pouvait étinceler grâce au basket elle n'était plus rien aux yeux de ses parents et donc pour l’adolescente aux yeux du monde entier.
Fort heureusement, Thomas la remit sur les railles en lui faisant comprendre que son amour pour elle était au –dessus de ses capacités au basket et qu'elle ne devait pas se forcer à jouer simplement pour contenter les autres, mais plutôt pour satisfaire son plaisir personnel à elle. Comprendre cela fut salvateur pour la fille de l'imposant joueur. Cependant, la Stones choisit de quitter ce père tant chéri suite à sa mise en ménage avec une très jolie américaine avec qui il avait décidé de construire quelque chose de sérieux. Il avait finalement oublié sa mère et prenait un chemin différent du sien. Gaïa ne parvint pas à accepter cette nouvelle figure féminine dans sa vie, elle ne fit pas non plus beaucoup d'efforts pour y arriver. Elle décida donc de vivre avec sa mère qu'elle savait très affectée par la nouvelle. Oui, Gaïa était une brave fille qui ne pouvait laisser Hinari seule, face à ses erreurs.
C'est ainsi que débuta sa nouvelle vie au Japon, Gaïa était âgé de quinze ans, elle ne pratiquait plus le Basket en club mais seulement pour s'amuser avec des amis de temps en temps. Pourtant, sa passion pour la discipline ne s'était en rien amoindrie. Surtout qu'elle avait réalisé que des équipes de hauts niveaux étaient aussi présentes au Japon. Ce fut le facteur majoritaire qui la poussa à rejoindre l'illustre établissement qu’était Shutoku. Elle aimait le style de jeu de leur équipe masculine, bien qu'elle leur trouvait tout de même des lacunes à corriger. Ce fut la raison qui la poussa à se présenter en tant que manager. Elle voulait être le fil qui reliaient les membres l'équipe et qui les guiderait vers une victoire certaine.
Soudainement, le moment présent se rappela à elle et la jeune lycéenne se souvint qu'elle était en pleine présentation. Elle ne pouvait pas se permettre de songer à des souvenirs poussiéreux qui la rendait si nostalgique. Elle se devait de vivre le moment présent du mieux qu'elle pouvait, car actuellement le basket était la seule véritable constante dans sa vie et c'était tellement agréable de se sentir utile. Alors, son regard papillonna à nouveau dans la salle et Gaïa ajouta avec un grand sérieux.
« Assez de blabla. J'ai toujours privilégié l'action à la parole. Je veux vous rendre grandiose et pour ce faire, il nous faut débuter l'entrainement et dès maintenant. Vous avez cinq minutes pour vous changer. »
Elle agrémenta ses paroles d’un autre sourire sincère avant de quitter le vestiaire en prenant la direction du gymnase.
Décidément, avec elle le ton était donné.
Derrière l'écran
PSEUDO • Choupachoups SEXE •Feminin ÂGE • 17 ans DOUBLE COMPTE ? •Nop PRÉSENCE SUR LE FORUM • Quasiment tous les jours. COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM ? •Une adorable jeune femme me l'a recommandé sur une page FB. AUTRE • blah
Je n'ai rien à redire sur ta fiche. Elle est bien écrite et je n'ai croisé que 2 ou 3 fautes vraiment minimes. Tu as un style d'écriture agréable à lire, et je n'ai aucune critique à faire en fait XD
Amuses toi bien chez les carottes, et au plaisir de te croiser sur le forum plus tard ! =)
Accueil 
